Acta Pacis Westphalicae II B 2 : Die französischen Korrespondenzen, Band 2: 1645 / Franz Bosbach unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy und unter Mithilfe von Rita Bohlen
111. Servien an Brienne Münster 1645 Mai 27
Münster 1645 Mai 27
Ausfertigung: AssNat 274 fol. 599–606’ = Druckvorlage; Eingang: 1645 Juni 7 . Konzept: AE ,
CP All. 51 fol. 371–377. Kopie: AE , CP All. 43 fol. 471–482.
Weiterer Verzicht d’Avaux’ auf die Mitarbeit. Erneute Konferenz mit den bayerischen
Gesandten: Vortrag einiger Punkte aus dem Anbringen Vervaux’; Versicherung des französi-
schen Bemühens um Beförderung des Friedens, Ankündigung der neuen Proposition, Zurück-
weisung der kaiserlichen Absicht auf Einberufung einer Versammlung zur Beratung der
Religionsfragen, Verwendung für die Interessen Bayerns nach Maßgabe der bayerischen Politik,
Bereitschaft zur Mitteilung des Vorschlages einer allgemeinen Waffenruhe an die Verbündeten.
Konferenz mit den Mediatoren: Drängen auf Herausgabe der Proposition; Dementi der
kaiserlichen Gesandten zu ihren Zugeständnissen zum Verhandlungsmodus, Zweifel des
Nuntius an der Richtigkeit des Dementi. Absicht der Schweden zur Herausgabe der Proposi-
tion II vor den Franzosen; Furcht vor neuen Verzögerungen durch Anweisungen aus
Frankreich zu den Religionsfragen; Untätigkeit Rortés. Erstaunen der Mediatoren über die
schwedische Mäßigung in der Religionsfrage. Forderung der portugiesischen Vertreter nach
vorrangiger Behandlung ihrer Angelegenheiten; Schwierigkeiten durch die Zulegung des
Ambassadeur-Titels; Verschiebung ihrer Anliegen bis zur Ankunft der Gesandten der General-
staaten und bis zur Aufnahme der Verhandlungen mit Spanien. Drängen bei den Schweden auf
die Beilegung des Krieges mit Dänemark; niederländischer Argwohn gegen die Stärkung der
schwedischen Position im Sund; Schwäche Dänemarks. Aushebungen. Sorgen um den rechtzei-
tigen Eingang der Stellungnahme des Hofes zur Proposition II.
Gegen meinen Willen muß ich allein auf nr. 99 antworten, da d’Avaux
weiterhin jede Mitarbeit verweigert.
Avant que respondre à tous les pointz de vostre lettre, je suis obligé de vous
faire sçavoir ce qui s’est passé dans une seconde audience que les ambassa-
deurs de Bavière m’ont demandée, m’ayant esté renvoyez par monsieur
d’Avaux. Je vous rendis compte par ma précédente despesche de ce qu’ilz
m’avoient dict en la première. Ilz me déclarèrent en celle-cy, qu’ilz avoient
enfin esté informez par leur maistre de ce que son confesseur avoit traicté à
la cour. 1. Qu’il avoit eu charge d’y échouer Leurs Majestez à la paix
généralle et sçavoir leur disposition sur ce subjet. 2. De recommander les
intérestz de la religion catholicque, 3. de presser la proposition et celle que
nous devions donner, 4. de remonstrer que les différends qui concernoient
la religion ne pouvoient estre décidez en cette assemblée et que l’Empereur
en avoit desjà convocqué une aultre pour cela l’année qui vient, 5. de
demander l’assistance de Leurs Majestez pour ses intérestz particuliers et
principalement pour la dignité électoralle, sur quoy il avoit receu des
promesses très favorables, dont il estoit obligé à Leurs Majestez et les avoit
chargez de nous en remercier de nouveau, 6. et pour fin qu’il avoit proposé
une suspension généralle entre tous les partiz pour empescher que les
divers succès des armes n’apportent du changement à la négotiation de la
paix.
Avant que respondre à leur proposition, |:voyant qu’ilz ne faisoient point
de mention des offres plus importantes qui avoient esté faictes par le
confesseur:|, je leur ay demandé, sy c’ettoit tout ce qu’ilz avoient à me dire,
sur quoy ilz se sont regardez l’un l’autre et après avoir repassé ensemble
tous les poinctz qu’ilz avoient touchez, m’ont confirmé qu’ilz n’avoient pas
charge de me parler d’aultre chose. Cela m’a obligé de leur dire que Leurs
Majestez avoient tousjours faict paroistre tant d’inclination pour la paix, et
faict esclatter tant de piété en toutes leurs actions qu’elles n’avoient point
besoin d’estre exhortées d’en avancer la négotiation, ny en la traictant
d’avoir soin de leur religion. Qu’au premier jour on donneroit une
proposition nouvelle, quoyque nos parties n’eussent encor donné aulcune
responce raisonnable à cèles qui leur avoient desjà esté données de nostre
part et que les difficultez qu’ilz avoient faictes jusques icy injustement,
eussent retardé l’avancement du traicté. Que pour les différends des
catholiques et des protestans qui avoient tousjours esté la cause des troubles
en Allemagne, ce ne seroit pas voulloir sincèrement la paix que d’en
renvoyer la décision en une aultre assemblée laquelle n’ayant esté inthimée
qu’en fraude de celle-cy et pour en détruire les bonnes résolutions, ne
donneroit satisfaction ny aux couronnes ny à leurs alliez. |:Que pour
l’affection de Leurs Majestez envers monsieur le duc de Bavières et la
bonne disposition de l’assister dans ses intérestz particulliers nous l’avions
recognue très grande dans tous les ordres qui nous avoient esté envoyez sur
ce subject. Mais que la promesse de luy conserver la dignité électoralle:| ne
nous avoit pas paru sy expresse qu’ilz me la représentoient et que pour leur
en parler franchement, je croyois qu’on se conduiroit en cela |:selon que
leur maistre y obligeroit Leurs Majestez, dont il se pourroit promettre
l’assistance autant qu’il rendroit la sienne utille aux intérestz de la France:|,
puisque les affaires du monde se gouvernoient ainsy et qu’il ne seroit pas
honorable pour nous qu’au préjudice de nos anciens amis nous procuras-
sions du bien à un prince de qui nous ne receussions pas la pareille, ny
mesme aulcune marque effective de recognoissance. Quant à la suspension,
je leur ay demandé de nouveau s’ilz entendoient parler d’une généralle ou
d’une particulière, et s’estans derechef considérez l’un l’autre, ilz m’ont
respondu conjoinctement qu’ilz n’avoient charge de parler que de la
généralle, sur quoy je leur ay déclaré qu’encor que nous n’eussions pas
ordre de traicter aulcune suspension qui ne serviroit qu’à différer la paix et
à rendre les espritz plus paresseux à la conclure, et que d’ailleurs noz alliez
y eussent encor moins de disposition que nous, je communicquerois ce
qu’ilz venoient de m’en dire à monsieur d’Avaux et puis à messieurs les
ambassadeurs de Suède, après quoy, je leur ferois une responce plus
décisive. Mais que je ne pouvois finir sans leur dire que ces propositions
estoient |:bien différentes de celles qui avoient esté faictes par le confesseur,
que leur maistre avoit peut-estre creu les devoir changer croyant à présent
ses affaires en meilleur estat qu’elles n’estoient en ce temps-là. Que:|
néantmoins ilz verroient bientost que le succès d’un combat n’estoit pas
cappable de changer les desseins d’un puissant royaume.
Messieurs les médiateurs ont pris la peine de nous veoir cette sepmaine, et
monsieur d’Avaux a bien voulu sur les diverses instances qui luy en ont esté
faictes que la conférence fust faicte chez luy. Ilz nous ont représenté
qu’enfin le passeport pour les députez de Stralsunde a esté accordé par les
Impériaux, et que cela estant fait, ilz ne voyoient plus d’obstacle qui nous
deust empescher de donner nostre proposition tant attendue. Nous leur
avons respondu que toutes nos demandes sont prestes de part et d’aultre il
y a longtemps, et que n’ayant esté retardées jusques icy que par cette
difficulté, nous croyons que les Suédois y ayans receu satisfaction, ne
refuseroient pas de passer oultre, non plus que nous, qu’aussytost que nous
en aurions receu l’advis de leur part, nous prendrions jour pour une
conférence entre nous et ensuite pour faire paroistre ce qu’on attendoit
tant.
Après cela nous avons estimé leur debvoir faire plainte d’un désaveu que les
Impériaux ont faict courir icy des parolles qui nous furent portées il y a
quelque temps par lesdicts sieurs médiateurs, dont nous vous envoyasmes
le mémoire , qui sembloient apporter quelque facilité à la négotiation.
Nous nous sommes contentez pour leur faire veoir l’injustice de cet escript
(dont la coppie est cy-joincte) tant dans la forme que dans la substance de
leur en faire la lecture, croyant que lorsqu’ilz se verroient désavouez par un
libelle public qui les faisoit passer pour aprobateurs et pour juges d’une
résolution dont ilz nous avoient porté le contraire, ilz entrèrent dans nos
sentimens. |:Mais je ne vous puis celler Monsieur que j’ay esté un peu
surpris de la responce de monsieur le nonce qui:| a creu nous satisfaire en
nous disant qu’il n’adjoustoit point de foy à cet escript, sy on ne luy disoit
de qui on l’avoit eu, en quel temps et par quel moyen. J’ay respondu qu’il
ne s’agissoit pas de former un procès, que monsieur de Volmar ne désavou-
eroit peult-estre pas d’en estre l’autheur et qu’en tout cas il nous suffiroit
qu’il le désavouast. |:Monsieur le nonce reprenant la parolle et ayant faict
quelques discours qui penchoient plustost à approuver les choses contenues
en cet escrit qu’à les comdempner:|, nous a répété que des pappiers de cette
sorte ne méritoient pas d’estre considérez, |:et a adjousté avec un peu de
chaleur:| que pour luy il croyoit que c’ettoit une pièce |:faulce, sur quoy
voyant qu’il s’eschauffoit beaucoup et que cella pouvoit causer une plus
grande contestation:|, j’ay creu devoir imiter la modération de monsieur
d’Avaux qui n’a rien respondu. Je n’ay peu néantmoins m’empescher de
dire que le mesme escript luy avoit esté donné aussy bien qu’à moy, ce qu’il
a advoué, et que par conséquent on ne pouvoit croire que |:nous eussions
part à la faulceté ny l’un ny l’autre:|. Ce n’est pas Monsieur que je ne
recognoisse très nécessaire pour l’avancement de la négociation de deman-
der l’explication dudit escript, particulièrement sur le droict de suffrage des
députez et sur l’assemblée des estatz du royaume, dont ilz s’estoient
départiz auparavant, qui sont deux poinctz très importants et dont le
dernier sent plus la querelle que l’accommodement. Néantmoins |:voyant
que l’esprit dudit sieur nonce se pouvoit aigrir d’avantage:|, j’ay pensé qu’il
estoit plus à propos de différer en un aultre temps et de prendre une plus
favorable conjuncture de leur faire entendre noz raisons avec douceur et
sans esclat. J’ay desjà commencé de le faire assez heureusement auprez de
|:monsieur Contarini:| et cela nous est d’autant plus nécessaire que cet
escript ayant en mesme temps esté envoyé aux ambassadeurs de Suède, leur
avoit donné subjet de croire que nous traictions icy sans eux, et nous avoit
obligé de les esclaircir du contraire.
Encor que le soupçon qu’ilz en avoient pris fust sans aulcune apparence, il
n’a pas laissé de nous donner de la peine, parce qu’ayant envie et comme
formé le dessein de donner leur proposition avant que nous puissions
donner la nostre, sçachant bien que |:nous attendons vostre réponce avant
que le voulloir faire:|, ilz ont cherché tous les prétextes qui leur en
pouvoient faciliter le moyen et quoyque je leur aie envoyé diverses fois
pour leur faire comprendre que ce seroit une espèce de division dès l’entrée
du traicté qui nous pourroit causer du préjudice, et qui estoit contre la
disposition des traictez d’alliance, tout ce que j’ay peu obtenir jusqu’à cette
heure a esté une promesse généralle qu’ilz ne feront rien que de bon
concert avec nous, mais je n’ay peu encor tout à faict les réduire dans la
convention que nous avions cy-devant faicte de donner ensemble noz
propositions aux prochaines festes de la Pentecoste. Il me semble que leur
principalle appréhention est que |:la réponce de la cour que nous attendons,
n’y apporte quelque difficulté et ne nous oblige peut-estre à nous opposer
encor plus fortement que nous n’avons faict jusques icy à:| ce qu’ilz ont
résolu de faire |:sur les poincts qui concernent la religion:| et ce qui
augmente ma peine parmy toutes ces difficultez, est que n’ayant peu estre
assisté ny conduict icy par les prudents conseilz de monsieur d’Avaux, il
s’est rencontré en mesme temps que monsieur de Rorté n’a point traitté
d’affaires avec les Suédois depuis mon départ d’Osnabrug et m’a escript
lorsque je l’ay pressé de s’y employer que son indisposition ne le luy
permettoit pas . J’oze espérer néantmoins que toutes choses demeureront
dans l’ordre où elles doibvent estre et que Leurs Majestez en auront entière
satisfaction.
Je prendray mesme la liberté de vous dire qu’ayant entretenu en termes
généraux chacun de messieurs les médiateurs de la forme de nostre
proposition, et de ce qu’elle doit contenir, ilz se sont estonnez que nous
ayons |:peu avoir le consentement des Suédois pour parler si modérément
des poincts qui concernent la religion:|, estans alliez comme nous sommes
avec eux et avec |:le reste des protestans:|, et monsieur Contarini m’a
demandé fort curieusement comme nous avions |:peu mesnager un point si
délicat, sans qu’il causât quelque froideur ou mésintelligence entre nous,
sur quoy je l’ay asseuré qu’il recognoistroit par les effectz que l’union ne
pouvoit pas estre plus grande entre noz alliez et nous, quelques soins et
quelques artiffices qu’on eust mis en jeu pour nous diviser.
Après ce compte si exacte et peult-estre trop ennuyeux que je viens de vous
rendre de tout ce qui se passe en ayant faict une responce séparée au
mémoire du Roy que vostre lettre du 13 a accompagné, il me restera peu de
chose à vous dire sur le reste de ce qu’elle contient. Puisque nous avons
desjà cédé plustost par force que de bonne volonté aux violentes poursuites
des députez de Portugal, sy voz lettres précédentes eussent esté conformes
sur ce subjet à la vostre dernière nous eussions apporté plus de résistance
que nous n’avons faict à leurs prétentions. A la vérité quand ilz veullent que
l’on mette leurs affaires toutes les premières sur le tappis et qu’ilz préfèrent
les intérestz de leur maistre à ceux de toute la chrestienté qu’ilz ne se
soucient pas de retarder pourveu qu’ilz ayent ce qu’ilz désirent, on ne les
peult pas blasmer. Ilz se conduisent comme de bons ministres doibvent
faire. Mais il me semble qu’ilz eussent peu considérer plus raisonnablement
qu’ilz n’ont faict les obstacles qu’ilz se sont eux-mesmes formez en prenant
la qualité d’ambassadeurs, qui rendra la communication des autres minis-
tres de cette assemblée avec eux beaucoup plus difficile qu’elle n’eust esté
avec des particuliers ou de simples députez et qui peult-estre mettra leurs
personnes en plus de péril. Néantmoins ilz y ont tellement intéressé
l’honneur de leur maistre que nous avons esté contrainctz de nous
conformer à leur désir, ayant remarqué par plusieurs de voz dépesches que
l’intention de Leurs Majestez est de favoriser ce prince, et que mesme on
nous avoit en quelque sorte blasmé de la circonspection que nous avions
apportée dans ses affaires. Ayant obtenu l’un des poinctz qu’ilz deman-
doient pour le traictement de leurs personnes qu’ilz ont eux-mesmes voulu
préférer à celuy du sauf-conduict, ilz nous pressent maintenant pour le
second. Nous leur avons tousjours respondu et taschons encores de leur
faire comprendre que le vray temps d’en parler sera lorsqu’on entamera les
affaires d’Espagne, je veux dire des provinces d’Espagne, et qu’ilz doivent
estre bien asseurez qu’on n’entrera point solidement en traicté avec les
Espagnolz avant la venue des ambassadeurs de Hollande, que quand ilz
seront icy nous pourrons tous nous joindre pour demander leurs sauf-
conduictz et serons plus en estat de les obtenir que sy nous en parlions
maintenant tous seulz, qu’aussy bien les Suédois n’ont pas désiré d’en faire
mention dans noz premières propositions pour ne faire pas croire aux
princes d’Allemagne que nous voulons retarder la paix de l’Empire par la
difficulté qui se rencontre sur l’intérest des autres royaumes. Nous rédui-
sons souvent messieurs de Portugal par de semblables raisons à ne nous
pouvoir respondre, mais non pas en estat de ne nous presser plus, car ilz
recommencent leurs mesmes batteries de temps en temps, et quand elles ne
font pas assez d’effect par decà, ilz les font jouer du costé de la cour sans
considérer qu’il fault prendre loy du temps et des affaires.
Nous ne perdons point d’occasion de représenter à messieurs les Suédois
l’intérest qu’ilz ont de sortir promptement de la guerre de Dannemarck, en
leur faisant appréhender les révolutions de la fortune et le changement de
ceux qui ont tesmoigné jusqu’icy plus d’inclination de se joindre à eux, les
advis d’Hollande nous apprennent qu’on y commence à regarder leurs
prospéritez d’un oeil jaloux, et que l’on n’y seroit pas bien aise que tout le
commerce de la mer Balticque tombast entre leurs mains par la franchise
généralle qui leur est offerte au passage du Zund. Mais le pauvre roy de
Dannemark a tellement manqué de prévoyance et de prudence en l’aage de
soixante et douze ans qu’il s’est presque laissé ranger à leur discrétion, et ilz
cognoissent sy bien qu’ilz peuvent continuer cette guerre sans beaucoup de
péril pour eux qu’ilz se rendent difficiles dans les conditions de la paix.
Néantmoins il y a apparence qu’au bout de la quinzaine que monsieur
Oxenstiern avoit demandée à monsieur de La Thuillerie, cette négotiation
prendra fin par la conclusion de la paix ou par la rupture.
Bönninghausen will große Aushebungen veranstalten, allerdings zu sehr harten
Bedingungen.
Je ne puis finir sans vous tesmoigner les appréhentions où je suis de n’avoir
point de voz nouvelles à ces prochaines festes de la Pentecoste, car la
résolution de donner noz propositions en ce temps-là ayant esté prise avec
les Suédois le jour nommé et la parolle donnée d’y satisfaire sans faulte les
Suédois n’y manqueront pas de leur costé |:et ce seroit un grand malheur
pour nous, si quelque considération que ce soit nous obligeoit d’y
manquer:|. Je me prometz que vous y aurez faict réflection à temps …
1 fol. 612–612’: Pointz desquelz messieurs les médiateurs nous ont rapporté que messieurs
les plénipotentiaires de l’Empereur demeurent d’accord und Annotations des plénipoten-
tiaires de l’Empereur sur le consentement prétendu
Weitere Kopien: AE , CP All. 43 fol. 483–483’; AE , CP All. 47 fol. 15–15’; BN Coll. Dupuy
739 fol. 40–43; eine Kopie des ksl. Widerrufs in AE , CP All. 51 fol. 216. Kopien einer
Zusammenstellung der bewilligten Punkte, des Widerrufes und einer Erläuterung dazu finden
sich in AE , CP All. 46 fol. 354–357’; BN F. fr. 10649 fol. 230–231, 106–109. Der Widerruf
und die Erläuterung sind gedruckt in Nég. secr. I S. 245f.
2 nr. 112.