Acta Pacis Westphalicae II B 5,2 : Die französischen Korrespondenzen, Band 5, 2. Teil: 1647 / Guido Braun unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy und Achim Tröster, unter Mithilfe von Antje Oschmann am Register
237. Memorandum d’Avaux’ [für Ludwig XIV.] Osnabrück 1647 April 22
Osnabrück 1647 April 22
Ausfertigung: AE , CP All. 83 fol. 36–39’ = Druckvorlage. Eigenhändiges Konzept: AE , CP
All. 88 fol. 144–147’. Kopie für Servien: AE , CP All. 99 fol. 388–391; nach Dorsal, fol.
391’, übersandt durch Longueville 1647 April 25. Druck: NS IV, 63–65.
Verbleib d’Avaux’ in Osnabrück auf Bitten der Gesandten Hessen-Kassels. Konferenzen mit
Schröder: nach anfänglicher Unnachgiebigkeit von ihm vorgelegte neue Proposition der Kai-
serlichen zur hessen-kasselischen Satisfaktion (Beilage 1); Erweiterung des Satisfaktionsange-
botes und zufriedenstellender Vorschlag zur Regelung der Marburgischen Erbfolgesache;
dennoch Unzufriedenheit und Friedensunwilligkeit der hessen-kasselischen Gesandten.
Oxenstierna und Salvius vom angekündigten Rückzug der Armee Turennes und der Aus-
setzung der französischen Subsidienzahlungen unbeeindruckt; ihre überzogenen Forderun-
gen zur Überlassung Mindens an Schweden und zugunsten der Protestanten; neues Angebot
Trauttmansdorffs; Kriegsmüdigkeit mehrerer protestantischer und aller katholischen Stände.
Vorhaltungen d’Avaux’ an Oxenstierna wegen dessen immer höher geschraubten Forderun-
gen ; nach Salvius’ Eingeständnis obstruktives Verhandeln der Schweden bis zur Ankunft
Erskeins. Bevorstehende Rückreise Trauttmansdorffs nach Münster, vielleicht in der Absicht,
zwischen Spanien und Frankreich zu vermitteln. Beschwerden der Mediatoren über
d’Avaux’ Bestehen auf einer Waffenruhe für Portugal; Trauttmansdorffs Reaktion auf die
Bekräftigung dieser Forderung weniger abweisend als die spanische. Geplante Reise dreier
kurbayerischer Gesandter nach Paris.
J’avois fait estat de partir l’autre semaine pour retourner à Munster, mais
après avoir pris congé des Impériaux et Suédois, je trouvay céans les
sieurs Scheffer, Grosig et Wulteius qui me firent de sensibles plaintes de
ce que dans le projet de paix porté ce jour-là mesme par le sieur Kran aux
ambassadeurs de Suède
Madame la Langrave, ny touchant la succession de Marpurg, ny touchant
la satisfaction qu’elle prétend. Ce silence les offense si fort et leur donne
de si grans soupçons que je me trouvay obligé de leur promettre l’ assis-
tence qu’ils me demandoient et de renvoier quérir des chevaux que j’avois
envoié à my-chemin.
Le lendemain matin , je manday le secrétaire de l’Empire
Nach dem Bericht Trauttmansdorffs an Ferdinand III., Osnabrück 1647 April 18 (Druck:
APW II A 6 nr. 37), rügte d’Avaux ggb. dem ksl. Gesandtschaftssekretär Schröder vor-
nehmlich die ksl. Nachgiebigkeit in Hst. Osnabrück, so daß Schröder sogar mutmaßte,
daß d’Avaux die Koadjutorie für sich selbst anstrebe; vgl. Schröder an Kurz, Osnabrück
1647 April 18 (Druck: ebd. nr. 40).
fidèlement les plaintes comme je les avois receues, et les appuiay de raison
et d’authorité. Il voulut excuser l’omission sur divers prétextes, et enfin il
me fit espérer qu’elle seroit réparée. Nous conférasmes aussy et disputas-
mes ensemble du fonds de l’affaire, et il s’en alla aucunement persuadé
qu’il falloit adjouster à l’offre qu’ils ont faitte de six cent mil risdales ou-
tre la succession de Marpurg.
Il revint me trouver le soir avec un papier à la main dont la copie sera cy-
jointe . Ils n’ont pas encores augmenté la somme, mais ils consentent que
Madame la Langrave demeure en possession de deux places jusques à
l’entier paiement. C’est une des choses qui donnoit le plus d’inquiétude
à ses députés parce qu’ils ne se trouvoient pas suffisamment asseurés par
les ostages qu’on offroit.
Quant à l’autre point, le secrétaire m’expliqua le premier article dudit
escrit
proposition qu’ils ont faitte touchant l’affaire de Marpurg (qui est tout ce
que les Hessiens prétendent) le comte de Trautmansdorff y consentira.
C’est-à-dire que sans avoir esgard à la sentence, transaction , et tout ce
qui s’en est ensuivi, la maison de Hesse-Cassel sera restablie en la posses-
sion et souveraineté de la ville et du bailliage de Smalcalde, de toute la
comté de Catzenelbogen, et de tout ce qui luy fut laissé par le testament
du langrave Louis
Lgf. Ludwig IV. von Hessen-Marburg (1537–1604), 1567 Lgf.; in seinem Testament von
1595 verfügte der kinderlose Lgf. die Aufteilung des Landes an Hessen-Kassel und Hes-
sen -Darmstadt zu gleichen Teilen und mit der rechtlichen Garantie der lutherischen Kon-
fessionsausübung ( Rudersdorf ; zum Testament ebd. , 391; zum daraus erwachsenen
Marburger Erbschaftsstreit Anm. 2 zu nr. 60).
devant esté litigieux entre ceux de Cassel et de Darmstat, Madame la
Langrave aura la moitié, et que l’autre demeurera au langrave de Darmstat
pourveu qu’il donne son consentement à ce que dessus. Sinon, laditte
dame sera mise en possession du total et y sera maintenue par l’Empereur
et tous les estatz de l’Empire aussy bien que par les couronnes alliées.
Quoyque les députez de Hesse ne désirent rien davantage pour ce regard,
et que pour le surplus ils aient maintenant bonne caution, ils ne sont nul-
lement contens et ne le seront jamais tant que la chose soit réglée. |:Il y a
grand raport entre leur humeur et celle des Suédois, mais la plus grande
incommodité est qu’ils ne voudroient point de paix ny les uns ny les au-
tres :|, tellement qu’il est comme impossible de leur en faire agréer les con-
ditions .
Il est mesme à remarquer que monsieur Oxenstiern ne trouve point à re-
dire que l’armée du Roy repasse le Rhin, il dit seulement qu’il présuppose
qu’elle |:n’ira pas plus loin que la Franche-Conté ou le Luxembourg:|.
Monsieur Salvius ne parle plus aussy du subside, |:non par mescontente-
ment dont ils ne donnent aucun tesmoignage:|, mais ils se croient au- des-
sus de tout à cause de la neutralité de Bavières.
Le comte de Trautmansdorff qui est le plus accommodant de tous les
hommes s’est enfin lassé |:de leur hauteur et:| des demandes continuelles
qu’ils font. Ils ont prétendu ces jours-cy que l’évesché et la principauté de
Minden doit estre pour la couronne de Suède, mais il a rejetté cella si loin
qu’ils ont changé de batterie. Ils sollicitent aujourd’huy pour les protes-
tans ausquels monsieur de Trautmansdorff a encores accordé plusieurs
choses depuis 24 heures, mais à cette condition que ceux qui les accepte-
ront y seront maintenus par l’Empereur, et que pour les autres, il ne veut
pas demeurer obligé
sadeurs de Saxe, ceux de Brandebourg, les députés d’Altenbourg
Ges. Sachsen-Altenburgs und -Coburgs auf dem WFK in Osnabrück waren seit 1645
Thumbshirn und Carpzov, die 1647 bei Abwesenheit der erzstiftisch-magdeburgischen
Gesandten das Direktorium im Corpus Evangelicorum führten ( APW III A 3.1 Anm. 59
zu nr. 2). – Wolf Konrad von Thumbshirn (1604–1667), 1639 sachsen-altenburgischer
Hof- und Justizrat, 1640–1641 altenburgischer Ges. auf dem Regensburger RT , 1641 Mit-
glied des Konsistoriums, 1643 Steuerdirektor; nach 1648 Ges. auf dem Nürnberger Exeku-
tionstag und Betrauung mit höheren Ämtern in Altenburg, seit 1657 Leitung der dortigen
Regierung ( Kaster / Steinwascher , 266f.; APW III A 3.1 Anm. 59 zu nr. 2). – Dr. August
Carpzov (1612–1683), seit 1645 sachsen-altenburgischer Hof- und Justizrat; er entstammte
einer bekannten sächsischen Juristen- und Theologenfamilie; nach 1648 Ges. Sachsen- Al-
tenburgs und Coburgs auf dem Nürnberger Exekutionstag sowie Betrauung mit weiteren
Ämtern und Gesandtschaften durch diese und Sachsen-Gotha ( DBA I 180, 176–191;
Kaster / Steinwascher , 268f.; APW III A 3.1 Anm. 59 zu nr. 2; zur Familie s. auch Döh-
ring , 156).
Weymar , du duc de Wirtenberg
Das Hgt. Württemberg wurde auf dem WFK in Münster und Osnabrück seit 1645 vertre-
ten durch Burckhardt und Varnbüler ( Philippe , 56f. und passim). – Dr. iur. utr. Andreas
Burckhardt (1594–1651) war bis Juli 1647 auf dem WFK und zugleich Ges. des Schwäbi-
schen Reichskreises; seit 1618 im württembergischen Verwaltungsdienst, 1638/39 Vize-
kanzler , 1647/48 Kanzler; seit 1636 württembergischer Ges. auf mehreren Reichs- und
Schwäbischen Kreisversammlungen ( APW III A 3.1 Anm. 42 zu nr. 2). – Dr. Johann
Konrad Varnbü(h)ler (1595–1657), bis 1649 auf dem WFK, zugleich als Ges. der Gft.
Pfalz-Veldenz; seit 1624 im württembergischen Verwaltungsdienst, 1641 Geheimer Regi-
ments - und Oberrat; vor und nach dem WFK württembergischer Beobachter oder Ges.
auf mehreren Reichsversammlungen ( DBA I 1301, 281 und 353; Kaster / Steinwascher ,
270f.; APW III A 3.1 Anm. 42 zu nr. 2).
d’estre satisfaitz et murmurent de la continuation de la guerre après que
l’Empereur s’est mis si fort à la raison. Cependant tous les princes et
estatz catholiques gémissent sous le faix, il ne se passe quasi point de
jour qui ne leur oste beaucoup, ils se veulent mettre sous la protection
de la France, et disent assés librement qu’ils attendent secours du mesme
lieu d’où ils ont receu le coup. Ils prient et pressent extraordinairement
que l’on sauve au moins l’évesché d’Osnaburg, veu mesmes que les pro-
testans n’y insistent plus, et ont déclaré au comte de Trautmansdorff
qu’ils s’en remettent à tout ce qu’il en résoudra avec les ambassadeurs de
Suède. Ils disent partout que cella ne mérite pas de retarder la paix, et se
laissent entendre qu’ils s’en seroient desjà désistés, n’estoit qu’ils en ont
voulu déférer la résolution et la parole ausditz sieurs ambassadeurs.
Cella n’empesche pas que monsieur Oxenstiern ne vueille [!] donner plus
d’assistence aux protestans qu’ils n’en demandent, et aller au-delà de ce
que la reyne sa maistresse luy ordonne. Il considéra néantmoins ce que
nous luy disions hier que si après avoir convenu de la satisfaction de la
couronne de Suède et en avoir signé le traitté qui règle toutes choses,
tant pour le desdommagemen〈t〉 de Brandebourg que pour celuy de
Meckelbourg, ils ont besoin de l’évesché de Minden pour bien asseurer
(comme ils disent) laditte satisfaction, et qu’après l’avoir obtenu, ils vueil-
lent [!] encores l’évesché d’Osnaburg pour le mesme effet, l’on seroit
aussy bien fondé à ne point restituer les villes forestières ny le Brisgau,
et à prétendre que l’Empereur ou l’Empire doivent en donner récompense
aux archiducz d’Inspruch , veu mesmes qu’ils n’ont pas fait plus de
guerre aux couronnes alliées que cet électeur de Brandebourg, et en ont
fait beaucoup moins que son père
avec nous pour la satisfaction de la France
gent esgalement puisque l’une et l’autre convention est pure et simple, et
termine l’affaire de tout point.
|:Au fons, si le dessein des Suédois est de deschirer l’Empire, il semble qu’il
n’y auroit pas de raison ny de seureté à les laisser faire sans y prendre part.
Monsieur Salvius m’a dit en confiance qu’ils ont ordre de traisner les af-
faires en attendant que le sieur Eschen
Alexander Erskein (1598–1656), 1634–1637 und 1642–1648 Kriegs- und Assistenzrat bei
der schwed. Hauptarmee, 1647 mit den Verhandlungen über die schwed. Militärsatisfak-
tion betraut, 1648 Kriegspräsident; vor- und nachher mit verschiedenen Verwaltungsauf-
gaben im Reich betraut; 1649–1650 Unterhändler auf dem Nürnberger Exekutionstag;
1652 und 1655 Nobilitierungen ( SBA : B-067: 255; SMK II, 455f.; Palmstierna , 98, 107;
Fiedler , passim; Oschmann , passim; Druck seiner Instruktion für die Militärsatisfakti-
onsverhandlungen vom 7./17. April 1647: APW II C 3 Anhang, 615–624).
régler la satisfaction et le licentiement des troupes. En voillà pour long-
temps , car je vois par la dernière lettre de monsieur Chanut
Nach der üblichen Postbeförderungsdauer wäre zu denken an: Chanut an d’Avaux,
[Stockholm] 1647 April 6; Kopie, nicht zeitgenössisch: AE , CP Suède 12 fol. 82–85’ –
ders. an Longueville, d’Avaux und Servien, [Stockholm] 1647 April 6; Kopie, nicht zeit-
genössisch : AE , CP Suède 12 fol. 80’–82. Darin wird berichtet, man sei über die Instruk-
tion Erskeins trotz inständigen Ersuchens Chanuts um Beschleunigung erst gestern im RR
übereingekommen, sie sei nun noch schriftlich auszufertigen, Erskein werde dann vermut-
lich Ende der Woche aufbrechen. – Noch weniger zuversichtlich äußerte sich Chanut im
vorhergehenden Brief; Chanut an d’Avaux, [Stockholm] 1647 März 23; Duplikat [für
Brienne]: AE , CP Suède 9 fol. 208–209’ (Eingang laut Dorsal, fol. 211’: 1647 April 23).
Darin schreibt er zwar, Christina habe ihm versichert, daß Erskeins Instruktion fertigge-
stellt sei und dieser in der kommenden Woche abreisen werde, zieht aber aus der Länge
der Reisevorbereitungen den Schluß, daß Schweden gegenwärtig keinen Frieden schließen
wolle.
struction de cet envoié ne seroit pas encores si tost preste
bien jugé |:par les discours de la reyne de Suède que l’intention de son
conseil n’est pas de conclurre prontement le traité de paix:|.
Le comte de Trautmansdorff qui reconnoist la mesme chose par leur con-
duitte s’est résolu enfin de retourner à Munster
céans où il nous a dit adieu. Il a eu soin par deux diverses fois de s’ asseu-
rer que je seray à Munster aussy tost que luy, comme s’il avoit dessein de
s’entremettre de ce qui reste à décider entre les Espagnolz et nous.
Il m’a adverti que les Médiateurs crient publiquement contre moy que je
retarde ce traitté-là sur ce que Penneranda leur a fait voir une lettre du
comte de Trautmansdorff
Munster, mais bien résolu de ne me relascher point d’une suspension d’ ar-
mes en Portugal. Je luy ay confirmé que les ordres du Roy nous y obli-
gent et que rien ne m’en peut dimouvoir [!] . Il n’a pas trouvé cella si rude
comme les Espagnols en font semblant. Monsieur de La Court l’a remar-
qué comme moy.
Le sieur Krebs a receu ordre de l’électeur de Bavières d’aller le plus tost
qu’il pourra à Strasbourg où il doit trouver ses instructions et de là passer
à la cour avec deux autres ministres de ce prince, tous trois en qualité
d’ambassadeurs
Diese Mission wurde vom Juni 1647 an (Eintreffen in Paris am 3., am Hof in Amiens am
15. des Monats) durch Johann Adolph Krebs, der im Oktober wieder abreiste, und Grons-
feld (s. Anm. 24) unternommen, der im August den frz. Hof verließ; sie verfolgte nach der
kurbay. Instruktion vom 2. Mai 1647 das Ziel, eine Allianz zur gegenseitigen Garantie des
auf dem WFK gewonnenen oder angestrebten Besitzstandes zu schließen ( Heilmann II.2,
731; Riezler , Frk.; Ruppert , 312f.; Albrecht , Maximilian I., 1066f.; Tischer , Krebs,
175ff.). Auch die Interessen des Kf.en von Köln sollten diese Ges. vertreten und Vorschläge
von seiner Seite unterbreiten; vgl. Kf. Ferdinand von Köln an [Mazarin], Bonn 1647 Mai
18; Ausf. (it.): AE , CP Cologne 2 fol. 11. Später kündigte der Kf. aber einen eigenen Ges.
an: Fh. von Fenf, Archidiakon von Lüttich und Staatsrat (nähere biographische Angaben
wurden nicht ermittelt); vgl. Kf. Ferdinand von Köln an [Mazarin], Bonn 1647 Juni 8;
Ausf. (it.): AE , CP Cologne 2 fol. 15; vgl. auch ders. an Ludwig XIV., Bonn 1647 Juni
8; Ausf. (frz.): AN KK 1357 fol. 102.
d’Allemagne, et qui parle bien françois. |:Il a quelque pensée de servir le
Roy en Alsace et nous avons toutsjours creu qu’il y seroit très propre,
mais il luy importe que ce dessein n’esclate pas:|. Il croit que le comte de
Gronsfeld
Jost Maximilian Gf. von Bronckhorst und Gronsfeld (1598–1662) war seit 1645 Gouver-
neur von Ingolstadt; er hatte von Beginn des Dreißigjährigen Krieges an in der ligistischen
Armee gedient, war 1632–1633 Generalfeldzeugmeister geworden und hatte 1636 wegen
Unstimmigkeiten mit der ksl. Generalität seinen Abschied aus dem Militärdienst genom-
men . Danach zeichnete er seine Erlebnisse auf, die 1647 in der Amsterdamer Ausgabe des
Florus von Eberhard Wassenberg gedruckt wurden, bevor er 1645 wieder in das kurbay.
Heer eintrat; nachdem er beim Lübecker Frieden 1629 auch Erfahrung als diplomatischer
Unterhändler gesammelt hatte, wurde er im Juni 1647 als kurbay. Ges. nach Frk. entsandt
(s. Anm. 23); danach war er weiterhin militärisch für Kurbayern und den Ks. tätig ( Be-
förderung bis zum Feldmarschall, aber Ungnade 1648–1649) sowie diplomatisch (bis 1661)
für den Ks. ( DBA I 425, 260–267; Lahrkamp , Gronsfeld).
en escrit néantmoins que par conjectures. |:Son opinion est qu’ils ne vont
pas en France pour y faire seulement des remerciemens et des compli-
mens :|.