Acta Pacis Westphlicae II B 1 : Die französischen Korrespondenzen, Band 1: 1644 / Ursula Irsigler unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy
171. Brienne an d’Avaux Paris 1644 Juli 16
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Paris 1644 Juli 16
Bedenken d’Avaux’ gegen die Regelung der Verwendung der schwedischen Subsidien. Schreiben an
Servien. Bericht über die Beratungen im Rat durch Saint Romain. Beschwerden über das Invitations-
schreiben .
Je n’ay pas esté le seul, mais touts Messieurs du Conseil ont interprété vostre
lettre commune
Vgl. [ S. 349 Anm. 3 ] und [ nr. 157. ]
son ne peut avoir de l’argent que lorsqu’il sera entré en action, non à l’ avan-
tage de leur querelle particulière, mais soustenant celle des alliéz et de la
cause commune. J’ay parlé du doute que vous y faites , mais légèrement,
d’autant que ce que vous aurez résolu doit estre exécuté et non pas ce que
vous aurez escrit. Je ne parle point de cette difficulté en la lettre particulière
que j’escris à Monsieur Servien , la sienne
Nicht ermittelt; es würde sich um die Antwort Serviens auf [ nr. 144 ] handeln.
parler d’affaires, bien de regretter de nouveau la perte que j’ay faite de mon
neveu le Marquis de Rothelin, qui s’estoit allié de Monsieur Servien espou-
sant la fille de Monsieur le Président de Bauquemare . J’aurois bien suject
de luy respondre sur une plainte qu’il me fait de n’avoir pas eu la response
à quelques unes des siennes, mais la dernière que je luy ay escrite a esté si
ample qu’il ne me reste rien à y ajouster. J’en dis autant à vostre esgard,
qui aurez au premier jour Monsieur de Saint Romain et par luy la résolution
qui a esté prise sur les lettres que l’un et l’autre de vous avez escrites séparé-
ment . Si j’avois le loisir je vous manderois ce qui se passe au cabinet, se [!]
sera par le retour dudict Sieur de Saint Romain. J’ay obmis en ma lettre
commune de vous avertir que l’on continue à se plaindre de la vostre
générale, mais c’est bon signe, puisqu’elle fasche, sans doute cela procède
de ce qu’elle a fait impression sur les esprits de ceux auxquelz elle est
adressée, et ceux qui s’en pleignent est au suject d’estre offenséz par le
gazettier
Théophraste Renaudot, 1584–1653, Arzt von Beruf, gründete 1631 die Wochenzeitung La
Gazette und leitete sie bis zu seinem Tod. Von 1638 bis 1648 leitete er auch die Herausgabe des
Mercure français. Zur Person A. M. Chauchat , Histoire de la presse en dix portraits I;
Ch. Jourdain , Histoire de l’Université I S. 156f.