Acta Pacis Westphalicae II B 5,1 : Die französischen Korrespondenzen, Band 5, 1. Teil: 1646 - 1647 / Guido Braun unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy und Achim Tröster, unter Mithilfe von Antje Oschmann am Register
101. Memorandum d’Avaux’ [für Ludwig XIV.] Osnabrück 1647 Februar 4
Osnabrück 1647 Februar 4
Ausfertigung: Ass.Nat. 277 fol. 176–180; Eingang laut Dorsal, fol. 180’: 1647 Februar 13 =
Druckvorlage. Teil-Reinkonzept: AE , CP All. 87 fol. 241–244. Kopien: AE , CP All. 81 fol.
42–45, mit nachgemachter Unterschrift d’Avaux’; AE , CP All. 98 fol. 252–259’ .
Langwierige Verhandlungen d’Avaux’ mit den kurbrandenburgischen und den schwe-
dischen Gesandten über die Abtretung Gollnows, die Pfründen des Bistums Kammin sowie
die schwedischen Donationen in Hinterpommern; kurbrandenburgisches Einlenken bei den
ersten beiden Punkten; Vorhaltungen d’Avaux’ gegenüber den Schweden wegen des Ver-
handlungsstils Oxenstiernas; daraufhin schwedisches Einlenken in Sachen Donationen. Wie-
derum neue Forderungen der Schweden zu Kammin bei der Niederschrift der vereinbarten
Artikel (dazu Beilage 1); ihr Pochen auf die Unverbindlichkeit ihrer bisherigen Zusagen.
Heftige Auseinandersetzung zwischen d’Avaux und La Court einer-, Oxenstierna und Sal-
vius andererseits; insgeheime Kritik Salvius’ am wechselhaften Verhalten Oxenstiernas, aber
Bitte um Verständnis für deren Zurückhaltung im Beisein des einflußreichen schwedischen
Primargesandten. Verweigerung eines schriftlichen Abkommens mit Kurbrandenburg durch
die Schweden ohne vorherige Einigung über die übrigen Punkte ihrer Satisfaktion mit den
Kaiserlichen; ihre wahrscheinliche Hoffnung auf die ausgelobten 1,2 Millionen Reichstaler.
Eintritt d’Avaux’ in Verhandlungen mit Trauttmansdorff im Auftrag der Schweden; weiter-
hin Bemühen um eine schriftliche Fixierung der schwedisch-kurbrandenburgischen Verein-
barungen . Erneute Bitte Oxenstiernas bei d’Avaux um freie Hand für die Forderung auf
ganz Pommern; deren Zurückweisung. Wünschenswertes Eintreten des Kurfürsten von
Brandenburg für die Belange Frankreichs bei den Oraniern. Hoffnung auf baldigen Ab-
schluß der schwedisch-kurbrandenburgischen Verhandlungen durch Beilage 2; darin auch
Bitte um gute Dienste d’Avaux’ bei den schwedisch-kaiserlichen.
Les trois jours qui ont suivy immédiatement celuy auquel je fis le dernier
mémoire se sont passez en contestations |:et variations qui m’ont:| bien
donné de l’exercice. Messieurs Oxenstiern et Salvius avoient enfin con-
senti sur la nouvelle demande de Golnau que cette place demeurast à
l’électeur de Brandebourg soubz le bon plaisir de la reyne de Suède, et le
comte de Wittgenstein avoit accepté cette condition en sorte que sa
majesté en décideroit et que sans attendre sa résolution, l’on achèveroit
le traitté. Le lendemain ces messieurs ayans receu leurs despêches de
Stockholm
Sehr wahrscheinlich ist das Schreiben Kg.in Christinas an Oxenstierna und Salvius, Stock-
holm 1647 Januar 2/12 (Druck: APW II C 3 nr. 108), gemeint; darin befahl Kg.in Christi-
na , mit dem Kf.en von Bg. abzuschließen, falls dieser in die Zession Vorpommerns mit
Rügen, Wollin, Stettin, Damm, Gollnow und Dievenow willige; andernfalls solle ganz
Pommern mit Zustimmung durch Ks. und Reich gefordert werden ( ebd. , hier 193 z. 33 –
194 z. 5).
ne pouvoient plus laisser Golnau à l’électeur. Ce fut à recommencer.
Incontinent après, monsieur Oxentiern, pressé de plusieurs raisons et
exemples que je luy apportois, et encores plus du désir d’avoir Golnau
comme aussy le droit de conférer quelques prébendes de l’évesché de Ca-
min , s’avancea à me dire que si je luy procurois satisfaction en ces deux
points, il se relascheroit touchant les donations
Diese Donationen, mit denen u.a. zahlreiche schwed. Militärs abgefunden worden waren,
stellten den Großteil Hinterpommerns dar, so daß Kurbg. im Falle ihrer Bestätigung hier-
von kaum mehr etwas verblieben wäre. Andernfalls aber mußte die Entschädigung der
hinfällig werdenden Donationen das schwed. Problem der Armeesatisfaktion noch vergrö-
ßern ; die Sicherung der Donationen hatte daher die schwed. Forderung nach der Zession
auch Hinterpommerns mitbegründet. Zum Umfang der schwed. Donationen und ihrer
Rolle bei den Satisfaktionsverhandlungen vgl. ebd. , XXXVI, XLIff, LII, LIV und Dick-
mann , 315f.; grundsätzlich zum Problem der schwed. Donationen ebd. , 49f.
a faittes à divers particuliers de tous les bailliages de la Poméranie Ulté-
rieure , les uns à vie, les autres pour dix, douze ou quinze ans. Car jusques
alors, il avoit tousjours prétendu que l’électeur ne jouiroit des terres qui
luy seroient restituées qu’après la mort des donataires ou quand le temps
de leurs donations seroit expiré. Cela paroissoit si rude à ses députez
qu’ilz m’avoient osté toute espérance de conclurre rien avec eux si les
Suédois persistoient. Je pris donc soin, à plusieurs reprises, de faire con-
noistre à monsieur Oxenstiern que c’estoit rendre et retenir, que nous
n’en avons pas ainsy usé avec les ennemis héréditaires de la France, et
que tout ce qu’on restitue à la maison d’Austriche dans le Brisgau et ail-
leurs est déchargé de toutes donations et confiscations précédentes
quoy il me respondit enfin ce que dessus.
Mais après que j’eus disposé avec beaucoup de peine les plénipotentiaires
de Brandebou〈r〉g à céder Golnau et la collation de cette partie des pré-
bendes qui estoit contentieuse, nous trouvasmes, monsieur de La Court et
moy, |:monsieur Oxenstiern en aussy mauvaise humeur que jamais tou-
chant les donations. Je luy fis plainte de ce procédé en présence de:| mes-
sieurs Salvius, Rosenhan et Melonius qui ne voulurent pas |:abandonner le
chef de leur ambassade; mais, au sortir de la conférence, j’ay sceu qu’ilz
luy tesmoignèrent tous trois ouvertement qu’il avoit tort et en la forme et
au fonds, et peu à peu l’obligèrent à se désister de:| cette demande. En-
suitte de quoy nous avons terminé cinq ou six points de moindre impor-
tance qui estoient demeurés indécis.
Mais quand l’on est venu à mettre les articles par escrit, ainsy qu’il avoit
esté résolu de commun consentement, il s’est trouvé encores des préten-
tions nouvelles de la part des ambassadeurs de Suède; lesquels, non con-
tens de la cession de Golnau dont il n’avoit jamais esté fait aucune de-
mande , et de la collation des prébendes de Camin, quoyqu’ilz eussent
déclaré en termes exprès qu’ilz laissoient l’évesché de Camin à l’électeur
de Brandebourg, ont demandé «adiacentes terras» depuis Gartz et Grief-
fenhage
aux autres droits dudit évesché aussy bien qu’à celuy de conférer les
prébendes, comme on verra par le premier et troisiesme article du projet
cy-joint.
Pendant la dispute touchant lesdittes prébendes, à quoy les ministres de
Brandebourg ne pouvoient se résoudre, messieurs Oxenstiern et Salvius
m’avoient dit en plusieurs conférences qu’ilz ne révoquoient point la ces-
sion de l’évesché, mais que pour le droit de conférer la moitié des prében-
des , ils ne pouvoient s’en départir en façon du monde. Ilz avoient déclaré
la mesme chose à monsieur Wolmar. Et néantmoins, après l’avoir dit de
leur part aux députez de Brandebourg et m’en estre servy comme d’un
moyen pour tirer le consentement qu’ils désiroient, ils soustiennent pou-
voir demander le reste, et vinrent hier jusques à ce point de me dire que
ny la proposition qu’ilz ont donnée aux Impériaux , ny la lettre qu’ilz ont
escritte aux ambassadeurs de France , ny ce qu’ilz me disent dans cette
négotiation, ne les oblige point jusques à ce que le traitté général de la
paix soit signé.
Je me plaignis de tant de variations, sans leur donner pourtant ce nom-là,
et remonstray que si on changeoit ainsy du soir au matin au préjudice
d’une parole qu’on m’avoit donnée, c’estoit me rendre inutile, et faire
tort à un ambassadeur de France qu’ils ont prié de s’employer en cette
affaire; mais que je leur donnois volontiers mon intérest comme estant
peu de chose, et que je n’estois en peine que du retardement que cela
apporte à la paix, sur quoy je marquay en passant les causes qui la rendent
désormais nécessaire et dis qu’y ayant tantost six mois qu’on ne travaille
qu’aux affaires de Suède, l’on douteroit de leur intention s’ilz n’y appor-
toient enfin un peu plus de diligence et de facilité qu’ilz n’ont fait jusques
à présent. Je creus que ce discours estoit nécessaire pour réveiller un peu
leur lenteur et pour leur faire comprendre sans le dire qu’il n’est pas rai-
sonnab 〈le〉 que pour un vilage qui n’avoit point encores esté prétendu et
quelques droits d’un évesché qui a esté cédé, le Roy continue la guerre et
que la France soit chargée du blasme et des malédictions de toute la chres-
tienté affligée comme elle est, qui ne peut croire que nous voulions la
paix pendant que noz alliez la refusent pour des vétilles. Cependant,
comme monsieur de La Court adjoustoit quelque chose à ce que j’avois
dit, quoyque son raisonnement fust fort juste et ses paroles mesurées,
monsieur Salvius s’eschaufa contre luy. Et sur ce que je pris la parole
pour ledit sieur de La Court, monsieur Salvius ne m’espargna pas aussy.
Monsieur Oxenstiern et luy se trouvèrent d’accord |:en cette colère qui
n’est pas dangereuse, car quoyque sur l’heure elle soit fascheuse, à qui la
reçoit il arrive d’ordinaire quelque bien avec ces messieurs-là. Il les faut
harceler de fois à autre pour en avoir raison, et c’est chose très asseurée
que si on ne les traisne à la paix, ilz ne s’y lairront point conduire:|.
Au sortir de la chambre de monsieur Oxenstiern qui garde le lit à cause
d’une indisposition, monsieur Salvius s’approcha de monsieur de La
Court et luy dit que l’on avoit bien crié là-dedans comme les avocats
font l’un contre l’autre quand ilz sont au barreau, mais qu’après cela ilz
vont boire ensemble. Il me répéta la mesme chose, en me conduisant, et
prit à tesmoin monsieur de Rosenhan, qui a espousé, disoit-il, la cousine
germaine
leur possible |:pour apprivoiser cet homme et pour avancer le traicté,
mais que s’ilz en tiroient une bonne parolle et un consentement à quelque
chose, il changeoit d’avis le lendemain. Que n’estant que deux ambassa-
deurs , il n’y avoit point de remède que la patience, et qu’il luy en falloit
prendre plus:| que je ne croiois. |:Que je devois considérer que ledict sieur
Oxenstiern est le premier des deux, qu’il est sénateur du royaume et, qui
pis est:| (ce furent ses propres termes), |:filz du chancellier. Monsieur de
Rosenhan plioit les espaulles à tout ce discours et tesmoignoit l’approuver
entièrement:|.
J’ay oublié |:une autre variation dudict sieur Oxenstiern:|, bien importan-
te ; |:c’est qu’il estoit demeuré d’accord de:| signer les articles avec les dé-
putez de Brandebourg lorsque tous leurs différens seroient composez. Et
de plus, le projet cy-joint m’a esté apporté de sa part et de celle de mon-
sieur Salvius pour le communiquer aux députez de Brandebourg. Je leur
demanday pourquoy donc le dernier article de ce projet dressé par eux-
mesmes porte ces mots:
14–16 «Hæc vigore … testamur».] in der schwed. Überlieferung (s. Anm. 15) lautet dieser
Absatz abweichend: Hæc interim vigore mutuarum plenipotentiarum ad modum su-
pra scriptum conclusa esse, effectumque habitura pleniorem cum pace generali, nos
infra scripti manibus sigillisque nostris testamur. Der gesamte Absatz ist dort nach-
träglich gestrichen, findet sich aber – in leicht abweichendem Wortlaut, namentlich
unter Streichung des pleniorem – wieder in der kurbg. Fassung des Projekts mit
schwed. Marginalien (lat.), Osnabrück 1647 Januar s. die (Kopie: DG 9 fol. 75–76’ =
APW II C 3 Beilage E zu nr. 124), und in einer weiteren Bearbeitungsstufe (s. Anm.
14). Die Formulierungen in den beiden letztgenannten Schriftsätzen kurbrandenbur-
gischer Provenienz stehen dem Zitat d’Avaux’ näher als der Wortlaut des von
d’Avaux angeführten schwedischen Textes.
dum supra scriptum conclusa esse, effectumque suum habitura cum pace
generali, manibus sigillisque nostris testamur». |:Monsieur Salvius ne
sceut que répondre, mais il n’en opiniastra pas moins son advis:| parce,
dit-il, qu’ils ont ordre de ne point faire de traitté avec l’électeur de Bran-
debourg . Je repartis qu’il eust esté donc beaucoup meilleur de ne s’y point
engager de parole et par escrit, et que d’ailleurs ce n’estoit pas un traitté
formel. Je proposay qu’au moins l’on fist une conférence entre eux, les
députez de Brandebourg et nous, pour arrester chaque point et en laisser
un escrit non signé entre mes mains, comme il a esté fait à Munster entre
les mains de Messieurs les Médiateurs lorsque nous sommes convenu〈s〉
de la satisfaction de la France
Die ksl.-frz. Satisfaktionsart. (s. Anm. 6) waren am 13. September 1646 in einer gemeinsamen
Sitzung der frz. und der ksl. Ges. mit den Mediatoren von Chigi verlesen und dann von
beiden Seiten (vermutlich mündlich, mit ein, zwei Worten oder Sätzen, vielleicht auch zu-
sätzlich durch affirmative Gestik) bestätigt worden ( Repgen , Satisfaktionsart., 180f.).
qu’ils vouloient estre d’accord avec les Impériaux de tout le reste de la
satisfaction de Suède avant que de conclurre avec Brandebourg, et qu’ilz
me donneroient leurs demandes par escrit, avec prière d’en vouloir traitter
avec le comte de Trautmansdorff. Je leur promis toute sorte de soins et de
service, mais ce fut en me plaignant un peu qu’après avoir travaillé trois
semaines en l’affaire de Poméranie à leur réquisition, ils la vouloient lais-
ser imparfaicte lorsqu’il ne faloit plus qu’une conférence pour la terminer
de tout point.
|:Il me semble qu’ilz cherchent à:| laisser toutes choses dans l’incertitude
pour s’en prévaloir auprès des Impériaux et tirer d’eux la |:somme de
douze cent mil risdalles qui devoient estre fournies à celluy qui n’auroit
pas Stetin:|. Car aujourd’huy qu’avec cette ville-là ilz ont encores Gartz,
Dam, Wollin et Golnau, |:ilz veullent aussy l’argent:|, et se persuadent de
l’avoir plus facilement si le traitté de Brandebourg n’est pas fait. |:C’est la
meilleure interprétation que je puisse donner à un procédé si rude et si
inconstant que le leur:|.
Nonobstant toutes ces difficultez et mortiffications, je ne me rens pas. Je
les ay sollicitez encores aujourd’huy, et continueray sans relasche, affin
que s’il est possible, en attendant le succez de cette nouvelle négotiation
dont ilz veulent me charger, et dont j’ay desjà fait ouverture à monsieur
de Trautmansdorff, nous achevions la première au moins par un escrit
non signé dont je demeureray le dépositaire.
Monsieur Oxenstiern m’a répété ces jours-cy vingt fois que l’électeur de
Brandebourg peut bien remercier la France, et que sans nostre interposi-
tion il n’auroit rien des Suédois en Poméranie ny des Impériaux dans
l’Empire. Il me voulut sonder et solliciter de nouveau qu’on les laissast
faire; mais comme j’ay veu par les lettres de monsieur le duc de Longue-
ville et par celles de monsieur de Servien
est aussy entièrement le mien), je le pressay de ne point quitter une négo-
tiation desjà bien avancée, et à laquelle je travaille à leur instance il y a
longtemps, pour en entamer une autre toute nouvelle. Je dis que ce chan-
gement seroit mal interprété de tout le monde.
Les députez de Brandebourg sçavent fort bien cette grande inclination des
Suédois à retenir toute la Poméranie, et que les Impériaux y trouvent
aussy leur compte. Ilz reconnoissent que leur maistre en aura toute l’ obli-
gation à Leurs Majestez, et ainsy mondict sieur de Servien peut s’en
prévaloir bien utilement auprès de monsieur et de madame la princesse
d’Orange. Desjà mesmes j’ay obligé le comte de Wittgenstein et ses collè-
gues de représenter de ma part à l’électeur qu’après de tels offices qu’il
reçoit de la France, qui seule aujourd’huy soustient ses intérestz, je ne
doutois point qu’il n’agist en sorte, auprès de monsieur son beau-père et
de madame sa belle-mère, que la négotiation de La Haye réussisse au con-
tentement de Leurs Majestez et que monsieur Servien connoisse l’effet
des soins et de l’entremise dudit sieur électeur. Ilz luy en ont escrit de
bonne sorte et tesmoignent ouvertement que ce prince y est très obligé,
n’ignorans pas que non seulement l’Empereur et la couronne de Suède
s’accorderoient volontiers à ses despens, mais que les estatz de l’Empire
le souhaittent aussy pour sauver Magdebourg et Halberstat, qui demeure-
roient en ce cas aux Luthériens.
Depuis cecy escrit, je viens de recevoir une lettre de monsieur Salvius
av〈ec〉 un exemplaire des articles dont il s’agit entre les plénipotentiaires
de Suède et ceux de Brandebourg
ne doute pas que demain cette affaire ne soit toute achevée. Le temps ne
permet pas de copier ledit exemplaire avec les apostilles qui sont en mar-
ge , mais voicy copie de la lettre |:qui faict voir qu’une juste fermeté est
quelquesfois utille auprès des Suédois. L’on verra aussy comme:| ilz stipu-
lent que je leur fasse maintenant de bons offices auprès des Impériaux
touchant le reste de la satisfaction de Suède, et c’est à quoy j’ay desjà
commencé de les servir avec espérance de quelque succez. Je m’en vais
bien presser la conclusion.
1 Schwedisches Projekt für den Rezeß mit Kurbrandenburg betr. die Überlassung Pom-
merns , Kopie (fehlt) .