Acta Pacis Westphalicae II B 5,2 : Die französischen Korrespondenzen, Band 5, 2. Teil: 1647 / Guido Braun unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy und Achim Tröster, unter Mithilfe von Antje Oschmann am Register
189. Longueville an Servien Münster 1647 März 21
Münster 1647 März 21
Ausfertigung: AE , CP All. 99 fol. 178–187 = Druckvorlage.
Widersprüchlichkeit der Anweisungen aus Paris betreffend die niederländische Interposition.
Longuevilles Forderung an Pauw nach Rückgabe der ausgetauschten Verhandlungsakten;
dessen Bitte um Aufschub bis zum Eintreffen eines seiner Kollegen in Münster; deren Ab-
lehnung durch Longueville unter Hinweis auf die fortgeschrittene Jahreszeit und die Not-
wendigkeit , Klarheit für die Feldzugsvorbereitungen zu schaffen; Bitte an Pauw um wahr-
heitsgetreue Berichterstattung in die Niederlande. Konferenz mit den Mediatoren: ihr
Drängen auf Fortsetzung der ihrer Ansicht nach erfolgversprechenden Verhandlungen mit
Spanien; Longuevilles Kritik an der spanischen Replik vom 18. März 1647 auf den franzö-
sischen Gesamtentwurf für den Friedensvertrag mit Spanien vom 25. Januar 1647; Einschät-
zung , daß weitere Verhandlungen auf dieser Grundlage aussichtslos sind; daher Entschluß
Longuevilles zur Rückgabe der Verhandlungsakten; Warnung der Mediatoren vor einem
Abbruch der Verhandlungen; Longuevilles Betonung des Willens zu deren Fortsetzung,
aber gleichzeitig Wunsch, bei der Festlegung der Forderungen ungebunden zu sein; Vermitt-
lungsangebot der Mediatoren: Bitte um Gewährung einer Frist von acht Tagen; deren Zu-
geständnis durch Longueville zwecks Rückübertragung der Vermittlung in ihre Hände.
Abermaliges Drängen Pauws auf Konzession eines Moratoriums, um den Spaniern unter
seiner Interposition Zeit zu einer Erklärung zu geben; Zugeständnis von zwei Tagen durch
Longueville; Problem der Verbindlichkeit der spanischen Stellungnahmen gegenüber Pauw
während der Alleinvertretung der Niederländer durch seine Person; Abhilfe nach Wunsch
Longuevilles durch Wiederholung der spanischen Erklärungen an Pauw gegenüber den Me-
diatoren . Neuerliche Konferenz mit diesen: ihr Bericht über eine Zusammenkunft mit Peña-
randa ; keine Klarheit in der Frage der toskanischen Plätze; Peñarandas völlige Unnachgie-
bigkeit in Sachen Portugal; Entgegnung Longuevilles; Mitteilung, er habe Pauw verpflich-
tet , die Spanier zu gleichlautenden Erklärungen an ihn und die Mediatoren anzuhalten. –
Antwort auf nr. 176: Kritik an Serviens Beschwerde über Pauw und Knuyt; Vorwürfe zum
Teil unbeweisbar; entgegen Serviens Absicht alle Mitglieder der niederländischen Gesandt-
schaft hiervon betroffen; Rechtfertigung für Longuevilles Rückgriff auf Pauw als Interposi-
tor in Münster: dessen Nützlichkeit gerade durch seine guten Beziehungen zu den Spaniern;
im Gegensatz zu Den Haag in Münster keine Trennung zwischen Pauw als Privatperson
und seiner Eigenschaft als (derzeit alleinigem) niederländischem Botschafter möglich; War-
ten auf weitere Anweisungen des Hofes in dieser Angelegenheit. Verhandlungen in Ulm;
Schreiben Rákóczys.
Nach der Lektüre des Memorandums des Königs für Sie vom 1. des Mo-
nats und des Schreibens von Brienne an mich vom selben Tage wußte ich
nicht, wie ich mich verhalten sollte, da einerseits Ihre Erklärung gegen
Pauw und Knuyt
dischen Gesandten, die verdächtig erschienen, von der Interposition aus-
zuschließen , Brienne mir aber andererseits mitteilte, daß man grundsätz-
lich an der Vermittlung durch die Generalstaaten festhalten wolle; nun ist
aber Pauw zur Zeit der einzige niederländische Gesandte in Münster, ihm
die Interposition zu entziehen, hieße also, sie den Generalstaaten zu ent-
ziehen . Nachdem Pauw mir eine unbefriedigende Replik der Spanier ( Bei-
lage 1) auf unseren Gesamtentwurf für den Friedensvertrag mit Spanien
überbracht hatte, habe ich ihm sämtliche Schriftsätze, die er mir seitens
der Spanier ausgehändigt hatte , zurückgegeben und im Gegenzug auch
unsere Artikel
Pauw die Akten an und versprach, die Spanier um Rückgabe der unseren
zu ersuchen. Ich hoffe, mit diesem Vorgehen sowohl den Anweisungen
zum Verhalten gegenüber den niederländischen Gesandten gerecht ge-
worden zu sein, als auch die Spanier zur Vernunft zu bringen und zur
Abtretung der umstrittenen Plätze zu bewegen .
Le lendemain il me vint voir, et me dit qu’aiant veu le comte de Penna-
randa , il l’avoit tousjours trouvé bien disposé à faire la paix; qu’il espéroit
qu’on surmonteroit avec le temps les difficultés qui s’y rencontrent; mais
que luy estant seul des députés de Messieurs les Estats, il eût bien désiré
qu’il y eût eu quelqu’un de ses collègues pour y travailler avec luy, me
priant de luy donner temps d’escrire à Messieurs les Estatz pour les faire
venir promptement, assurant qu’il ne laisseroit pas d’agir cependant
〈aupr〉ès des Espagnols pour tirer d’eux le consentement, tant sur les
postes de Toscane, que sur ce qui reste en différend.
Je dis audict sieur Paw qu’il avoit eu ses collègues icy, et qu’ils s’en es-
toient retirés. Que le sieur Donia demeuré le dernier estoit party de Mun-
ster , sans que j’en eusse rien sceu, et que demandant aujourd’huy du temps
pour en faire venir d’autres, c’estoit justement selon l’intention des pléni-
potentiaires d’Espagne qui ne cherchoient que des dilayemens, et non pas
de conclurre. Que la nostre, au contraire, estoit de sçavoir promptement
ce qui se doit attendre de la négotiation, et de faire la paix, ou de nous
préparer à la guerre. Que la saison de la campagne approchant, il estoit
temps de se déclarer, et que je protestois que nous estions libres de faire
cy-après telles demandes que nous jugerions à propos.
Le sieur Paw, ne pouvant tirer autre parole de moy, me dist qu’il en ren-
droit compte à ses supérieurs, et moy, je le priay que ce fust en sorte que
la vérité leur fût connue, et que l’on sceût dans les Provinces ce qui s’est
passé entre les plénipotentiaires d’Espagne et nous, sans que rien leur fût
desguisé.
Les Médiateurs me vinrent trouver peu de temps après , et dirent que les
ministres d’Espagne leur avoient mis en main une réplique sur nos arti-
cles ; qu’ils p〈rotestoi〉ent avoir volonté de sortir d’affaires et d’en cher-
cher tous les moiens les plus propres; que puisque nous avions le mesme
désir, il leur sembloit que le traicté se pouvoit conclurre en peu de temps,
et s’offrirent d’y servir en tout ce qu’ils pourroient.
Je leur respondis que le sieur Paw m’avoit desjà délivré ladicte réplique,
en laquelle j’avois veu que les Espagnols prétendent que les places de Tos-
cane leur doivent estre restituées
Vgl. Beilage 1, hier fol 598 (Antwort auf Art. 21 des frz. Gesamtentwurfes): Spanien be-
steht auf der vereinbarten Restitution der frz. und span. besetzten Plätze in Italien mit
Ausnahme Pinerolos, das bei Frk. verbleiben darf, unter ausdrücklicher Verfügung über
die Rückerstattung Piombinos und Porto Longones an Spanien.
Beilage 1 zu nr. 156, hier Art. XII; vgl. Anm. 15 zu nr. 156. In Beilage 1 zu diesem
Schreiben (vgl. hier Anm. 12) betonen die Spanier ihren Rechtsstandpunkt, daß der Ver-
zicht auf die Nennung beider Plätze ihren Einschluß in die allgemeine Restitution (nicht
die Einwilligung in ihre Zession) bedeute.
sent pas faict ceste demande. Qu’ilz avoient aussy omis de respondre sur
l’article du Portugal
la ligue des princes d’Italie, sur la trefve en Catalogne et encor d’autres,
qui faisoient voir qu’au lieu d’avancer le traicté, ils en esloignoient la con-
clusion , et affectoient des longueurs pour se conduire selon l’événement
des affaires. Que cela avoit esté cause que je n’avois pas voulu retenir
davantage l’escrit ny entrer en traicté, mais que je l’avois reporté promp-
tement au sieur Paw, et luy avois redemandé nos articles avec protestation
que nous estions libres, et n’entendions plus estre engagés à ce que nous
avions mis dans noz articles.
Lesdictz Sieurs Médiateurs furent longtemps à me représenter qu’il ne
falloit pas donner lieu à rompre une négotiation qui estoit sy bien avan-
cée , et dans laquelle il restoit peu de choses en différend. Ils me conjurè-
rent de donner au moins un temps dans lequel les Espagnols se pussent
déclarer.
Je leur dis que je n’entendois pas pour cela rompre la négotiation, mais
que nous ne voulions pas aussy demeurer engagés, tandis que les Espa-
gnolz , retenans noz articles, croiroient en estre quittes au pis-aller pour
ce qui y est contenu, et feroient cependant ce qui leur plairoit; mais que
chacun estant libre de son costé, l’on pourroit cy-après demander ou re-
fuser de part et d’autre telles conditions que chacun jugeroit estre de son
bien et de son avantage.
Les Médiateurs insistans que je ne fisse point une déclaration sy précise, je
leur dis que j’estois obligé de rendre compte promptement à Leurs Majes-
tez de ce qui s’estoit passé. Ils me demandèrent huict jours pendant les-
quels ils travailleroient auprès des plénipotentiaires d’Espagne pour les
faire déclarer, et voyant que |:c’ettoit un moyen pour remettre la média-
tion en leurs mains:|, je leur promis que sy dans l’ordinaire prochain les
Espagnols se déclaroient sur les postes de Porto Longone et Piombino,
j’entrerois en traicté sur le reste, les priant de mesnager cela au mieux
qu’ils pourroient, sans le dire aux Espagnols s’ils ne jugeoient le pouvoir
faire utilement, leur tesmoignant au surplus que je serois bien aise que |:ce
fust par leur entremise que la négotiation fust conduicte:|.
Le jour suivant , le sieur Paw, prenant occasion de me voir après avoir
dict adieu à ma femme, qui est sur le poinct de partir pour aller à Paris ,
vint encor me réitérer la prière de ne vouloir point tant presser les affaires
et de limiter quelque temps dans lequel les Espagnols se pussent déclarer,
après quoy l’on seroit libre de part et d’autre de prende telles résolutions
que l’on voudroit.
Je luy dis qu’au sortir de la dernière conférence que nous avions eu en-
semble , les Médiateurs m’estoient venus voir, et qu’ils m’avoient tenu sy
longtemps, qu’estant un lundy au soir, je n’avois pu faire ma dépesche à la
cour; que je faisois estat d’y envoier un exprès dans deux jours; que sy
dans ce temps-là les Espagnols s’estoient déclarés, j’escrirois selon le su-
ject qu’ils m’en donneroient, mais que je ne pouvois tarder davantage de
rendre compte à Leurs Majestez, ny demeurer engagé, tandis que les Es-
pagnols seroient en liberté de respondre sur nos demandes ainsy que bon
leur sembleroit.
Ledict sieur Paw répliqua que le temps estoit bien court, me pressa fort de
vouloir attendre un peu davantage, s’offrit de s’emploier avec vigueur, et
voyant que je ne voulois rien accorder de plus, il dist que les Espagnols
luy pourroient donner telle parole, qu’estant seul, comme il estoit, ils l’ ex-
pliqueroient peut-estre après autrement; que c’estoit ce qui luy faisoit dé-
sirer d’avoir quelqu’un avec luy qui pust rendre tesmoignage de ce qui
seroit dict, afin que rien ne luy pût estre imputé, s’il y avoit après du
changement, comme il arrivoit quelquefois en des affaires de ceste nature,
où l’on ne pouvoit se munir de trop de précautions.
Je luy dis qu’il y avoit un beau moien de remédier à cela, d’autant que sy
les Espagnols se déclaroient à luy de chose qui nous pût contenter, ils en
devoient dire autant aux Médiateurs, et quand je serois assuré par les Mé-
diateurs et par luy, qu’il n’y auroit plus alors aucun suject de craindre que
les Espagnols se pussent desdire, s’ils ne vouloient se perdre tout à faict
d’honneur. Je crus que |:ledict Pau, s’avanceant ainsy, ne le faisoit pas sans
cognoistre l’inclination des Espagnolz et que pour un accessoire auquel:| il
est tousjours facile de pourvoir d’ailleurs, |:je ne devois pas perdre l’ occa-
sion de sçavoir ce qu’ilz ont à dire:|.
Comme les Médiateurs m’avoient veu le jour précédent après ledict
Paw, le suivant ils firent encor la mesme chose , et me dirent qu’ils a-
voient veu Pennaranda depuis, et l’avoient trouvé bien disposé; qu’ils ne
pouvoient donner assurance sur le poinct des postes de Toscane, mais
qu’ilz ne croyoient pas que cela deust empescher la paix. Pour celuy du
Portugal, qu’ils y trouvoient Pennaranda tout à faict arresté, disant que
ses ordres estoient de ne souffrir pas qu’il en fût parlé en aucune façon
dans le traicté.
Après avoir reparty sur cela comme je devois, je dis auxdictz Sieurs Mé-
diateurs |:comme Pau m’estoit venu reveoir et que je l’avois obligé, au cas
que les Espagnolz se déclarassent à luy, de leur dire qu’ilz devoient faire
sçavoir la mesme chose aux Médiateurs:|.
Voylà l’estat où sont icy les affaires, reste maintenant à vous respondre
sur vostre lettre du 14 de ce mois.
Ihr Schreiben an die Generalstaaten wegen Bruns Brief hätte nicht
trefflicher sein können.
Pour ce qui regarde Paw et Knuyt, je trouve que les choses que vous
dictes contr’eux sont de deux sortes: les unes se peuvent prouver par les
escritz mesmes qu’ils ont envoié à leurs supérieurs, |:mais il y en a quel-
ques -unes qui encor qu’elles soient véritables je doubte sy on pourra les
esclaircir et s’il n’eust point esté aussy advantageux, ne le pouvant faire,
de n’en venir pas sy avant. Je crains aussy qu’en parlant contre Pau et
Knuyt, la légation entière ne se treuve intéressée:|, car quoyqu’avec toutte
l’addresse imaginable vous aiez |:séparé leur cause de celle de leurs collè-
gues , il est bien difficile pourtant qu’en les exemptant du blasme d’avoir
participé à la corruption de ces deux, on puisse ne leur pas imputer de
s’estre laissez conduire par eux, et que sy ce n’est les accuser de crime
comme les aultres, c’est au moins les taxer de foiblesse et d’incapacité:|.
J’eusse cru que ceste plainte n’ayant pas esté faicte incontinent |:après la
signature des articles :|, on eust pu attendre que |:la garentie eust esté
résolue:|, mais puisqu’estant sur les lieux, vous avés jugé ne devoir pas
attendre ce temps-là, je suis bien assuré que vous |:avez veu qu’il n’en
pouvoit ariver aucun inconvénient:|, et sçais qu’en tout vous prenés sy
bien voz mesures que j’en prends bonne espérance, ainsy que je vous
l’ay desjà mandé, du succès de vostre négotiation.
Mais pour ce qui regarde celle de Munster, je ne sçais pas comme |:j’eusse
pu en exclurre Pau et ne désobliger les Provinces:|. Je vous ay tousjours
adverty ponctuellement de ce qui s’est icy passé. Je n’ay jamais considéré
|:Pau que comme estant gaigné par les Espagnolz:|, mais c’est ce qui m’a
faict croire qu’il estoit plus |:capable de nous ayder que de nous nuire:|.
Vous pouvez vous souvenir que nous avons souvent souhaitté que |: Mes-
sieurs les Médiateurs eussent inclination pour les Espagnolz:| pourveu
qu’ilz eussent assés de croyance auprès d’eux, d’autant qu’ilz eussent
esté par là plus |:capables de les porter où nous désirons:|. C’est pour ceste
raison que j’ay cru que |:ledict Pau nous pouvoit estre utile:|. Au surplus,
il est facile à |:La Haye de l’accuser comme particulier:|, mais je ne sçais
pas comment, estant icy, l’on en |:pourroit séparer la qualité d’ ambassa-
deur et qu’estant seul, on le pust exclurre sans que le corps de l’Estat s’y
treuvast en quelque façon intéressé:|. Sy vous jugés néantmoins qu’il le
faille faire, il semble qu’il faudroit |:travailler auprès de Messieurs les
Estatz pour le faire révoquer et pour leur faire envoyer icy d’aultres dé-
putez à qui nous puissions confier nos affaires:|. Mais tant que |:ledict Pau
sera icy:|, je ne vois pas que pour donner plus ou moins de |:vigueur à une
plainte qui n’est qu’un accessoire:| et qui ne touche pas le fonds de vostre
négotiation, il faille |:se priver de l’avantage de pouvoir faire déclarer les
Espagnolz sur les postes de Toscane:| ou de faire connestre à tout le
monde que c’est eux |:qui retardent la paix:|.
Nonobstant touttes ces raisons, je pense avoir mis la chose en un poinct
que l’on est libre de prendre telle résolution que l’on voudra après que
Leurs Majestés auront esté informées de tout. J’aurois cru faire contre
leurs ordres et le bien de leur service, et particulièrement avoir nuy à la
|:garentie que vous poursuivez à La Haye, sy j’en avois usé aultrement:|.
Sy l’on juge qu’il faille changer, je ne m’attache point à mes sentimens et
suivray tousjours bien volontiers ce qu’il plaira à Leurs Majestés d’ ordon-
ner . Quand nous sommes en mesme lieu, nous n’avons pas accoustumé
d’avoir différentes opinions. Je crois que sy j’estois où vous estes, je serois
de vostre mesme advis, et que sy vous estiez icy, vous seriés infaillible-
ment du mien. J’ay grande impatience que cela soit, et pour le bien des
affaires, et pour mon contentement particulier.
Verhandlungen über eine Waffenruhe in Ulm; Depeschen Rákóczys .
1 AE , CP All. 87 fol. 596–603: Déclaration ou réplique de la part d’Espagne sur les articles
contenus en l’instrument pour la paix présenté par la France, Longueville von Pauw praes.
in [Münster] 1647 März 16, frz. Kopie, datiert auf 1647 März 21. – Weitere frz. Kopien :
AN K 1336 nº 47a [1]
merkungen Godefroys .