Acta Pacis Westphalicae II B 5,2 : Die französischen Korrespondenzen, Band 5, 2. Teil: 1647 / Guido Braun unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy und Achim Tröster, unter Mithilfe von Antje Oschmann am Register
315. Memorandum Ludwigs XIV. für Longueville und d’Avaux Amiens 1647 Juni 8
Amiens 1647 Juni 8
Duplikat für Servien (von Brienne unterfertigt): AE , CP All. 100 fol. 249–255’ = Druck-
vorlage . Konzept: AE , CP All. 84 fol. 47–50’. Kopien: AE , CP All. 88 fol. 313–318;
Ass.Nat. 273 fol. 323–327’.
Keine Verwunderung über die gewachsene spanische Friedensbereitschaft. Unverständnis
angesichts des Ausbleibens des Friedensschlusses mit Spanien trotz dessen Bereitschaft, sich
in den meisten Punkten einem Schiedsspruch der Generalstaaten zu unterwerfen, und der
von Frankreich signalisierten Nachgiebigkeit in den verbleibenden. Anweisung zum Hinaus-
zögern des Friedens mit Spanien bis zum Abschluß des Garantievertrages mit den General-
staaten . Dessen außerordentliche Bedeutung; abgestimmtes Vorgehen in Münster und Den
Haag wichtig. Begründetes Interesse Spaniens an der Abreise Trauttmansdorffs; zu erwar-
tende positive Wirkung seiner (wahrscheinlich nicht in die Tat umgesetzten) Abreisedrohung
bei den Schweden. Gegensatz zwischen der nachdrücklichen Vertretung der Forderung nach
Osnabrück durch die schwedischen Gesandten und der dieser Angelegenheit von Königin
und Reichsrat beigemessenen geringen Bedeutung; Befolgung der Anweisungen seines Va-
ters , nicht der Königin durch Johan Oxenstierna; unverständlich, daß Salvius nicht auf der
Befolgung der königlichen Instruktionen besteht. Peñarandas schädlicher Versuch, die Furcht
Trauttmansdorffs vor neuen französischen Satisfaktionsforderungen zu schüren; Anweisung
zu gegenteiligen Bekundungen diesem und dem gesamten Kongreß gegenüber. Zufrieden-
heit mit der Form des Verzichts auf die Waffenstillstandsforderung für Portugal, Verletzung
des Gebotes seiner Geheimhaltung jedoch bedauerlich. Erneute Anweisung zum Eintreten
für die Freilassung Eduards von Braganza; Betonung der französischen Nachgiebigkeit in
puncto Waffenstillstand für Portugal, besonders gegenüber den Generalstaaten. Ungefähr-
licher , weil unglaubwürdiger Versuch der Spanier, Bayerns Mißtrauen gegen Frankreich zu
erregen. Bekundung des Wunsches nach französischem Schutz und einem Bündnis mit
Frankreich seitens Kurfürst Maximilians von Bayern; dessen Vertrauensbeweise; Beilage 1;
Anweisung zur uneingeschränkten Durchsetzung seiner Interessen gegen Schweden. Milita-
ria . Pochen auf die mit Spanien getroffenen Vereinbarungen für die Zeit zwischen der Un-
terzeichnung des Friedensvertrages und dem Austausch der Ratifikationen.
PS: Erkenntlichkeitsbezeigungen und Schutzgesuch der Landgräfin von Hessen-Kassel; er-
neute Empfehlung ihrer Interessen.
On n’a pas esté surpris icy d’apprendre par la despesche desdits Sieurs
Plénipotentiaires du 27 e du passé, que le comte de Pennaranda tesmoi-
gnast plus de disposition à la paix qu’il ne parroissoit en avoir huict jours
auparavant. Noz parties sont sy peu accoustumées à veoir bien aller leurs
affaires que pour un petit rayon de bonne fortune qui sembloit les regar-
der favorablement en ces quartiers-cy, ilz croyoient desjà de l’avoir fixée
pour eux, mais les difficultez qu’ilz ont rencontrées à venir à bout d’une
entreprise qui, à leur compte, ne pouvoit pas les arrester trois jours et ne
devoit estre que le commancement de beaucoup d’autres conquestes, et la
nouvelle du siège de Lérida leur aura fait cognoistre que la scène n’est pas
si preste à changer qu’ilz s’en estoient flattez.
On a veu par ladite despesche que Pennaranda avoit déclaré au sieur de
Meindersvic qu’il estoit prest de remettre tout le traitté au jugement de
Messieurs les Estatz, horsmis ce qui touche la trefve de Portugal et les
places du Liège.
|:Posé ce fondement pour véritable, on ne peult quasy comprendre à quoy
il tient que la paix ne soit faicte, puisque nous sommes d’accord de céder
ces deux poinctz:| avec les précautions que lesdits Sieurs Plénipotentiaires
ont prises avec beaucoup de prudence, et auxquelles les ennemis, voullans
sincèrement conclurre la paix sans deslay, ne peuvent apporter la moindre
contradiction, |:et que, pour tous les aultres du traicté, noz parties veul-
lent s’en remettre à noz alliez avec qui il ne devroit pas nous estre malaisé
d’ajuster:| tout ce que nous voudrons, non seullement parce que les enne-
mis se sont desjà assez déclarez de céder tous les pointz principaux, mais
parce qu’en ceux où ilz n’auroient pas parlé sy clairement, il debvroit
estre facille de faire comprendre à Messieurs les Estatz que quand l’ Espa-
gne offre de subir le jugement d’un allié de la France, |:c’est par une voye
indirecte d’accorder tout ce qu’elle prétend:|; et quand cela ne seroit pas
en des pointz de peu d’importan〈ce〉 qu’on a spéciffié en d’autres despes-
ches , et sur lesquelz Sa Majesté a déclaré qu’elle n’entendoit pas que |:la
guerre continuast mesme pour peu de jours pour les obtenir, il n’ impor-
teroit pas beaucoup, quelque jugement qu’en fissent lesdictz Sieurs
Estatz:|.
Il faut seullement conduire touttes ces négociations en sorte que comme
le point de la garentie que l’on demande à Messieurs les Estatz devient
tous les jours |:plus important pour nous à cause de l’amitié qui se con-
tracte de plus en plus entre les Espagnolz et les Provinces-Unies par la
mauvaise volonté de celle de Hollande, on ne tombast pas en l’ inconvé-
nient que la paix se treuvast conclue en un instant avant que nous fussions
asseurez de ladicte garentie au moins avec les modifficcations:| dont il a
esté cy-devant escrit
nous seroit plus malayzé |:de porter lesdictz Sieurs Estatz à accorder la-
dicte garentie qu’il ne sera aujourd’huy qu’ilz la faciliteront pour nous
porter nous-mesmes à la paix, que cette province donne à entendre aux
aultres que nous ne voulons pas:|.
Il est donc très important que Messieurs les Plénipotentiaires ayent tous-
jours l’œil |:à cette garentie qui sera la principalle seureté du traicté:| que
nous ferons, et qui mettra une espèce de barrière |:à la liaison entière que
des personnes malintentionnées pour cette couronne vouldroient faire en-
tre l’Espagne et les Provinces-Unies, et, pour cet effect, que l’on agisse de
grand concert à Munster et à La Haye:|.
Nous avons veu par cette despesche l’effect de ce qui fut mandé d’icy il
y a huict jours , que les plénipotentiaires d’Espagne n’oublioient rien
pour porter Trantmansdorff à se retirer de l’assemblée, croyant, et
avec raison, qu’ilz pourront mieux disposer de ses collègues et les faire
agir à leur mode en touttes choses, et selon ce qui leur sera plus ad-
vantageux .
On ne croit pourtant pas icy que Trantmansdorff se soit retiré voyant les
affaires sy avancées, mais on est bien ayse qu’il l’ayt dit en sorte que cha-
cun le croye parce qu’il est à présumer que les ministres de Suède se ren-
dront plus traictables pour l’arrester.
Messieurs les Plénipotentiaires auront appris par les despesches du sieur
Chanut
deurs de Suède portent avec tant de challeur et d’oppiniastreté touche
peu la reyne leur maistresse, qui a déclaré fort librement qu’elle se sou-
cioit fort peu de faire évesque le comte Gustaveson et que ses ministres
qui croioient prendre |:
toient beaucoup:|. Le comte Magnus de La Garde a dit franchement audit
sieur Chanut que cette affaire estoit si peu à cœur à la Suède qu’il n’en
avoit jamais ouy parler, dans le sénat. On peut juger de là qu’il faut |:qu’il
y ayt grande liaison entre le grand chancelier et ledict Gustaveson, et que
dres de sa maistresse; mais il semble qu’en cela monsieur Salvius ayt
grand tort en ce qu’estant attaché seulement à la reyne et sçachant ses
sentimens:|, il n’oblige son collègue à les suivre.
Si, à cela prez, la paix de l’Empire peut s’ajuster, on pourroit laisser ce
point indécis et despescher un courrier en Suède pour dire que la paix
est faitte pourveu qu’il plaise à la reyne ordonner à ses ministres de se
relascher de cette prétention, et par ce moyen l’affaire semble infaillible.
Nous avons advis que le comte de Pennaranda fait ce qu’il peut pour per-
suader à Trantmansdorff que la France ne se contantera point de ce qu’on
a cy-devant ajusté pour sa satisfaction dans l’Empire
asseuré qu’elle va mettre bientost de nouvelles prétentions sur le tapis; et
comme cela nous peut beaucoup préjudicier, il sera bien à propos que
Messieurs les Plénipotentiaires déclarent audit de Trantmansdorff et
dans toutte l’assemblée que cette couronne est contante de ce qui luy a
esté accordé dans l’Empire, et ne prétendra rien au-delà. |:Car pour
obliger l’Empereur de ne donner aucun secours contre la France soubz
quelque prétexte, comme aussy de n’assister poinct le duc Charles:|, qui
sont deux conditions nécessaires dont Messieurs les Plénipotentiaires ont
fait ressouvenir depuis peu les Médiateurs fort prudemment, personne ne
pourra dire que ce soient prétentions nouvelles, puisque nous avons tous-
jours parlé en façon de nous faire cognoistre qu’il ne s’y rencontreroit
aucune difficulté en la conclusion de la paix.
Sa Majesté a esté bien ayze d’apprendre que Messieurs les Plénipotentiaires
s’estans résoluz de céder le point de la trefve de Portugal pour facilliter
l’advancement du traicté d’Espagne, |:en ayent treuvé l’occasion sy favo-
rable qu’il ne puisse sembler que cette condescendance ayt eu d’aultre
cause que les instances pressantes que les Médiateurs leur ont faictes de
donner cette marque au public de la sincérité avec laquelle la France veult
la paix. Les précautions dont ilz ont accompagné cette déclaration pour
gaigner en mesme temps les deux aultres poinctz qui regardent le Portugal
ne pouvoient estre plus prudentes. Ce n’est pas que celle du secret qu’on
avoit stipulé ayt esté bien gardé, car nostre relaschement a esté tout public:|
à Bruxelle〈s〉 et l’archiduc se l’est attribué et à la dilligence qu’il a faitte
pour estre le premier en campagne, et avoir attacqué une de noz places.
Sa Majesté recommande tousjours auxdits Sieurs Plénipotentiaires le
point de la liberté de dom Edoard, et s’asseure qu’ilz n’auront pas man-
qué et qu’ilz continueront à faire bien valloir, et le sieur Servien à La
Haye, la facillité que nous avons apportée dans |:le poinct de la trêve qui
estoit sy important:|, et surtout, auprez de Messieurs les Estatz, que nous
l’avons fait tant pour les oster de l’embarras où ilz se fussent trouvez |:ou
de favoriser le roy de Portugal, à quoy ilz n’ont aucune inclination, ou de
condemner la France qui est leur alliée:| dans cette prétention qu’ell’avoit,
que pour leur faire toucher au doigt de plus en plus la passion que nous
avons pour la prompte conclusion de la paix, puisque sy c’estoit beaucoup
faire pour cela que de leur laisser le jugement de ce point, c’est encore
faire davantage |:de le céder tout à faict affin de gaigner temps:|.
Il faut dire que les Espagnolz manquent bien de ruses autant que de forces
quand ilz veullent donner soupçon à monsieur le duc de Bavières des le-
vées que fait le prince Robert; cette chimère ne méritte pas de response, il
seroit bien ridiculle d’employer maintenant dix mil hommes au restablis-
sement total de la maison palatine et à l’abbaissement de monsieur de
Bavières après qu’il n’a tenu qu’à nous de le faire en gauchissant seulle-
ment le moins du monde dans la négociation et laissant aller les choses
|:comme les Suédois les vouloient porter:|.
L|:edict sieur duc a escript depuis peu une lettre à Monsieur le Cardinal
pleine de protestations de recognoissance, de zèle et d’attachement à cette
couronne dont il demande haultement la protection, et:| tesmoigne qu’il
ne peut vivre content de la simple suspension qu’on a arrestée , qui n’est
qu’une affaire de peu de tempz, s’il n’a le bonheur d’establir aussy une
solide et perpétuelle alliance avec la France qui asseure sa famille et ses
Estatz |:contre ceux qu’il ne s’est pas soucié d’offenser:| pour gagner les
bonnes grâces de Leurs Majestez. Il ne se peut rien adjouster aux termes
dont il se sert pour asseurer de la fermeté de son attachement, et pour
commancer à en donner des marques, |:il a dépesché un courrier après
ses ambassadeurs pour leur faire sçavoir une proposition que luy a en-
voyé faire l’Empereur par un exprès
Vermutlich ist Khevenhillers Mission nach München gemeint, über die Kf. Maximilian
Gronsfeld in Schreiben vom 6. und 15. Mai 1647 (und an Mazarin ebenfalls am 15. Mai
1647; vgl. Beilage 1) unterrichtete; danach hatte Khevenhiller Auftrag, dem Kf.en ksl.
Hilfe anzubieten, ihn zur Rückkehr nach München zu beglückwünschen, ihn um Rat
zur Beförderung des allgemeinen sowie des frz.-span. Friedens und um Mitteilung des
Ulmer Waffenstillstandes zu bitten ( Riezler , Frk., 505f.). – Reichsgf. Franz Christoph
von Khevenhiller (Khevenhüller) (1588–1650) unternahm im Frühjahr und Sommer 1647
mehrere diplomatische Missionen nach Bayern; er war spätestens 1610 zum kath. Glauben
konvertiert, seit 1621/1625 GR , 1627–1631 Botschafter in Spanien und wurde Verfasser
der Annales Ferdinandei (dazu Peball ; ders. , Aufsatz) ( Czerwenka , 350–392; Schwarz ,
253ff.; Ruppert , 35f., 310, 315).
de luy, les chargeant d’en donner part à Leurs Majestez, et de la response
qu’il y a faicte pour tesmoigner de plus en plus qu’il n’a ses pensées et ses
espérances tournées que de ce costé-cy:|.
Cette conduitte en un prince de sa considération, et dont l’amitié peut
apporter tant d’advantage à cette couronne, méritte bien qu’on luy fasse
cognoistre en touttes rencontres qu’il a trouvé une correspondance par-
faitte en Leurs Majestez à qui ses intérestz seront désormais aussy chers
que les leurs propres. On envoye à Messieurs les Plénipotentiaires un
extrait des endroitz seullement de ladite lettre où il se plainct de divers
tortz que les ministres de Suède luy veullent faire, la pluspart au préju-
dice de ce qui a desjà esté arresté par l’entremise de cette couronne. Sa
Majesté désire que lesdits Sieurs Plénipotentiaires en parlent avec telle
challeur et efficace auxdits ministres que monsieur de Bavières soit non
seullement content de noz dilligences, mais qu’il ayt l’effect de ce qu’il
prétend, à quoy on ne croid pas qu’il se rencontre grande difficulté puis-
que la pluspart sont desjà terminées, et dans lesquelles il est à présumer
que |:noz alliez ne voudront pas nous manquer de parolle, et pour les
aultres:|, comme la première scéance dans les assemblées, les raisons de
monsieur de Bavières sont sy fortes, après avoir mesme obligé l’Espagne
qui prétendoit la mesme chose à s’en désister, qu’il y a lieu de se pro-
mettre que la couronne de Suède, les ayant cognues, y donnera les mains
volontiers.
Armentières ist nach einundzwanzigtägiger, für unsere Gegner verlustrei-
cher Belagerung in die Hände der Feinde gefallen; ein Gefangenenaus-
tausch ist geplant. Die Feinde haben unsere Soldaten jedoch unmenschlich
behandelt und wollten sie trotz der Nichtigkeit ihres Erfolges im Triumph
den Landesbewohnern vorführen.
Messieurs les Plénipotentiaires auront tousjours soing d’empescher qu’il
ne soit rien changé en ce qui a esté arresté |:qu’il y auroit sept sepmai-
nes depuis la signature du traicté jusqu’à la délivrance des ratiffications
et que toutes les conquestes demeureront au party qui les fera jusques au
jour de ladicte délivrance. On dict cecy parce que l’on a esprouvé que
les Espagnolz varient en ce poinct selon l’estat de leurs affaires et que
parfois:| ilz ont voullu que les hostillitez cessassent au jour de la signa-
ture de la paix, d’autres fois ilz ont tesmoigné mieux aymer qu’elles fus-
sent continuées jusques à l’eschange des ratiffications, suivant qu’ilz ont
plus ou moins espéré d’avantages ou de préjudice dans le manîment des
armes.
[PS] Le résident de Madame la Langrave est venu icy avec des lettres
d’elle remplyes de grande civilité, par lesquelles elle fait considérer qu’elle
a apporté touttes les facilitez possibles à la considération de la France
pour faire ajuster sa satisfaction, et proteste qu’elle veut se jetter entière-
ment entre les bras de cette couronne et soubz sa protection, mais qu’elle
prie Leurs Majestez, ayant esgard à la pauvreté de son pays, que la guerre
qu’elle soustient depuis si longtempz a tout désolé, et à la fermeté avec
laquelle elle est tousjours demeurée attachée à nostre party, de voulloir
ordonner à vous autres Messieurs de protéger ses intérestz et luy procurer
tous les avantages qu’il se pourra dans le traitté de la paix. L’on vous a
desjà escrit
employez efficacement et que vous fassiez cognoistre aux ministres de
cette princesse que l’on vous en a fait une nouvelle recharge, et certaine-
ment elle mérite bien que l’on n’oublie rien pour luy faire avoir toutte
sorte de contentement.
1 AE , CP Bavière 2 fol. 205–206: Kurfürst Maximilian von Bayern an Mazarin (it.), Mün-
chen 1647 Mai 15, Teilkopie (= Anlage zum Duplikat für Servien). – Ausfertigung: AE ,
CP Bavière 1 fol. 356–358’.