Acta Pacis Westphalicae II B 4 : Die französischen Korrespondenzen, Band 4: 1646 / Clivia Kelch-Rade und Anuschka Tischer unter Benutzung der Vroarbeiten von Kriemhild Goronzy und unter Mithilfe von Michael Rohrschneider
64. Memorandum Serviens für Lionne [Münster] 1646 Juli 10
[Münster] 1646 Juli 10
Konzept, größtenteils eigenhändig: AE , CP All. 77 fol. 84–89’, 93 = Druckvorlage.
Nach Einnahme Courtrais Aussicht auf ein Einlenken der Spanier; Erwägungen zu Portugal.
Gerüchte über eine antifranzösische Liga für Italien. Mögliche Nachteile aus einem Separat-
frieden mit dem Reich. Ungerechtfertigte Klagen Bayerns über Servien. Negatives Verhalten
d’Avaux’. Reaktionen auf Übernahme der Ämter Brézés durch Königin Anna. Wahrung der In-
teressen Kataloniens. Möglicher Bündniswechsel Karls von Lothringen. Verletzung der Geheim-
haltung. Beilagen. La Court.
Il semble que la négotiation avec l’Espagne se va réduire au seul intérest de
Portugal. Nous aprenons par nos amys que depuis le succès de Courtray
Espagnols inclinent à laisser entendre qu’ils laisseront le Roussillon et tout ce
que nous tenons dans les Pays-Bas par une paix et qu’ils fairont une trêve
pour la Cataloigne de la durée de celle de Messieurs les Estats. Je ne doute
point qu’ils ne nous en eussent desjà fait faire la proposition si les deputés de
Messieurs les Estats qui sont icy marchoient syncèrement.
Il y a divers expédients à prendre pour le Portugal, le premier d’y faire une
trêve aussy longue que celle de Messieurs les Estats, à quoy les Espagnols
seroient forcés de consentir si Messieurs les Estats faisoient leur devoir, mais
ceux-cy les en dissuadent au lieu de les y porter ce qui fait craindre qu’on ne
puisse pas l’obtenir, si ce n’est qu’il arrive quelque grande révolution en nos-
tre faveur dans la Flandre. Encor faut-il considérer que 〈certainement〉 elle
n’est pas moins à apréhender par la pluspart des députés des Provinces-Unies
qui sont icy que par les Espagnols mesmes, et ceux-cy n’ont point de plus
forte raison pour persuader aux autres que monsieur le prince d’Orenge ne
doit rien faire contre eux qu’en disant que si on les presse aussy de ce costé-là,
le roy catholique sera contraint d’accorder à la France tout ce qu’elle de-
mande.
Le second expédient est de faire au Portugal une trêve de six, de cinc ou de
quatre années qui est, ce me semble, à quoy l’on doit insister et à quoy on y a
espérance de porter Messieurs les Estats par leur propre intérest, pour que
nous nous conduisons icy avec fermeté et retenue aussy bien envers eux
qu’envers les Espagnols.
L’intérest que Messieurs les Estats peuvent avoir à cette courte trêve est pour
chercher pendant qu’elle durera les moyens d’accomoder le différend
S. [nr. 7 Anm. 16] .
compagnie des Indes occidentales avec le roy de Portugal pour le Brésil qui
est une très mauvaise affaire, en laquelle ce roy s’est engagé bien à contre-
temps, car quoyqu’il désavoue ce qui a esté fait en ce pays-là contre les Hol-
landois, ceux-cy disent qu’on a surpris de ses lettres qui justifient clairement
que tout y a esté entrepris par son ordre. L’espérence qu’on pourra donner de
la part de la France aux Hollandois (sans toutefois s’engager trop avant dans
aucune parolle formelle) de faire rendre à ladite compagnie des Indes pendant
la trêve ce que les Portugais luy ont pris dans le Brésil ou de moins de luy
faire faire raison pourra les convier de se joindre à nous pour obtenir cette
trêve.
Il y a un troisiesme expédient qui est de ne parler point dans le traité des
intérests de Portugal, ce qui nous lairroit une entière liberté de le secourir,
pourveu que dans un autre article il fust mis qu’il sera permis à chacun, et que
Messieurs les Estats s’obligeassent aussy de l’assister avec nous, d’assister ses
amys sans rompre la paix. Nidrost nous disoit il y a quelques jours que les
Espagnols pouvoit[!] maintenant se disposer à sortir de cette difficulté par
cette voye, et il me semble qu’à toute extrémité et ne pouvant mieux faire il
vaudroit encor mieux l’acepter que de rompre la paix pour ce seul subjet.
Je croy bien pourtant qu’il vaudroit mieux la rompre que de ne conserver pas
la liberté d’assister le Portugal après la paix. Car outre que le roy d’Espagne
n’est pas en estat de nous imposer une condition si rigoreuse qui nous oste la
liberté d’assister nos amys, et que chacun condemneroit les Espagnols, s’ils
vouloient rompre le traité pour cela, je tiens cette affaire de Portugal de si
grande importance, soit pour entretenir cette diversion qui occupera les for-
ces d’Espagne et sera une très bonne seurté pour la paix, soit pour conserver
ce moyen de faire 〈un jour〉 l’eschange tant désiré des Pays-Bas en rendant
la Cataloigne et abandonnant le Portugal que j’estime qu’on y doit insister
jusqu’à la rupture. Car il est bien juste que si nous nous privons un jour de
cest avantage nous en profitions d’un autre costé comme fist le roy Ferdi-
nand
Karl VIII. hatte das Roussillon und die Cerdagne, die sich seit 1463 bei Frk. befunden hatten,
1493 im Vertrag von Barcelona (Druck: DuMont III, 2 S. 297–301) an Ferdinand von
Aragón zurückgegeben, um sich die Neutralität Ferdinands und seiner Frau Isabella von Kas-
tilien (1451–1504; 1474 Kg.in) zu sichern ( Rabe S. 589). Zum Anspruch Frk.s auf das Rous-
sillon s. die Aufzeichnung der Kronrechte APW I,1 S. 167–170.
point les roys de Naples. Nous avons bien encor plus d’intérest de praetendre
la mesme chose, puisque le roy d’Espagne ne conserve les Pays-Bas avec beau-
coup plus de dépense qu’il n’en fait de revenu que pour demeurer en estat de
faire du mal à la France et la tenir en perpétuelle jalousie de ce costé-là, l’ex-
périence ayant fait voir que toutes les forces qui ont pris part aux divisions de
la France ou qui ont fait des entreprises contre elle depuis cent ans sont 〈ve-
nues〉 des Pays-Bas. Il est donc bien raisonable que nous ne perdons pas vo-
luntairement les moyens que nous avons de nous vanger et d’incommmoder
le roy d’Espagne dans son pays, tandis qu’il voudra demeurer en estat de nous
troubler dans le nostre.
Il y a une grande aparence que les Espagnols se voyant icy bien éloignés des
grands succès qu’ils avoient espérés en Flandre, ne pouvant pas se prometre
une si prompte conclusion du traité particulier qu’ils coyoient d’avoir avancé
avec Messieurs les Estats qui ne laissent pas d’agir vigoureusement avec les
armées, et n’ayant plus moyen d’empescher que la paix ne soit conclue dans
l’Empyre, seront bientost obligés de prendre de meilleures résolutions qu’ils
n’ont encor fait.
Ils témoignent bien avoir encor de grandes espérances en une ligue qu’ils pu-
blient devoir estre bientost conclue entre les princes d’Italie contre la France,
et Trautmensdorf en a parlé icy à ses confidents comme d’une chose que nous
avions très grand subjet d’apréhender. Néantmoins je crois que Pegnerande
envoye demander par le courrier qu’il dépesche en Espagne les derniers or-
dres de son maistre dans la conjuncture présente et qu’au retour de ce cour-
rier, si les affaires du Roy continuent de prospérer en Flandre et que Mes-
sieurs les Estats agissent de leur costé comm’ils doivent, il sera obligé d’accep-
ter les conditions que nous luy avons proposées en convenant d’un des expé-
dients cy-dessus exprimés pour le Portugal.
Je ne suis pas tout à fait contre l’opinion de ceux qui croyent que la paix de
l’Empyre seule ne nous sera pas si avantageuse que nous la croyons. Il me
semble que cette opinion n’est pas tout à fait destituée de raisons si ce n’est
que nous prenions soin de retirer au service du Roy les troupes des Suédois et
de Madame la Lantgrave aussytost que la paix de l’Empyre sera exéquutée
pour les faire agir promptement dans les Pays-Bas avec l’armée de monsieur
de Turenne. Car si les affaires y traînent il sera à craindre que les Espagnols
ne tirent enfin plus de secours de l’Allemagne pour se défendre que nous n’en
pourions tirer pour les attaquer.
Les ambassadeurs de Bavière nous firent plainte il y a quelque jours de la part
de leur maistre que je luy avois fait de mauvais offices à mon dernier voyage
d’Osnabruc. C’est une pièce que monsieur d’Avaux m’avoit jouée de peur que
ce prince ne m’eust obligation des services que je luy avois rendus à ce
voyage. Je répondis sur-le-champ en praesence de monsieur de Longueville et
de monsieur d’Avaux qui n’avoient rien dit pour ma dépense [!] que j’estois
bien surpris de cette plainte et que j’eusse peu raisonablement attendre des
remerciements plustot que des reproches de la part de leur maistre.
Le lendemain je leur portay chez eux de quoy justifier mon procédé et
convaincre l’imposture de ceux qui leur avoient dit le contraire. Je leur don-
nay un extrait de ce qui estoit contenu en ma relation du 7 e may qui leur fist
avouer qu’ils avoient esté trompés. Ils me promirent de l’envoyer à leur mais-
tre et de le désabuser. Si monsieur de Bavière en fait parler de delà je vous
suplie de prendre soin de monstrer à Monsieur le Nonce ladite relation du 7 e
may. Il est très vray que j’avançay si fort les affaires de monsieur de Bavière à
ce voyage que je ne voulus pas le faire sçavoir à ses députés à cause que la
satisfaction du Roy n’estoit pas encor résolue ny Brisac accordé.
Wegen einer Intrige d’Avaux’ war ich gezwungen, die Abreise meiner Frau zu
verschieben.
Promontorio me dist il y a deux jours que monsieur d’Avaux pour paroistre si
dévost avoit l’humeur bien maligne et qu’il m’en diroit quelque jour davan-
tage. Je sçay qu’il a blasmé assez hardyment la conduite de Son Eminence
particulièrement aux ministres étrangers, et on m’a asseuré que parlant au
Nunce l’on a fort déclamé contre l’entreprise d’Italie, à quoy l’on a adjousté
que c’estoit une opiniastreté de Son Eminence, à laquelle tout le conseil et
principalement monsieur le Prince avoit esté extrêmement contraire. Je vous
asseure que monsieur d’Avaux n’est pas bien auprès de monsieur de Longue-
ville et que souvent il travaille plus à faire s’asseurer de son appuy par des
complaisances honteuses qu’a faire le service du Roy.
Ayant desjà receu un mémoire du premier de ce mois , comme nous travail-
lions à la dépesche de la cour je proposay sans affectation de faire réponse à
monsieur de Brienne pour luy témoigner que la Reyne ne pouvoit mieux faire
que de garder les charges de monsieur de Brézé, monsieur de Longueville
se treuva surpris extraordinairement quoyqu’il soit assez déguisé. Monsieur
d’Avaux s’en apercevant ne répondist rien, je repris par trois fois le discours
en disant les raisons qui nous obligeoient de faire ce compliment à Sa Majesté,
je n’y pus rien avancer. Monsieur d’Avaux ne sortit point de son silence et
monsieur de Longueville repartit enfin que nous ne faisions pas présentement
réponse à la lettre qui en parloit. Je tascheray à la huitaine d’en faire prendre
la résolution, quoyqu’il m’ayt paru assez clairement depuis cette nouvelle que
monsieur de Longueville a esté tout interdit et extraordinairement affligé.
J’apprends bien qu’elle ne cause du mescontement, car j’avois ouy compter
plusieurs fois cette charge et son gouvernement entre les principales choses
qui rendoient monsieur d’Anguien considérable. Sa Majesté eût eu grand tort
de s’empescher pour cela de prendre cet establissement dont les ocasions ne
se praesentent pas tous les jours d’ailleurs tombant en toute autre main, si ce
n’eût esté de Son Eminence, l’Estat en eût peu recevoir du praejudice, mais
j’eusse bien souhaité que monsieur de Brienne en escrivant la nouvelle l’eût
plustôt appuyée de raisons publiques qui sont si bonnes à déduire que de
particulières comm’il a fait.
Ayant considéré le mémoire envoyé par monsieur Le Tellier sur les affaires de
Cataloigne et l’advis de monsieur de Marte il semble qu’on doit songer à
rasseurer les esprits de ce pays-là. Je ne croy pas qu’il eût esté inutile de leur
faire sçavoir que pour ravoir les places que les Castillans y tiennent on leur a
desjà offert quatre des plus importantes que le Roy possède dans les Pays-Bas,
et la renonciation des droits de Sa Majesté sur le Navarre
Ferdinand V. von Aragón entriß 1512 dem Kg. von Navarra Jean d’Albret (1469–1516, seit
1484 Kg.) nach dessen Exkommunikation durch Papst Julius II. (1443–1513, Papst seit 1503)
den südlich der Pyrenäen gelegenen Teil Navarras und inkorporierte ihn Kastilien ( Boisson-
nade S. 321–370; DHE III S. 24). Der verbliebene Teil wurde von Heinrich IV. (s. nr. 22
Anm. 6), seit 1572 Kg. von Navarra, bei der Besteigung des frz. Thrones 1589 mit Frk. verei-
nigt. Er und seine Nachfolger hielten den Anspruch auf das gesamte Kg.reich Navarra aufrecht
(s. die Aufzeichnung der Kronrechte: APW I,1 S. 163–165; Nég. secr. I S. 30).
roy catholique sur la Cataloigne.
Cela serviroit beaucoup à leur faire paroistre l’affection que Sa Majesté a pour
cette principauté. Je croy mesme qu’il faudroit reparler de cet expédient par
deçà qui ne sera point accepté affin seulement que l’advis qui en sera donné
aux Catalans confirme ce qui leur en sera dit de la part de Leurs Majestés.
Vous voyez aussy qu’ils apréhendent le comerce des Castillans pendant la
trêve, mais comme ceux du pays ne s’en peuvent pas passer entièrement ils
voudroient bien le réduire à ce qui leur est nécessaire et qu’il ne s’estendist
point plus avant, ce qui est impossible d’obtenir par un traité où il faut que les
choses soient esgales et fundées en quelque raison pour y rémedier leur 〈…〉
de demander.
Les Espagnols sont en extrême apréhension du duc Charles. Il me semble
qu’on pourroit luy faire sçavoir que voicy le temps qu’il peut recouvrir en un
moment dans les Pays-Bas son duché de Lorraine qu’il ne sçauroit reavoir en
vint anées de guerre favorable, les souverains ayant ce privilège par-dessus les
particuliers qu’ils peuvent treuver leur honneur ou leur utilité par rencontre,
il est bien plus seur et plus court pour luy de se récompenser au dépens du
parti malheureux que d’espérer vainement son restablissement au praejudice
du vainqueur. Les Espagnols qui veullent tousjours que les autres soient coul-
pables des fautes qu’ils font et reponsables [!] de leurs malheurs disent publi-
quement qu’il les a trahis, de sorte que son obstination à suivre leur parti ne
garentist pas sa réputation sans qu’il en tire aucun proffit. S’ils attaquent ainsi
son honneur en le diffamant injustement, ne luy donnent-ils pas un subject
légitime de se vanger d’eux en les abandonnant, et s’ils ne font pas scrupule de
sacrifier ses intérests pour mettre les leur à couvert, ne l’obligent-ils pas de les
praevenir en se saisissant de quelque gage considérable qui le puisse garentir
de leur infidélité ou des pertes que leur foiblesse luy cause. La France qui ne
peut jamais par raison d’Estat luy rendre son pays sera bien aise de luy faire
treuver son compte ailleurs et l’assister à prendre son dédomagement dans les
Pays-Bas. Je ne doute point que Messieurs les Estats n’en fussent bien aises et
n’y contribuassent de bon cœur pour éloigner leur ennemy et mettre une bar-
rière entre eux et nous.
Je vous prie d’asseurer Son Eminence que nous n’avons presque jamais receu
d’ordre nouveau de la cour que les médiateurs ou les autres ministres estran-
gers n’en ayent eu cognoissance en mesme temps dont nous recevons un pré-
judice qui ne se peut exprimer. L’ambassadeur Nani a escript depuis peu à
Contarini qu’il avoit appris de très bon lieu qu’on nous avoit ordonné bien
expressément de faciliter le traicté et de nous relascher de beaucoup de cho-
ses. C’est Promontorio qui vient de m’en donner l’advis en me délivrant la
lettre qu’il escript à Son Eminence. Sy elle daigne luy faire response je vous
suplie de me l’addresser.
Le secrétaire que j’ay faict entrer chez Brun et auquel nous donnons entretè-
nement depuis quelques mois m’a donné les deux advis suivans. Le premier
est en espagnol tiré d’une lettre que Pigneranda escript à son maistre, l’autre
est un billet en latin escript par Brun au comte de Trautmandorff le 8 e de ce
mois qui faict veoir que le courrier dépesché en Espagne va quérir la ratiffica-
tion pour les Hollandois plustost que de nouveaux ordres pour nous.
J’ay esté estonné que vous ne m’ayez rien escript de l’employ de monsieur de
La Cour, quoyque monsieur de La Barde l’ayt publié avant son départ et que
monsieur de Longueville en ayt eu advis dès l’ordinaire précedent. Il m’a tes-
moigné qu’il estoit bien aise de ce choix, que c’est un homme qui est de son
gouvernement
La Court stammte aus der Normandie, deren Gouverneur Longueville seit 1619 war (s. nr. 1
Anm. 2 und [nr. 5 Anm. 5] ).
très particulier de Monsieur le Comte
Wahrscheinlich Charles de Bourbon, comte de Soissons (1566–1612) ( NBG XLIV
Sp. 132–134), prince du sang, politischer und militärischer Anführer in den frz. Bürgerkriegen
der zweiten Hälfte des 16. Jh.s, 1589 grand-maître von Frk., 1602 Gouverneur der Provinz
Dauphiné. Er war 1610–1612 Gouverneur der Normandie und der Vater von Longuevilles
erster Gattin, Louise de Bourbon-Soissons (1603–1637). Gemeint sein könnte auch sein Sohn,
Louis de Bourbon, comte de Soissons (1604–1641), 1612 grand-maître von Frk. und Gouver-
neur der Provinz Dauphiné, 1631 Gouverneur der Champagne. Dieser hatte sich 1641 an
einer Rebellion beteiligt und fiel in der Schlacht von La Marfée (s. [nr. 198 Anm. 5] ) ( NBG
XLIV Sp. 134–136).
service de Sa Majesté. Encor qu’il m’ayt faict ce discours fort honnestement
j’ay quelque oppinion que monsieur d’Avaux l’avoit engagé d’escrire en fa-
veur de monsieur de Saint-Romain, néanmoins il ne m’en a du tout rien tes-
moigné.