Acta Pacis Westphalicae II B 4 : Die französischen Korrespondenzen, Band 4: 1646 / Clivia Kelch-Rade und Anuschka Tischer unter Benutzung der Vroarbeiten von Kriemhild Goronzy und unter Mithilfe von Michael Rohrschneider
7. Longueville an Mazarin Münster 1646 Juni 13
Münster 1646 Juni 13
Ausfertigung: AE , CP All. 60 fol. 432–436’ = Druckvorlage. Kopie: AE , CP All. 76 fol.
580–586, datiert auf den 14. Juni.
Offene Punkte in den Verhandlungen mit den Kaiserlichen: Höhe der Entschädigungssumme für
die Innsbrucker Erzherzöge, Anspruch auf Philippsburg, Souveränität der Immediatstände und
Satisfaktion Hessen-Kassels. Ausführungen zur französischen Verhandlungsposition. Vor- und
Nachteile der französisch-schwedischen Truppenvereinigung. Einigung zwischen Spanien und
den Generalstaaten so gut wie sicher. Übermittlung spanischer Erklärungen betreffend den Frie-
den mit Frankreich durch Gesandte der Generalstaaten. Pläne für eine niederländische Liga.
Haus Oranien in Gefahr. Bitte um Anweisungen. Spanienfreundliche Bestrebungen durch die
Krankheit des Prinzen von Oranien begünstigt. Klage über Saint-Ibar; seine Verdienste. Pro-
französische Haltung van der Burghs und Nederhorsts. Hoffnung auf Friedensverträge mit Kai-
ser und Spanien.
PS: Laut Nederhorst spanische Bereitschaft zur Aufgabe pfälzischer Eroberungen im Falle von
Karl Ludwigs Ablehnung einer Abtretung der Oberpfalz an Bayern.
Vous verrez par nos dernières dépesches et par celle-cy à quel poinct nous en
sommes avec les Impériaux |:et qu’il ne reste plus à adjuster que la somme
que nous devons donner aux archiducz d’Inspruk
Ehg. Ferdinand Karl von Österreich (1628–1662, seit 1646 mündig) und sein Bruder Sigis-
mund Franz (1630–1665) waren erbberechtigt für Tirol und Vorderösterreich. Seit 1632 hatte
ihre Mutter Claudia von Medici (s. [nr. 22 Anm. 13] ) die Regentschaft geführt ( Heydendorff
I S. 78–80 und Anhang I; Palme S. 171–179; Stammtafeln NF I T. 16). Für die Überlas-
sung österreichischer Besitzungen an Frk. sollte eine Entschädigung gezahlt werden.
lipsbourg, celle de souveraineté sur les estatz immédiatz et la satisfaction de
Madame la Lantgrave :|.
Pour |:le premier nous avons offert de payer la moitié des debtes et de donner
trois milions de livres. Ils nous ont dict qu’ils sçavoient:| certainement |:que
nous avions pouvoir d’aller à six millions de livres et au delà outre le paye-
ment des debtes, et nous n’avons encore pu les faire diminuer de la première
demande:|. Nous ne manquerons point d’y apporter tout |:le mesnage qui se
pourra:|.
Pour |:Philipsbourg l’humeur de monsieur de Trèves
Philipp Christoph von Sötern (1567–1652) war seit 1623 Kf. von Trier ( DBA 954, 399;
Abmeier ; Baur). Nachdem er 1632 einen Schutzvertrag mit Frk. geschlossen hatte, nahmen
die Spanier den Kf. 1635 bei der Belagerung von Trier gefangen, was Frk. zum offiziellen
Anlaß für seine Kriegserklärung gegen Spanien nahm (Hermann Weber). Sötern wurde später
in ksl. Gewahrsam gebracht. Nach langjähriger Haft verpflichtete er sich im Freilassungsver-
trag vom 12. April 1645 u. a. dazu, die Rückgewinnung der in frz. Hand befindlichen Festung
Philippsburg anzustreben und sie zum Nutzen von Kaiser und Reich zu bewahren. Frk. be-
mühte sich um ein dauerhaftes Besatzungsrecht in Philippsburg.
nous ne voyons pas, à ce que nous a raporté le sieur d’Anctouille
dement asseuré nous pouvons faire en cela de son intention, et renvoyons
encore ledict sieur d’Anctouille vers luy:|. Nous |:demeurons fermes sur la-
dicte place ayans:| toutesfois |:laissé quelque espérance de pouvoir en toute
extrémité la céder, si on nous donne deux des villes forestières
Lauffembourg ou Benfeld et Saverne , ces deux derniers partys nous estans:|
à mon oppinion |:aussi advantageux que Philipsbourg:|. Mais comme nous
|:essayons de gaigner sur ces choses au delà de nos instructions nous ne nous
y attachons qu’autant que cela se pourra sans rompre ou retarder le traic-
té:|.
Quand à |:la prétention de la souveraineté sur les estatz immédiatz voyant
qu’elle choque les estatz de l’Empire on ne s’y arrestera pas, et l’on s’en ser-
vira seulement pour advancer et faire valoir nos autres prétentions:|.
Pour |:la satisfaction de Madame la Lantgrave nous y demeurons fermes:|
principalement |:sur Marbourg, n’appuyans pas sur le reste de ses demandes
qui sont sur les biens d’Eglise:|.
Ce nous est un extrême desplaisir de ce que nous n’avons pu rendre le service
que vous désiriez de nous |:pour mettre monsieur de Turenne
d’exécuter le desseing que vous aviez au Luxembourg
Im Verlauf des Krieges waren bereits entscheidende frz. Eroberungen in dem zu den Span.
Ndl.n gehörenden Hgt. Luxemburg erfolgt ( Bougeant I S. 327; Chéruel, Dictionnaire I
S. 103; vgl. nr. 222 Beilage 1). Frk. plante 1646 gegebenenfalls einen weiteren militärischen
Vorstoß dorthin zu unternehmen ( APW II B 3 nr. 297).
s’estant desjà advancée sur une lettre que monsieur de Turenne y avoit escrite
devant qu’il eust receu vostre ordre, et sa marche ayant faict joindre la plus-
part des forces de Bavière aux Impériaux, et les uns et les autres s’advançans
conjoinctement pour tomber sur les bras aux Suédois:|, selon que tous les
advis le portent, |:nous avons jugé que de rechercher le consentement des
plénipotentiaires de Suède
Schweden war auf dem WFK durch die Ges. Oxenstierna und Salvius vertreten. Johann Axels-
son Oxenstierna (1612–1657), Sohn des Reichskanzlers Axel Oxenstierna (1583–1654), stu-
dierte in Leiden und Oxford, wo er 1633 Magister wurde. 1635 nahm er an den Verhandlun-
gen zum schwed.-polnischen Waffenstillstand von Stuhmsdorf teil. Oxenstierna, 1640 zum RR
ernannt, war 1649–1652 Gouverneur von Pommern und wurde 1654 Reichsmarschall und
Kanzler der Universität Greifswald ( SBL XXVIII S. 473; SMK V S. 685f.). – Der Jurist Dr.
Johan Adler Salvius (1590–1652), 1629 geadelt, 1651 Freiherr, war nach seinem Studium in
Schweden, Deutschland und Frk. seit 1622 diplomatisch tätig, darunter mehrmals in Deutsch-
land. 1634 wurde er Hofkanzler und GR , 1648 RR ( SBL I S. 143–156; SMK I S. 17f.;
Lundgren).
mir davantage à la désirer et à la presser jettant mesme dans leurs espritz de
fort dangereuses jalousies:|. D’ailleurs que |:ce seroit mettre en trop de péril
leur armée et le total des affaires de l’Empire lorsqu’on est prest de tirer les
fruictz de tout ce qu’on y a jusqu’icy employé, et que se donnant un peu de
patience:| il y a lieu de croire que bientost on pourra conclurre la paix de
l’Empire |:laissant par ce moyen l’armée de monsieur de Turenne en une en-
tière liberté de faire tout ce à quoy on la voudra employer:|. D’autre costé
nous croyons que |:ceste jonction fera haster les Impériaux et Bavarois de
convenir des conditions du traicté:| et au moins |:les derniers de faire une
suspension avec la France laquelle:| sans doute ayderoit fort à |:porter les
Suédois et protestans de se mettre à la raison s’ilz estoient trop difficiles et
desraisonnables sur leurs intérestz:|.
Il reste seulement |:à craindre que la jonction estant faicte les Suédois voulus-
sent hazarder un combat ou destruire le duc de Bavière
Maximilian I. von Bayern (1573–1651) war Hg. seit 1597/1598. Nach der Ächtung des
Kf.en von der Pfalz (s. [nr. 14 Anm. 6] und 7) verlieh Ks. Ferdinand II. ihm 1623 dessen Kur-
würde (DBA 816, 204–214; Immler; Kraus; Schreiber; zur Kurübertragung s. Albrecht
S. 386f.).
Turenne a trop de prudence pour s’y laisser porter:| et pourra plustost pren-
dre advantage |:dans la conduite des desseings, Torstenson
l’armée et n’y ayant que Wrangel
Carl Gustaf Wrangel (1613–1676) wurde 1645 Reichszeugmeister und übernahm 1646 als
Feldmarschall den Oberbefehl über die schwed. Truppen im Reich, da Torstenson dieses Amt
aus gesundheitlichen Gründen aufgab. Wrangel war zudem RR und Generalgouverneur von
Pommern. 1651 wurde er in den Grafenstand erhoben, 1657 Reichsadmiral, 1664 Reichsmar-
schall ( SMK VIII S. 428f.; Losman ; Steckzén).
ment:|. Nous avons sur cela encores donné |:au sieur de Tracy
Der conseiller du Roi Alexandre de Prouville, marquis oder chevalier de Tracy (1596 oder
1603–1670), war seit 1643 Generalkommissar bei der frz. Armee in Deutschland. 1646 kom-
mandierte er unter dem Oberbefehl Turennes ein Kavallerie-Regiment und war mit der Aus-
hebung neuer Truppen beauftragt (Tracys Instruktion vom 13. Februar 1646: BN F. Fr. 4173
fol. 61–70, Kopie). Tracy wurde 1647 Unterhändler bei den Ulmer Waffenstillstandsgesprä-
chen. Später beteiligte er sich zeitweilig an der Fronde, wurde aber 1652 lieutenant-général
und 1663 frz. lieutenant-général für Amerika ( DCB S. 554–557; La Roque de Roque-
brune ; Mazarin, Lettres I S. 963, II S. 233, 267).
tion de nos sentimens pour en informer monsieur de Turenne affin qu’il s’en
serve ainsi qu’il le jugera pour le mieux:| et cependant nos sentiments sont
qu’il |:ne peut plus maintenant éviter la jonction:|. Nous |:apporterons tant
de soing pour faire les traictez que j’espère que vous l’aurez bientost dans le
Luxembourg:|.
Pour ce qui regarde les |:affaires d’Espagne:| il est certain que |:les plénipo-
tentiaires de Messieurs les Estatz ont obtenu des Espagnolz tout ce qu’ilz ont
désiré, et il y a grande apparence que le roy d’Espagne envoyera avec le pou-
voir la ratiffication de tous les poinctz accordez et ordre de passer tous ceux
qui resteroient sur les affaires des Indes dont on n’a pas parlé, mais nous
voyons bien qu’encore que le but des Estatz soit d’avoir leur compte, et qu’ils
ne considèrent guières les traictez qu’ils ont avec nous, que:| néantmoins |:ilz
désirent pour la seureté du leur que le nostre se fasse aussi, et desjà ilz ont dict
que les Espagnolz leur avoient tesmoigné qu’ilz nous laisseroient tout ce que
nous tenons aux Pays-Bas; excepté qu’ilz désiroient le rasement d’Armentiè-
res et de Menene
qu’ilz se pourroient porter à une trêve pour la Catalogne moindre que celle de
Messieurs les Estatz, mais que pour le Portugal ilz les avoient trouvés fort
affermis à n’y rien accorder, disant que tout au plus on ne pourroit avoir
qu’une trêve d’une armée:| en considération de la guerre du Turc. |:Les Ho-
landois n’ont pas de répugnance à ce refus d’autant plus que nous sçavons par
nos amis qu’ilz ont desseing de chasser les Portugais des Indes orientalles au
mesme temps que le roy d’Espagne les attaquera dans le Portugal, et comme
le commerce et l’utile sont les plus puissans motifs qu’ilz ayent, ilz passent
par-dessus toutes considérations pour cela:|. Nous |:essayerons de faire don-
ner par monsieur de La Thuillerye
Gaspard Coignet, sieur de La Thuillerie (1597–1653), 1648 comte de Courson war frz. Ges.
1632–1637 in Venedig, 1637–1639 in Mantua und 1640–1648 in Den Haag. 1644/1645
betätigte er sich zudem als Vermittler beim schwed.-dän. Frieden von Brömsebro vom 13./23.
August 1645 ( DBF IX Sp. 146f.). Seit März 1646 befand er sich wieder in Den Haag (s. seine
Briefe im chronologischen Register APW II B 3).
trop grande authorité de cette compagnie des Indes
1602 hatten die Vereinigten Ndl. die Ostindische Kompanie, 1621 die Westindische Kompa-
nie zur gemeinsamen Koordinierung des Überseehandels gegründet. Sie erschütterten damit die
span.-port. Vormachtstellung in Südostasien und Lateinamerika. In militärischen Auseinan-
dersetzungen mußten insbesondere die Portugiesen Verluste ihres Kolonialbesitzes hinnehmen
( Boxer, Portuguese S. 106–127; Boxer, Dutch S. 23–30). Zur Bedeutung des Friedens von
Münster für die Kompanien s. van Hoboken .
qu’ilz ont intérest d’insister pour le Portugal. Il pourra aussi essayer par ce
moyen de se servir d’eux pour retarder les affaires:|. D’ailleurs |:quelque rap-
port que fassent les plénipotentiaires de Messieurs les Estatz à monsieur le
prince d’Orange, le chemin qu’ilz font prendre aux affaires va à la ruine de sa
maison, et les advantages qu’on luy procure y ayderont encore plustost que
de l’en garentir:|.
Il est certain que |:leur traicté n’est en apparence que d’une trefve, mais il
aura l’effect d’une paix:| principalement si |:la ligue se faict entre les Provin-
ces-Unyes et celles qui sont sujectes au roy d’Espagne selon que lesdicts plé-
nipotentiaires en ont intention:|. Ainsi |:la maison de monsieur le prince
d’Orange n’estant plus nécessaire aux provinces, mais exposée à leur envie et
jalousie, ses intérestz de jour à autre en seront plus traversez et moins consi-
dérez:|.
Si cela |:se peut bien représenter à monsieur le prince d’Orange et à madame
sa femme par qui il faut commencer toute négotiation qu’on voudra rendre
utile,:| je ne fais point de doute qu’ilz n’en |:voyent le mal et qu’ilz n’y cher-
chent les remèdes:|.
Ceste |:ligue a différentes faces. En quelqu’une il sembleroit que le principal
desseing des Holandois va pour empescher que la France ne fasse point à
l’advenir dadvantage de progrez dans la Flandre, mais aussi qu’ilz veulent que
nous soyons asseurez de ne recevoir point de mal de ce costé-là:|.
Je vous supplye très humblement, Monsieur, de nous vouloir mander, après
que vous aurez examiné les divers advantages et préjudices qui en peuvent
arriver, ce à quoy nous aurons à tendre affin que nous puissions suyvre exac-
tement vos intentions.
On dit que |:monsieur le prince d’Orange s’affoiblit fort et qu’il a beaucoup
perdu de la mémoire. Cela donne hardiesse à ceux qui ont desseing de
conclurre avec Espagne:|, estant certain que par tout ce que nous voyons il ne
nous paroist pas qu’il |:incline à ce qui se faict contre nous, mais plustost
qu’on luy en cache la cognoissance:|.
J’ay eu grand desplaisir de voir par la lettre que vous m’avez fait l’honneur de
m’escrire que |:monsieur de Saint-Ybar
Henri d’Escars de Saint-Bonnet, sieur de Saint-Ibard (Saint-Ibar, Saint-Ibald oder Saint-
Tibal; Lebensdaten nicht zu ermitteln), war ein frz. Edelmann, der als Vertrauter der Hg.in
von Chevreuse in Verbindung mit Spanien stand. Zweck seiner Reise nach Münster war es,
Longueville gegen Mazarin aufzuwiegeln ( Batiffol S. 230f.; Mazarin, Lettres I S. 957).
n’estre pas satisfait de luy. Je puis néantmoins, Monsieur, vous asseurer que
|:les meilleurs advis que j’ay eus pour les affaires de Holande m’ont esté don-
nez par luy, et qu’il a fort contribué à m’acquérir le secrétaire de l’ambassade
des Estatz
France. Ilz ont receu les lettres que vous leur avez fait l’honneur de leur es-
crire avec grand ressentiment et respect, et jamais nous n’avons veu de probité
si grande ny si esloignée d’intérest qu’en ces deux personnes:|. Il n’y a rien
qui |:se passe dont nous n’ayons advis par eux par la seule considération que
c’est le bien de leur Estat et qu’ilz ne peuvent consentir à une trahison.
Au pis que puissent aller les affaires, la France ne peut guières y perdre dans
le bon estat où vous l’avez mise, et j’espère qu’avec un peu de patience et de
fermeté les deux traictez s’achèveront heureusement, n’y ayant que des succez
extraordinaires qui puissent y nuire à quoy vous avez remédié empeschant
qu’on ne hazarde rien que bien à propos, une légère perte n’estant pas capable
de changer l’estat des affaires ny de diminuer en rien nos advantages:|. Je
souhaitte que les premières nouvelles que nous aurons nous en apprennent
quelques nouveaux qui soient capables de faire perdre aux Espagnolz l’espé-
rance qu’ilz ont de pouvoir résister ceste campagne et que cela nous donne
moyen de faire icy un traicté prompt et avantageux.
PS: |:Les Espagnolz ont dict à Messieurs les Estatz qu’ilz offrent de rendre ce
qu’ilz tiennent au Bas-Palatinat, pourveu que le Palatin
Karl I. Ludwig (1617–1680) war als Erbe seines geächteten Vaters Kf. Friedrichs V. (s. nr. 14
Anm. 7) seit 1632 Pgf. Seit 1620 befand er sich zunächst in Brandenburg, ab 1624 in den
Generalstaaten und in England im Exil. Von 1637 an scheiterten mehrere seiner Versuche, sich
militärisch wieder im Reich zu etablieren. Dabei geriet er in einen Interessenkonflikt mit Frk.,
wo er 1639/40 zeitweilig gefangengehalten wurde. Im WF wurde Karl Ludwig eine neu ge-
schaffenen 8. Kurwürde (IPM § 13 = IPO IV,5) verliehen und die Unterpfalz restituiert (IPM
§ 14 = IPO IV,16). Im Oktober 1649 kehrte er als Kf. in die Pfalz zurück ( DBA 628, 34;
NDB XI S. 246–249 ; Hauck).
céder le Haut au duc de Bavière
Die Oberpfalz war von Hg. Maximilian 1621 erobert und ihm zunächst 1623 von Ks. Ferdi-
nand II. als Pfandverschreibung, 1628 dann als Kriegskostenersatz zusammen mit der rechts-
rheinischen Unterpfalz verliehen worden ( Albrecht S. 379–387; Albrecht, Kriegsziele
S. 260f.). Im WF verblieb die Oberpfalz mit der Gft. Cham bei Bayern (IPM § 11 = IPO
IV,3).
dict. Je trouve cela si estrange que:| il y auroit sujet de douter si |:monsieur
de Niderhost aura pris leurs paroles dans leur sens:|. Nous nous |:en servi-
rons:| tousjours |:sans nommer l’autheur de peur que cela ne luy fist tort, et
le dirons aux ambassadeurs de Bavière
Bayern wurde auf dem WFK durch die kurbay. Ges. Haslang und Krebs (seit Januar 1645)
und den hgl. bay. Ges. Ernst (seit Dezember 1645) vertreten ( Immler S. 17–20; Egloff-
stein ): Georg Christoph Fhr. von Haslang zu Hohenkammer und Giebing (1602–1684)
wurde 1621 Hofrat, war aber in der Folgezeit militärisch tätig. 1635 wurde er Kämmerer,
1643 Hofmarschall und 1645 GR ( Heydenreuter S. 335). – Dr. Johann Adolph Krebs
(Khrebs), später baron de Bach (gest. nach 1661), befand sich spätestens seit 1627 im Dienst des
Mgf.en von Baden-Baden, den er 1641 auf dem Regensburger RT vertrat. Noch im gleichen
Jahr wurde er für den Kf.en von Bayern tätig, der ihn 1642 zum Vizekanzler ernannte. 1644
wurde Krebs Hofrat, 1647 GR . Nach 1651 kehrte er zunächst in den badischen Dienst zurück,
ließ sich aber 1661 dauerhaft in Hagenau nieder ( NDBA N° 22 S. 2105f.; Heydenreuter
S. 314; Becker S. 164 Anm. 130). – Der Jurist Dr. Johann Ern(n)st (1604–1667) war seit
1635 Hofrat. 1641 nahm er am Regensburger RT , 1643–1644 am Frankfurter Deputations-
tag teil. 1649 wurde er Revisionsrat, 1651 Hofkanzler ( Ranieri S. 448f.; Heydenreuter
S. 323); er weilte seit Januar 1646 in Osnabrück.