Acta Pacis Westphalicae II B 4 : Die französischen Korrespondenzen, Band 4: 1646 / Clivia Kelch-Rade und Anuschka Tischer unter Benutzung der Vroarbeiten von Kriemhild Goronzy und unter Mithilfe von Michael Rohrschneider
269. Lionne an Servien Paris 1646 November 23

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Lionne an Servien


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Paris 1646 November 23

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Ausfertigung: AE , CP All. 78 fol. 399–400’ = Druckvorlage.

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Postangelegenheiten. Bemühen um Garantie der Generalstaaten. Bedingungen für Wiedereintritt
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in den Krieg. Artikel über Liga in Italien. Gesandtschaften nach Savoyen und Mantua derzeit
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unpraktikabel. Casale. Mögliche Heirat Mademoiselles. Lothringen. Gegenseitigkeit der franzö-
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sisch-niederländischen Verpflichtungen. Casale. Hilfe für Portugal. Nachricht über Aussöhnung
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d’Avaux’ und Serviens. Brief d’Avaux’ an princesse de Condé. Privata. Spekulation über even-
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tuelles Angebot eines Austausches von Cambrai und Saint-Omer gegen Dünkirchen. Beilagen.

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Son Eminence voulut faire soubz son nom la response

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Nr. 261.
à vostre mémoire du
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28 e du passé

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Gemeint ist: Servien an Lionne, 1646 Oktober 30 = nr. 231.
, ainsi que vous aurés veu, et je répondray maintenant à celuy du
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6 e du courant, qui ne put estre deschiffré à temps.

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Pourveu que |:les Hollandois nous garentissent nostre trêve pendant les
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trente années qu’elle doibt durer:|, nous aurons à toute extrémité assez de
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quoy nous contenter, |:car pour les Pays-Bas on s’asseure qu’ilz ne feront pas
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difficulté de le faire pour tousjours:|. Son Eminence dict que |:vous rendrez
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un grand service sy vous tenez bon:| en sorte que |:nous les obligeons aux
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garenties que nous pouvons souhaitter:|.

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Il faut prendre garde que la difficulté que nous avons faicte de |:rentrer en
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guerre:| n’a esté qu’en cas que |:Messieurs les Estatz voulussent nous y enga-
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ger quand leur trêve sera expirée:|, ce qui auroit esté |:manquer de foy au
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public:|, car du reste nous avons tousjours offert |:d’y rentrer sy les Espa-
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gnols contrevenoient au traicté, soit qu’ilz eussent conclud paix ou trêve,

[p. 842] [scan. 914]


1

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1 et] fehlt im Klartext.
et:| nous nous contenterons de |:la mesme chose qu’on leur offroit qui est
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qu’après la trêve expirée ilz nous assistent d’hommes et d’argent:|.

3
Touchant |:la ligue d’Italie, j’ay quasy copié dans le mémoire du Roy

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Nr. 267.
l’article
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qui est dans le vostre:|.

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La proposition que vous faictes d’e|:nvoyer des personnes expresses à Turin
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et à Mantoue:| est fort bonne, mais elle n’est pas praticable estans à la veille
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de la paix. |:Pour le poinct de Casal adjusté et prenant un temps pour exécu-
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ter les autres poinctz:|, il est à croire que |:les places demeurans cependant
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entre nos mains:|, nous pourrons facilement |:obliger ces maisons-cy à des
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traictez particuliers où nous treuverons nos advantages et elles leur compte et
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leur seureté:|.

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Son Eminence a jugé que |:ce seroit trop d’affectation de vous envoyer le
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portraict de Mademoiselle, mais:| elle vous prie de profficter des conjonc-
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tures que vous trouverés |:avec dignité pour le mariage de l’Empereur ou
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mesme du roy d’Espagne:|.

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Je croy vous avoir assez escrit par mes précédentes pour vous faire cognoistre
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les intérests et les sentimens de deçà sur |:l’affaire de Lorraine:|. Si vous n’ es-
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tes encore persuadé de tout ce que l’on vous a mandé, Son Eminence m’a
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chargé de vous escrire qu’elle se promettoit de vous convaincre à la première
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veue. J’adjousteray seulement comme je voy que vostre plus fort argument est
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|:l’exclusion du duc Charles du traicté que si nos parties sans aulcun prétexte
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l’ont voulu abbandonner, à plus forte raison le feront-ilz quand on leur aura
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donné en main de quoy le contenter:|. Et afin que cette proposition ne fasse
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point de préjudice à |:nostre droict sur ses Estatz:|, on vous met en considé-
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ration s’il ne seroit point à propos, |:le party venant à estre refusé:| comme je
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n’en doute nullement, |:de faire une déclaration expresse que le Roy s’y estoit
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porté en faveur de nos parties par pure générosité et que le Roy n’entendra
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parler de cette affaire et a résolu de faire valoir ses droictz:| etc.

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Cependant |:tout ce que vous autres messieurs avez escript contre le duc
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Charles a faict icy un fort bon effect, parce que Son Altesse Royale professe
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avoir là-dessus les dernières obligations à la Reyne et à Son Eminence, quoy-
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que :| comme vous sçavés |:tout ce qu’on propose et rien est tout un:|.

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Son Eminence trouve fort bon |:qu’on déclare à Messieurs les Estatz qu’on ne
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prétend pas estre obligé à tout ce qui les touche, s’ilz ne le sont de mesme à
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nostre endroict:|.

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Son Eminence croid qu’on pourroit prétendre de |:rentrer dans Casal au cas:|
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etc., mais elle trouveroit un peu rude la prétention de |:ravoir toutes les autres
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places que nous rendons présentement:|.

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Elle a trouvé bonne la précaution de |:faire par forme de prest les assistances
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qu’on donnera au Portugal:|.

[p. 843] [scan. 915]


1
Monsieur d’Erbigny m’est venu voir de la part de monsieur d’Avaux pour me
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donner la bonne nouvelle de vostre entière et sincère réconciliation après un
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esclaircissement de tout le passé adjoustant les protestations que vous pouvés
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vous imaginer. J’y ay correspondu aux termes les plus civilz qu’il m’a esté
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possible. |:Cependant je vous prie de bien cultiver cela affin de l’engager à
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vostre retour à vous servir, quoyque vous n’en ayez pas besoin. Cela fera un
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fort bon effect pour fermer la bouche à ceux qui disent que vous estes incom-
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patible et qui se servent de cette raison pour vous nuire.

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J’ay faict veoir à Son Eminence une lettre que monsieur d’Avaux escript à
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Madame la Princesse

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[D’Avaux] an princesse de Condé, [Münster] 1646 Oktober 25, Kopie: AE , CP All. 67 fol.
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159.
sur la prise de Dunkerque, elle a servy de raillerie:|
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pendant quelques jours. Je n’ay pas oublié |:d’y faire remarquer qu’il l’a qua-
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lifié au préjudice de la Reyne la plus glorieuse et la plus heureuse mère du
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monde. Son Altesse Royale est outré contre luy des termes dont il use pour
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relever la gloire de Monsieur le Duc:|. Tout cela |:s’estoit passé avant que je
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sceusse vostre réconciliation:|.

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Monsieur d’Erbigny a dict à Son Eminence et à moy que |:l’on nous devoit
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bientost offrir Cambray et Saint-Omer:|, peut-estre |:encore une autre place
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pour ravoir Donkerque:|.

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Privata.

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Je vous addresse deux mémoires, l’un de monsieur de Bournonville

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Alexandre duc de Bournonville, comte de Hennin (1585–1656); Diplomat und Militär in den
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Span. Ndl.n, 1622 Gouverneur de la Flandre wallone. Als Mitglied einer Liga, deren Ziel die
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Unabhängigkeit der Span. Ndl. war, entzog er sich 1634 der drohenden Verhaftung durch die
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Flucht nach Frk., wo er 1656 starb ( BNB II Sp. 860–862; Waddington I S. 148, 179).
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Unter Berufung auf ein Versprechen Kg. Ludwigs XIII. bat Bournonville darum, Frk. möge
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sich für seine Aufnahme in den Frieden mit Spanien und die Rückgabe seiner konfiszierten
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Güter und Ämter einsetzen (Bournonville an Servien, Lyon 1646 November 9, Ausf.: AE , CP
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All. 67 fol. 258; ders. an [Brienne], Lyon 1646 November 20; Ausf.: ebd. fol. 338).
et l’autre
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de monsieur Séguier, aumosnier de la Reyne

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Dominique Séguier (1593–1659), ein Bruder des Kanzlers Pierre Séguier (s. [ nr. 89 Anm. 3 ] ),
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war premier aumônier du Roi, Parlamentsrat, doyen de l’église de Paris, seit 1631–1639 Bf.
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von Auxerre und seit 1637 von Meaux ( DHGE V Sp. 946; Moréri VI S. 398; Mousnier ,
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Séguier I S. 29; Gauchat S. 87, 237).
, dont je prens la liberté de vous
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supplier de prendre soing dans la conclusion du traicté.


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Beilagen


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1 Memoranden Bournonvilles und Dominique Séguiers [fehlen].

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