Acta Pacis Westphalicae II B 6 : Die französischen Korrespondenzen, Band 6: 1647 / Michael Rohrschneider unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy und unter MIthilfe von Rita Bohlen
18. Servien an Brienne Den Haag 1647 Juli 2
Den Haag 1647 Juli 2
Ausfertigung: Ass.Nat. 278 fol. 121–126; Eingang laut Dorsalvermerk der Beilagen, fol. 127’
und fol. 129’: Amiens 1647 Juli 8 = Druckvorlage. Konzept, teilweise eigenhändig: AE , CP
Holl. 42 fol. 22–26. Duplikat [für Mazarin]: AE , CP Holl. 45 fol. 43–49’.
Garantieverhandlungen: frankreichfeindliche Haltung der Provinz Holland; Differenzen
zwischen Holland und den übrigen Provinzen; Bicker und Nederhorst; Einwirken Wilhelms
II. von Oranien auf Holland; Ausgang der Beratungen noch ungewiß, allerdings unvorteil-
haftes Resultat für Frankreich zu erwarten; Einfluß der Nachrichten von der Armee Turen-
nes auf die Verhandlungen; Notwendigkeit, die Beschlüsse der Generalstaaten zu akzeptie-
ren , angesichts des Ziels der hiesigen Feinde Frankreichs, es zum Bruch in den Beziehungen
kommen zu lassen. Keine Bereitschaft Hollands zu Kriegshandlungen gegen Spanien. Zur
geplanten Abreise Longuevilles: Abschluß des Garantievertrags möglicherweise Veranlas-
sung für ihn, Friedensverhandlungen in Münster fortzuführen. Beilage 1.
|:Ce n’est pas sans raison que:| les plus intelligens de ce pays qui ont encor
quelque reste de bonne volonté pour nous, se sont |:tousjours deffiez des
desseings de la Hollande:|. Sy lorsque j’arrivay icy et que les articles du 8 e
janvier
Die ndl.-span. Provisional-Art. vom 8. Januar 1647 (s. [ nr. 11 Anm. 9 ] ).
Mit dem Ziel, die übrigen Provinzen für einen unverzüglichen Friedensschluß mit Spanien
zu gewinnen, hatte Holland im April 1647 Obdam und Ruysch nach Geldern und Over-
ijssel , Keyser und Stellingwerf nach Friesland und Groningen, Bicker und Nieupoort nach
Seeland sowie Kinschoot und Boreel nach Utrecht entsandt ( Arend , 725f). – Vermutlich
Dr. Andries Bicker (gest. 1652), heer van Engelenburg; er war seit 1627 mehrmals Bürger-
meister der Stadt Amsterdam und ferner auch als holl. Abgeordneter bei den Gst. tätig
( BAB 62, 214–218; NNBW X, 60). – Wahrscheinlich Willem Boreel (1591–1668), Magister
utr. iur., 1627 pensionaris von Amsterdam, zudem mit zahlreichen diplomatischen Missio-
nen betraut, u.a. 1649 nach Frk.; 1618/1619 von Kg. Jakob I. von England zum Ritter
geschlagen, später folgten weitere Nobilitierungen ( BAB 83, 211–305; NNBW VII,
177ff). – Wahrscheinlich Dr. iur. Nanning Keyser (Kayser, Kaiser) (1611–1655); er war
pensionaris (vor 1649) und Abgeordneter bei den Staten van Holland; 1652 und 1653
wurde er Bürgermeister von Hoorn ( BAB 365, 203–212; NNBW IX, 493ff). – Wahrschein-
lich Caspar (Gaspar) van Kinschoot (1622 – wahrscheinlich 1649, nach anderen Quellen
1650 oder 1659), Rechtsgelehrter, 1645 in Frk. promoviert; er hatte 1646 die ndl. Ges.
zum WFK nach Münster begleitet ( BAB 372, 7–23; NNBW X, 462f). – Wahrscheinlich
Willem Nieu(w)poort (1607–1678); er war seit 1629 in der Regierung seiner Geburtsstadt
Schidam tätig, später ihr pensionaris; von den Staten van Holland wurde er wiederholt mit
Gesandtschaften zu anderen Provinzen und europäischen Staaten betraut, u.a. 1653 zu
Friedensverhandlungen mit Cromwell ( BAB 495, 356–367). – Sicherlich Jacob baron van
Wassenaer (1610–1665), heer van Obdam und Zuidwijk, Mitglied der holl. Ritterschaft,
nach 1632 mit Sitz im raad van state der Provinz Holland; Kavallerieoberst und Gouver-
neur von Heusden; er wurde mehrfach mit Gesandtschaften beauftragt, nachweislich 1647
nach Geldern und Overijssel ( BAB 725, 96–108; NNBW II, 1523f). – Wahrscheinlich Ni-
colaas Coenraadszoon Ruysch (1607–1670), 1640–1650 raadpensionaris von Dordt, 1650–
1670 griffier der Gst.; er war mehrfach diplomatisch tätig und wurde 1637 von Kg. Karl I.
von England geadelt ( BAB 589, 65–70; NNBW II, 912). – Wahrscheinlich Nicolaas Stel-
lingwerf (1592–1667), Bürgermeister und pensionaris von Medemblik sowie Inhaber meh-
rerer anderer Staatsämter ( BAB 647, 88–93; Gloria Parendi , 818); zur Bewertung ihrer
Mission vgl. insbes. Servien an Mazarin, Den Haag 1647 Mai 7 (Text: APW II B 5/2 nr.
264, hier 1252 Z. 22–34). – In einem Schreiben an Brienne vom 27. Mai 1647 schilderte
Servien die erneuten Bemühungen der Provinz Holland, einen Beschluß der Gst. herbei-
zuführen , der ein Separatabkommen mit Spanien für den Fall vorsah, daß Frk. einen Frie-
densschluß hinauszögere ( APW II B 5/2 nr. 294, hier 1364 Z. 31–38).
voyez par:| toutes les provinces et sy pour la troisième fois dans les der-
nières délibérations qui ont esté prises sur le subjet de la garentie |:on
n’eust tasché par divers moyens de rompre ses mesures, elle avoit inten-
tion de faire passer par pluralité de voix que cet Estat pourroit traicter
séparément avec l’Espagne en cas que la France ne fist promptement la
paix:|, qui est presque |:nous mettre à la discrétion de noz ennemis:|. Jus-
qu ’à cette dernière fois |:elle n’avoit pas faict paroistre si clairement son
desseing, mais à ce coup ayant procédé plus finement qu’à l’ordinaire et
ayant caché pour quelque temps ce qu’elle vouloit faire, elle a faict sem-
blant pour contenter les autres provinces et par ce moyen les ramener à
soy de vouloir:| donner contentement à l〈a〉 France et de faciliter les aul-
tres poinctz tant de la garenti〈e〉 que de la paix généralle. Toute la sep-
maine passée et la précédente ont esté employées en diverses délibérations
qui ont esté faictes sur ce subjet où monsieur le prince d’Orange a quel-
ques fois assisté en personn〈e〉. Les six provinces ont tousjours oppiné à
dresser le traicté de la garentie sur le project du 22 e may
Proposition Serviens an die Gst. zum frz.-ndl. Garantieabkommen, [Den Haag] 1647 Mai
22 (s. [ nr. 1 Anm. 7 ] ).
devant envoyé la copie . |:La Hollande a faict semblant pendant quelque
temps d’y incliner aussy et:| avoit seulement désiré que l’on résolust en
mesme temps qu’en cas que la France formast encor quelque nouvell〈e〉
difficulté sur la garentie on pourroit traicter sans ell〈e〉, à quoy le reste
des provinces avoit consenty pour l〈uy〉 complaire, estans bien asseurées
que je ne refuserois pas une chose que j’avois desjà acceptée par escript
Mais comme il a fallu dresser le résultat de leur délibération, toutes les
aultres provinces ayans persisté à vouloir qu’on dressast le traicté sur le
project du 22 e may, et ayant adjousté qu’on assisteroit la France à empes-
cher que les Espagnolz ne fissent difficulté sur les choses accordées et à
obtenir une deue satisfaction sur les poinctz indécis, à condition néant-
moins que si elle tesmoignoit ouvertement de ne vouloir point la paix,
ou qu’elle fist quelque nouvelle difficulté sur le project desjà accepté, cet
Estat luy déclareroit d’estre contrainct par la nécessité de faire son traicté
séparément avec l’Espagne, la Hollande s’est opposée à tout |:et a faict
cognoistre à touttes les autres son mauvais desseing:|. Ilz ont icy une cous-
tume de ne conclurre jamais une affaire importante qu’elle n’ayt esté
comme ilz disent résumée, c’est-à-dire mise une seconde fois en délibéra-
tion qui est une forme qu’ilz pratiquent pour empescher que les choses ne
passent par surprise. Ç’a esté donc à la reprise de cette résolution que sont
survenues les grandes disputes, la Hollande ne voulant point consentir
qu’on s’engageast à assister la France pour obtenir satisfaction sur les
poinctz indécis, ny mesmes pour empescher que les Espag〈nolz〉 ne ré-
vocquent ce qu’ilz ont accordé. |:Biker :| a eu l’audace de soustenir avec
grande passion dans l’assemblée qu’ilz avoient droict de se desdire, vou-
lant faire croire contre la vérité que nous en avions faict de mesme en
diverses rencontres, et que la liberté que nous nous estions réservée d’ ad-
jouster et diminuer devoit estre esgalle pour les Espagnolz et pour nous.
Il y eut de grandes parolles |:entre luy et monsieur de Niderhost qui a
soustenu en cette occasion avec beaucoup d’honneur et de hardiesse nos
intérestz et la raison:|. La contestation a esté encor plus grande sur la der-
nière clause
que sy je refusois le traicté de garentie non pas comme il avoit esté cy-
devant projecté entre nous, à quoy ilz ne veullent plus se tenir, mais
comme il seroit présentement concerté entre eux, ou bien qu’après avoir
conclud ledict traicté nous fissions difficulté de conclurre aussy celuy de
la paix, cet Estat seroit en liberté de conclurre son traicté séparément. Les
aultres provinces ayant résisté à cette proposition, la Hollande a résolu de
se séparer et de rompre les délibérations comme elle a accoustumé de faire
lorsque les choses ne passent pas selon sa volonté. Il a fallu que pour évi-
ter ce desconcert entre les provinces qui ne tendoit de la part de la Hol-
lande qu’à diférer le traicté et tenir noz affaires en suspens, cependant que
les siennes sont achevées, et que par des articles accordez par escript ou
verballement, elle jouist desjà de tous les effectz de la paix tant sur la mer
que sur la terre, monsieur le prince d’Orange ayt obligé la Hollande
|:moytié par prière moitié par force:| de demeurer encor quelques jours
pour tascher de mettre une fin à cette affaire. Les députez n’ont voulu
promettre de demeurer que jusqu’à demain, et sont présentement assem-
blez avec ceux des aultres provinces depuis sept heures du matin. Je ne
sçay quelle résolution ilz prendront, mais selon les apparences elle ne
peult estre favorable puisque la Hollande ne faict pas seulement difficulté
sur le project du 22 e may, mais n’a pas honte de se desdire des offres
qu’elle mesme avoit cy-devant faict faire
Vielleicht spielt Servien hier auf die Resolution der Provinz Holland vom 23. Januar 1647
an (s. APW II B 5/1 nr. 102 Beilage 1; vgl. den Auszug NS IV, 215–218 (lat. und frz.); (it.
ÜS) Siri IX, 138–141), von der er Brienne am 5. Februar 1647 berichtet hatte ( APW II B
5/1 nr. 102); gemeint sein könnte auch das Concept de Hollande délivré le 1 er avril 1647
betr. die Garantieverhandlungen mit Frk. (s. APW II B 5/2 nr. 202 Beilage 1; Text (it.
ÜS): Siri IX, 1220f), über das er Brienne am 1. April 1647 informiert hatte ( APW II B
5/2 nr. 202).
comme par force et contre leur advis toutes les aultres provinces qui in-
clinoient à une garentie plus généralle; pour en avoir quelque prétexte elle
subtilise sur toutes les conditions de son offre pour les anéantir qui est ce
que j’avois preveu d’abord et qui m’avoit empesché de les accepter lors-
qu ’elles me furent présentées comme j’eus l’honneur de vous le faire sça-
voir dès ce temps-là.
Lorsque la nouvelle ariva icy que l’armée d’Allemagne avoit passé le
Rhin, les Hollandois mesmes estoient devenuz plus traictables, et avoient
faict paroistre pendant quelques jours une assez bonne disposition, ce qui
m’avoit faict croire avec quelque raison que les affaires passeroient au
contentement du Roy, et j’en avois aussy escript en ces termes à Son Emi-
nence suivant les asseurances qui m’en avoient esté données par quel-
ques particuliers qui m’estoient venuz veoir pour avoir la principalle
gloire d’y avoir contribué. Mais l’accident arrivé à monsieur de Turenne
a tellement faict changer les choses et les espritz qu’ilz croyent au-
jourd ’huy nous pouvoir donner la loy, que nous serons trop heureux de
prendre ce qu’ilz vouldront nous donner, et que nous n’ozerions nous
ressentir de toutes les injures que nous recevons d’eulx. Je n’oze presque
vous dépeindre leur manière d’agir ny l’extrême patience qu’il a fallu
avoir depuis que je suis icy, et j’aurois quelque subjet d’appréhender enfin
qu’on ne me blasmast d’avoir dissimulé plusieurs choses préjudiciables à
la dignité du Roy, sy je n’avois cru dans une sy fascheuse occasion de
servir Sa Majesté en le souffrant, ayant cognu que le dessein secret des
malintentionnez estoit de porter les affaires à la rupture entre la France
et cet Estat. Il est vray que les sages du pays et nos amis particuliers m’ont
conjuré en mesme temps de ne prendre pas garde aux transportz et vio-
lences de quelques espritz passionnez qui ont usurpé l’authorité que le
temps et la raison pourront peult-estre ou ramener ou décréditer. En
tout cas j’ay estimé nécessaire pour le service du Roy de |:différer en un
autre temps le ressentiment qu’on doibt avoir d’une conduitte si déso-
bligeante :|. Je croy mesme que |:j’estonneray beaucoup plus les partisans
d’Espagne et que je leur feray un très grand desplaisir si j’accepte tout ce
qui me sera offert:| comme |:j’y suis disposé pour esviter une rupture avec
eux ou une plus grande aliénation des espritz:|.
Je vous suplie de croire, Monsieur, que je n’ay rien obmis et que j’ em-
ploye plus de travail que je n’oze vous faire paroistre pour ramener toutes
choses à bien par l’assistance de monsieur le prince d’Orange et des bien
intentionnez. Mais oultre que ceux-cy sont en petit nombre et sont
estouffez par les aultres, |:ledit prince qui comme je croy ne manque pas
de bonne volonté a peu d’application aux affaires et peu d’authorité en
cette rencontre où ceux qui nous attaquent n’ont pas moins d’avertion
contre sa grandeur que contre nous:|. C’est pourquoy je croy que |:la pru-
dence veut qu’on fasse de nécessité vertu et que ne pouvant mieux faire on
tesmoigne en apparence de se contenter pour le bien de la paix des choses
qu’ilz auront résolues, à condition:| néantmoins de |:se souvenir un jour
du mauvais traictement qu’on nous faict bien contraire aux traictez d’ al-
liance et aux grandes faveurs que cet Estat a receues de la France en divers
temps:|.
Vous aurez desjà sceu, Monsieur, les deffenses qui ont esté publiées en
Espagne et depuis peu dans les Pays-Bas
Vgl. das Mandat Ehg. Leopold Wilhelms, Feldlager vor Armentières 1647 Juni 5, in dem
weitere Feindseligkeiten zur See gegen die Vereinigten Provinzen untersagt wurden ( Ko-
pie (frz.; mit Übersendungsvermerk: Den Haag 1647 Juli 1): AE , CP Autriche 16 fol.
495. Druck: Aitzema , Vreede-Handeling, 358f (frz.); Aitzema , Vreede-Handeling
(1653), 214f (ndl.; datiert 1647 Juni 15); Aitzema , Historia Pacis, 566 (lat.; datiert 1647
Juni 15); NS IV, 332f (frz.); Abreu y Bertodano , 111f (frz. und span.); vgl. ferner Man-
daet over de Suspentie ter See / van wegen den Coningh van Spangien / tegens de Geunie-
erde Nederlanden, Brügge 1647 Juni 24 (als FS (ndl.) veröffentlicht: Knuttel nr. 5483).
les subjetz de cet Estat. On n’a pas faict la mesme chose par deçà à cause
qu’il eust esté difficile de porter toutes les provinces à une si manifeste
rupture des traictez d’alliance. Mais la Hollande qui a le principal intérest
dans le commerce de la mer et la principalle authorité dans les affaires,
empeschant qu’on ne mette en campagne et qu’on ne fasse pas la moindre
hostilité ny sur la mer ny sur la terre, effectue en vertu d’un accord secret
ce qu’elle n’oze ou ne peult pas faire résouldre publicquement. Les direc-
teurs de l’admiraulté ont desjà licentié leurs vaisseaux de guerre qu’ilz
appelloient croyseurs. Il est bien vray qu’ilz ont encor conservé ceux qui
sont destinez pour escorter leurs navires marchands, mais ce n’est pas tant
par la nécessité qu’ilz croyent d’en avoir, comme pour continuer à tirer
les droictz qui sont imposez sur ce subjet. Ayant demandé il y a quelques
jours à un des plus habiles de l’Estat pourquoy ilz ne nous avoient pas
proposé une suspension d’armes dans le Pays-Bas puisqu’ilz avoient in-
tention de ne rien faire, qu’il eust esté plus honorable pour eux de prendre
cette voye que de se porter à une défection, et qu’ilz nous y eussent peult-
estre treuvez favorables, il me respondit effrontément que cet expédient
n’eust pas esté propre pour leur Estat, parce que les peuples eussent pré-
tendu d’abord estre deschargez d’une partie des contributions qu’on lève
sur eux, ce qui monstre clairement que le moindre de leurs intérestz est
préféré parmy eux à l’honneur et à la raison.
Je n’ay pas manqué de dire mes sentimens à |:monsieur de Longueville:|
avec le respect que je luy doibs sur la résolution qu’il a prise de |:partir de
Munster:|, peult-estre que luy ayant faict sçavoir que |:le traicté de garen-
tie sera achevé cette sepmaine:| comme je l’espère, et que les plénipoten-
tiaires de cet Estat et moy pourrons bientost partir ensemble pour nous
en retourner à Munster |:il ne voudra pas quitter la partie avant qu’elle
soit finie:|.
Ich übersende Ihnen die Kopie einer Verordnung der Generalstaaten über
die Entführung der Mademoiselle de La Bazinière
Frz. Adlige (biographische Angaben konnten nicht ermittelt werden); sie war von einem
gewissen Chemerault (nicht zu identifizieren; möglicherweise Geoffrey de Barbezières de
La Roche-Chemerault ( ABF I 52, 271) oder dessen Bruder Charles de Barbezières, comte
de Chemerault ( ABF I 52, 264), Lebensdaten konnten nicht ermittelt werden) entführt
worden, worauf der frz. Hof bei den Gst. interveniert hatte, um ihre Freilassung zu er-
wirken (vgl. APW II B 5/2, 1682 Anm. 332 und 336).
Beilagen 1 – 3 zu nr. 18
2 Ass.Nat. 278 fol. 128–128’: Duplikat von nr. 4.