Acta Pacis Westphalicae II B 6 : Die französischen Korrespondenzen, Band 6: 1647 / Michael Rohrschneider unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy und unter MIthilfe von Rita Bohlen
39. Mazarin an Servien Amiens 1647 Juli 13

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Mazarin an Servien


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Amiens 1647 Juli 13

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Ausfertigung: AE , CP Holl. 42 fol. 46–47’ = Druckvorlage. Konzept: AE , CP All. 84 fol.
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186–188. Teildruck: Mazarin , Lettres II, 453f, 451 (mit falscher erschlossener Datierung
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1647 Juli 17 oder 18).

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Zustimmung zur Verhandlungsführung Serviens in den Garantieverhandlungen und in der
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Portugalfrage; zu seinem Hilfsbegehren hinsichtlich möglicher Beschwerden Pauws. Identi-
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fizierung des Unbekannten erforderlich, der frankreichfeindlicher Aktivitäten verdächtigt
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wird. Geldangelegenheiten. Nachrichten über die spanische Bereitschaft zur Waffenruhe in
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den Niederlanden oder sogar zu einem Friedensschluß im Falle einer niederländischen Er-
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klärung , andernfalls den Krieg gegen Spanien an der Seite Frankreichs fortzusetzen; gute
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Aussichten, bei einer Waffenruhe in Flandern und einem Friedensschluß im Reich den Krieg

[p. 125] [scan. 237]


1
in Spanien und Italien erfolgreich weiterführen zu können; Stellungnahme erbeten. Frage
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der Ausstellung spanischer Pässe für holländische Schiffe, die spanische Häfen anlaufen wol-
3
len . Militaria. Ansprüche des Wild- und Rheingrafen Friedrich I. Magnus bezüglich Ben-
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felds . Aushebungsangebot. Empörung über Äußerungen Ulfeldts. Haltung Wilhelms II.
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von Oranien. Militaria.

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Sa Majesté a approuvé les raisons que vous avés mandées pour faire voir
7
qu’il estoit à propos de |:se contenter de ce que l’on pourra tirer présen-
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tement de Messieurs les Estatz sur le subjet de la garentie:| et trouve bon
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que |:vous acheviez cette affaire le plus tost et le moins mal qu’il se pourra
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affin qu’en voulant tout avoir nous ne perdions pas la conjoncture d’ ob-
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tenir ce qu’on nous offre:| aujourd’huy |:qui servira tousjours à engager
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lesdictz

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12 Sieurs Estatz] laut Konzept; im chiffrierten Text der Druckvorlage: Messieurs les Estatz;
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im Klartext: Estatz
Sieurs Estatz à ne pouvoir se lier avec l’Espagne après la paix
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faicte sans une trahison trop manifeste, et à nous estre favorables:| à cette
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heure |:dans la conclusion de la paix:|.

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On a aussi approuvé les considérations qui vous ont retenu |:d’entamer la
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négotiation des affaires de Portugal et il seroit bon que le ministre que ce
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roy a de delà

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Sousa Coutinho.
:| estant persuadé, comme vous me mandés, qu’il faut néces-
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sairement |:attendre une conjoncture favorable l’escrivist à ses collègues
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qui sont icy

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Gemeint sind wahrscheinlich der marquês de Niza und Moniz de Carvalho. – Vasco Luiz
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da Gama, 5. conde da Vidigueira, 1. marquês de Niza (1612–1676), war 1642–1646 und
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1647–1649 port. Botschafter in Frk. ( ABEPI I 660, 155–160; GEPB XVIII, 761f, XXXV,
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178; Ramos-Coelho , Niza; Roma du Bocage , 268; Prestage , 7–10, 31–36). – Dr. An-
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tónio
Moniz de Carvalho (1610–1654) war 1646–1648 port. Res. in Paris ( ABEPI I 617,
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163–166; GEPB XVII, 639f; Roma du Bocage , 254; Prestage , 7, 29f).
et ne cessent de nous presser:| là-dessus.

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Il me semble qu’il n’est pas fort nécessaire de vous asseurer de la protec-
21
tion de Leurs Majestez en cas que Pau eust le crédit de faire faire icy des
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plaintes contre vous par l’ambassadeur de Messieurs les Estatz

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Willem van Liere (Guillaume de Lyere/Leijere) (1588–1649), heer van Oosterwijk, war
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1637–1648 Botschafter der Gst. in Frk. und zuvor 1628–1636 deren Ges. in Venedig; raads-
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heer in het Hof van Holland ( BAB 409, 371–375; Heringa , 70).
, comme
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vous n’aviés aucun besoing de prendre la précaution de m’en escrire.
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Si cela arrivoit, il ne serviroit qu’à vous relever auprès d’eux, car ilz
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verroient avec quelle hauteur vous seriés soustenu.

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Je vous prie encore de faire toutes diligences et perquisitions pour des-
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couvrir |:qui fut celuy qui passa au Sas de Gant:|, car la chose est plus
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importante que je ne sçaurois vous dire.

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Il faut par préférence à tout |:ce que je puis avoir escript sur l’employ de
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l’argent qui avoit esté remis au sieur Brasset acquitter ce que vous avez
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promis:| afin de |:desgager vostre parolle:| et pour les ordres qu’on avoit
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envoyés |:audit Brasset pour l’achapt d’un vaisseau:| on y pourveoira
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d’ailleurs.

[p. 126] [scan. 238]


1
J’ay advis de très bon lieu que |:les Espagnolz consentiroient à une sus-
2
pension d’a〈rmes〉 avec nous dans les Pays-Bas et mesme à une paix:|,
3
pourveu que |:les Hollandois voulussent entreprendre vivement l’affaire
4
et qu’ilz leur déclarassent que s’ilz n’y consentent ilz leur continueront
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la guerre conjoinctement avec nous:|.

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Il ne faudroit pas |:grande contestation pour faire un traicté comme celuy-
7
là :|. Il n’y auroit qu’à |:demeurer chacun en possession de ce qu’il tient et à
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bien lier Messieurs les Estatz de nous le garentir et de nous fournir quel-
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ques assistances pour la Catalogne:|.

10
Je vous ay tousjours veu d’opinion qu’il valloit mieux |:achever toutes
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choses en une fois:|, mais c’estoit en un temps que |:Messieurs les Estatz
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ne nous av〈oient〉 pas abandonné comme ilz ont faict depuis:|, de sorte
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qu’〈à〉 nouveau faict, nouveau conseil.

14
Il me semble que |:sy nous

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14 n’avions] laut Konzept statt voyons im Klartext der unvollständig chiffrierten Druck-
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vorlage
.
n’avions rien à faire du costé de Flandres ny
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d’Allemagne la paix de l’Empire estant faicte, nous soustiendrions avec
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grande facilité la guerre en Espagne et en Italie:|. Nou〈s〉 avons |:de
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bons rempartz et des dehors bien avancez en ces deux provinces et:| vray-
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semblablement |:nous ne sçaurions qu’y gaigner:|.

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Je vous prie de me mander si vous croyés qu’il y eust quelque chose à
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esp〈érer〉 de cette ouverture |:et en quelle manière il fauldroit la porter à
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Messieurs les Estatz pour la faire réussir:|, et si vous estes du mesme advis,
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et que vous en espériés quelque fruit, n’espargnés pas la despense du
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voyage d’un courrier, afin qu’on prenne icy résolution promptement, et
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qu’on en envoye les ordres.

25
Mon advis est que |:les ministres d’Espagne quoyqu’ilz ayent pouvoir du
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roy leur maistre:| à ce qu’on m’asseure |:d’y consentir ne le feroient ja-
27
mais , mais que se voyant pressez là-dessus par Messieurs les Estatz, ilz
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conclurr〈oient〉 la paix partout:|.

29
On m’a dict que si les ministres d’Espagne |:donnent doresnavant des pas-
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seportz à des vaisseaux hollandois pour aller en Espagne, ilz en excepte-
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ront :| tousjours |:Cadis

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Cádiz, Hafenstadt an der westlichen Küste von Andalusien.
et Sainct Lucar

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Sanlúcar de Barrameda, span. Hafenstadt nahe Cádiz, an der Mündung des Guadalquivir
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gelegen.
:|. Si cela est, vous aurés lieu de
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faire remarquer à Messieurs les Estatz que |:la confiance que les Espa-
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gnolz prennent en eux n’est pas sy entière qu’ilz se le persuadent:|.

34
J’ay escrit

41
Ein entsprechendes Schreiben konnte nicht ermittelt werden.
à monsieur le maréchal de Gassion sur l’advis que vous m’avés
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donné qu’il se desbande de la cavalerie de Courtray

42
Kortrijk/Courtrai, befestigte Stadt in der Gft. Flandern, am 29. Juni 1646 von frz. Truppen
43
eingenommen ( Chéruel , Minorité II, 225–228).
.

[p. 127] [scan. 239]


1
Je vous prie de me mander précisément ce que vous croyés qu’on doive
2
dire d’icy |:au Ringrave

20
Friedrich I. Magnus Wild- und Rheingf. in Neuviller-sur-Moselle (Neufville) (1607–1673),
21
Kavallerieoffizier in Diensten der Gst., 1642 Gouverneur von Sluis, 1648 Gouverneur von
22
Maastricht, 1665 General der Kavallerie; er war mit den Oraniern verwandt ( NNBW II,
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1258; Ten Raa / de Bas IV, insbes. 332, 340; ebd. V, 525; Stammtafeln NF IV T. 98f). –
24
Von schwed. Seite war ihm ein Verkauf Benfelds in Aussicht gestellt worden (vgl. Servien
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an Brienne, Den Haag 1647 April 9; Text: APW II B 5/2 nr. 213, hier 1017 Z. 11–28).
:| de la prétention qu’il a sur |:Benfeld:| et de me
3
faire sçavoir quelle elle est et ses raisons.

4
Je ne croy pas non plus que vous qu’il y ayt aucun fondement à faire en
5
l’offre que |:son nepveu

26
Wahrscheinlich Leopold Philipp Karl F. zu Salm, Wild- und Rheingf. zu Daun, Kirburg
27
und Rheingrafenstein (gest. 1663) ( Stammtafeln NF IV T. 98). Zu seiner Offerte vgl.
28
[Servien] an monsieur le prince de Salmes nepveu de Monsieur le Ringrave, [Den Haag]
29
1647 Juni 25 (Konzept, mit eigh. Korrekturen Serviens: AE , CP All. PP 54 fol. 42).
:| faict pour des levées.

6
J’escris à |:monsieur de La Thuillerie

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Mazarin an La Thuillerie, [Amiens] 1647 Juli 13 (Konzept: AE , CP Holl. 45 fol. 59–59’;
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Regest: Mazarin , Lettres II, 923).
:| sur le sujet de |:l’ambassadeur de
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Dannemarck:| et vous prie de luy dire |:touts les beaux discours qu’il a
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tenuz à son retour par delà:|. Je n’ay jamais rien veu de plus impertinent.
9
Les affaires générales ne sont pas, Dieu mercy, en l’estat qu’il a débité, et
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|:pour ce qu’il a dict de moy:| je puis jurer que |:jamais je ne luy ay parlé
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du comte de La Garde qu’avec très grande estime. Verteidigung gegen
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Unterstellungen Ulfeldts :|.

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Je ne sçay |:qui peult avoir escript à monsieur le prince d’Orange que j’ay
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dict qu’il ne s’amusoit qu’à ses plaisirs sy ce n’est:| peut-estre |:Monsieur
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le Premier

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Henri de Béringhen (Bellinghan) (1603–1692), gen. Monsieur le Premier (le père), war seit
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1645/1646 premier écuyer de la petite écurie du Roi, galt als enger Vertrauter Kg.in Annas
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und wurde auch zu Verhandlungen mit Pz. Friedrich Heinrich von Oranien eingesetzt
35
(ABF I 87, 94f; Mazarin , Lettres I, 912; Granges de Surgères I, 334; Bluche , Béring-
36
hen
).
à qui seul j’en ay parlé confidemment et qui l’aura faict à
16
bonne intention, mais:| peut-estre que |:l’advis luy a esté désagréable parce
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qu’il cognoist en son âme qu’il est vray:|.

18
Gleichzeitiges Vorgehen Gassions gegen La Bassée und Rantzaus gegen
19
Diksmuide.

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