Acta Pacis Westphalicae II B 2 : Die französischen Korrespondenzen, Band 2: 1645 / Franz Bosbach unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy und unter Mithilfe von Rita Bohlen

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Auf Schreiben Longuevilles vom 29. Juli

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Vgl. S. 555 Anm. 1.
. A la vérité quand je considère que
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nos ennemis veulent bien faire la paix avec Messieurs les Estatz sans oser
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prétendre aucune restitution de ce qu’ils ont perdu contre eux, je ne puis
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comprendre comme quoy dans la foiblesse où ils sont, ils en prétendent de
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la France de qui ils doivent bien craindre plus de mal que de la Holande et
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dont on peut dire avec fondement qu’au mesme jour qu’elle signera la paix,
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elle leur donnera la plus grande partie de leurs Estatz qu’elle eût pu
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facilement conquérir dans la continuation de la guerre, ce que je ne pense
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pas pouvoir estre révocqué en doute par qui que ce soit à plus forte raison
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devant espérer que par la paix ils pourront recouvrer quelque chose de ce
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qu’ils ont perdu. Je ne vois pas le motif de l’aveuglement et pourquoy ils ne
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courent point à cette paix qui est le seul moyen par lequel ils peuvent
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arrester leur ruine entière.

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Quoyque monsieur de Brienne ayt receu l’ordre pour répondre à vostre
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dernière dépesche commune

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nr. 176; es wurde beantwortet in nr. 183.
, je ne laisseray pas de vous dire que si le duc
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de Bavières fait ses efforts pour grossir son armée, nous ne nous endormons
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pas. Je sçay trop de quelle importance il est de soustenir les affaires
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d’Allemagne et de fortifier les armées du Roy, en sorte qu’elles puissent
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asseurer en ce pays-là les quartiers d’hiver pour y rien oublier de possible,
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et vous pouvez croire, Monsieur, qu’outre les considérations du service du
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Roy, celle de l’engagement de la personne de monsieur le duc d’Anguyen
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qui y agit avec tant d’affection, est extrêmement fort auprès de moy pour

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mettre toutes pièces en oeuvre, afin qu’il ne manque de rien. Anstrengungen
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zur Verstärkung der Armee Enghiens; Erwartung der erfolgreichen Durchfüh-
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rung
der Werbungen Bönninghausens.

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Ce qui a esté répondu aux ambassadeurs de Bavières a esté fort à propos.
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Vous devez estre asseuré qu’on ne tient sur cette matière autre discours au
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nonce qui est icy, concluant tousjours qu’on ne fera pas grand estat des
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paroles dudit duc, mais que si les effets y correspondent, les événemens de
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la guerre, bons ou mauvais qu’ils puissent estre, ne changeront pas les
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résolutions de Leurs Majestez à son esgard. Il y a grand sujet de se méfier
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de ce prince que toutes ses actions ont fait paroistre jusqu’à cette heure rusé
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et artificieux au dernier point. Mais comme il n’ayme rien tant que son
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intérest particulier et comme il se rencontre en beaucoup de choses, où
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nous trouvons encore le nostre, il se peut faire qu’en celles qui seront de
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cette nature nous pourons faire fondement de ce qu’il nous promettra, non
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pas tant pour la religion de sa promesse que parce que ce sera son avantage
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de la tenir.

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La conduite qu’on a pris avec les médiateurs faisant tousjours connoistre
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qu’on ne veut que la paix ne peut estre meilleure. Asseurez-vous que cela
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fait désirer à tel point une suspension d’armes comme le plus court moyen
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pour sortir d’affaires, que je ne doute point qu’on n’y rencontre tous les
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avantages qu’on y sçauroit désirer quand on y voudra entendre, faisant
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semblant que la France sacrifie mesme ses intérestz, lorsqu’il s’agit de
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donner quelque repos à la chrestienté et de fournir les moyens de la
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garantir des malheurs, ausquels elle seroit exposée si l’on donnoit lieu au
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Turc de profiter de la division de ces princes. Les médiateurs en ont une
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envie extraordinaire et il ne faut pas douter de celle des Espagnols, non
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seulement pour les raisons que je vous ay mandées autrefois, mais parce que
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le pape les condamneroit le premier, s’ils n’y estoient disposez. C’est une
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affaire très délicate, mais c’est assez de la voir en vos mains et en celles des
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ministres si sages et si avisez que sont messieurs vos collègues pour en
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espérer un bon succez quand les conjonctures ne permettront pas que l’on
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en remporte un meilleur par la conclusion de la paix. Cependant on
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n’oublie rien pour rendre tousjours nostre condition plus avantageuse, ce
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qu’il semble que Dieu bénisse tousjours de plus en plus. Übergabe Bour-
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bourgs

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Am 9. August 1645 (vgl. S. 563 Anm. 11).
.

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Sauf un meilleur avis, je croirois que quand vous résoudrez de vous ouvrir
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aux médiateurs de quelque chose plus particulière qui concerne la paix ou
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la suspension, vous devriez aussy en mesme temps la faire sçavoir confi-
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demment aux ambassadeurs de Bavière, parce que leur maistre désirant à
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quelque prix que ce soit un prompt acommodement, ils deviendront
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eux-mesmes les médiateurs pour faire consentir nos ennemis à ce que nous

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pourrons désirer pour y parvenir. Je sousmets pourtant ma pensée à ce qui
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sera trouvé plus à propos sur les lieux.

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Je vous adresse la copie d’un billet que le milord Germain

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Henry Jermyn (gest. 1684), earl of St. Albans; er begleitete die englische Kgin. während ihres
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Aufenthaltes in Frankreich ( DNB XXIX S. 342–344).
a escrit icy à
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quelqu’un qui contient la proposition que vous verrez, dans laquelle je ne
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vois pas bien clair et y soupçonne quelque artifice caché venant de nos
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ennemis. Je vous prie de l’examiner avec messieurs d’Avaux et Servien et
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m’en mander vos sentimens.

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Monsieur de La Croisette que j’ay entretenu ce matin vous mandera tout ce
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qu’on m’escrit de Venise et du costé de monsieur le prince d’Orange sur les
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instances que j’y avois fait faire pour vostre service. Je suis marry de n’avoir
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pas le mesme crédit auprès de la République que j’ay trouvé auprès dudit
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prince pour l’engager à procurer auprès de Messieurs les Estats qu’ils en
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donnassent l’ordre à leurs ministres. Je vous prie de croire que toutes les
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fois qu’il s’agira de vostre contentement je rencontreray entièrement le
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mien à m’y employer de toutes mes forces.

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Songez un peu s’il vous plaist, Monsieur, par avance avec messieurs d’Avaux et
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Servien, s’il seroit à propos dans la conclusion de la paix de résoudre une guerre
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contre le Turc, en quoy il semble que le service de Dieu se rencontreroit et que
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ce ne seroit pas une petite affaire de trouver un employ à tant de soldats que
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malaisément on pouroit empescher dans l’oysiveté de la paix de ne causer
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quelques remuemens. Je sçay que la France a plusieurs raisons pour s’engager
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moins que les autres à cette guerre, mais comme les temps et les conjonctures
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changent aussy peut-il y avoir présentement des motifs de prendre telle
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résolution qu’en d’autres temps on auroit jugé préjudiciables. Après tout on ne
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gastera rien à y bien songer.

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J’ay si peu de loisir et tant d’occupation qu’il y a beaucoup de choses
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ausquelles je ne puis vacquer comme il seroit à désirer. C’est pourquoy il
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faut qu’on m’excuse, si je ne m’arreste pas à discourir comme je voudrois
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sur certaines matières. J’en aurois une bien ample pour vous entretenir
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longtemps, si je voulois vous dire en détail les peines que nous donne
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Monsieur le Prince qui à son accoustumée s’emporte par de petites passions
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à dire beaucoup de choses qui font du mal et que sa repentance et le
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déplaisir qu’il en a après, ne peuvent pas bien remédier. Je n’ay jamais une
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heure de repos, et ceux qui auroient plus d’intérest à me soulager me
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donnent plus de peine, quoyqu’ils voyent que je ne songe à rien qu’à
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l’avantage de l’Estat, à la gloire du Roy et à procurer des récompences à
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ceux qui servent bien. Je vous ouvre mon coeur comme à un de mes
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meilleurs amis, trouvant quelque soulagement dans l’asseurance que vous
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me compatissez, voyant qu’en la posture où je suis il ne me tombe en
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partage que des espines en un travail continuel.

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