Acta Pacis Westphalicae II B 3,2 : Die französischen Korrespondenzen, Band 3, 2. Teil: 1646 / Elke Jarnut und Rita Bohlen unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy mit einer Einleitung und einem Anhang von Franz Bosbach
274. Mazarin an d’Avaux Compiègne 1646 Mai 19

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Mazarin an d’Avaux


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Compiègne 1646 Mai 19

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Ausfertigung: AE , CP All. 79 fol. 46–48 = Druckvorlage; nach Randzusatz fol. 48’ Héron
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versehentlich nicht mitgegeben. Kopie: AE , CP All. 76 fol. 380–383’. Konzept Silhons: AE , CP
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All. 60 fol. 307–308’. Druck (Regest): Mazarin , Lettres II S. 755.

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Hinweis auf Beilage 2 zu nr. 275. Bereitschaft zu Konzessionen zugunsten eines Waffenstillstands
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für Portugal von gleicher Dauer wie für die Generalstaaten. Kürzerer Waffenstillstand im Fall
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einer Entschädigung für Katalonien. Unterschied zwischen holländischem und portugiesischem
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Waffenstillstand. Souveränität über Metz, Toul, Verdun. Bitte um Kopie von nr. 245. Sicherung
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des Elsaß durch die Entschädigung der Erzherzöge. Schutz der Kircheninteressen gegen die An-
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sprüche Hessens. Anliegen Lisolas. La Bassée. Nachteil des französischen Friedensangebots für
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Spanien gegenüber einem Waffenstillstand. Üble Einstellung der Mediatoren.

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J’ay remis par ma précédente de respondre par cet ordinaire aux vostres du
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18 e et 27 e du passé

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Gemeint wohl [ nrs. 250 ] und [ 252 ] , nicht [ nr. 224 ] , die bereits mit [ nr. 245 ] beantwortet war.
. Je vous diray donc

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15 pour cette fois] aus den übrigen Fassungen ersetzt für: pour cet in der Druckvorlage.
pour cette fois qu’on vous envoye et à
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messieurs vos collègues, un plan fidelle et exact de l’estat de toutes nos affai-
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res , affin que vous puissiez agir et régler vostre conduite sur ce fondement, et
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pleust à Dieu qu’il fust permis aux Espaignols, ce qu’on permet aux assiégez
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dans une place, à qui on laisse voir l’estat des mines et des autres travaux,
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après lesquels il n’y a point lieu de se deffendre. Je m’asseure qu’ils pren-
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droient le party, auquel leur foiblesse leur conseilleroit de se ranger.

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Pour ce qui est de |:l’affaire du Portugal:|, j’ay tousjours esté de cet avis aussi
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bien que vous, que l’utilité et la réputation de cette couronne exigeoient,
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qu’on establît |:une trêve pour le susdit royaume de la durée de celle des
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Hollandois:| et avec des conditions qui empeschassent |:les Espagnols de la
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rompre:| quand il leur tourneroit à proffit, et qu’ils auroient la commodité de
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le faire. Ce seroit un grand avantage pour la France, dont la puissance ne
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consiste pas seulement, comme vous le remarquez fort bien, |:à estendre ses
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limites:|, mais à affoiblir celle de ses ennemis, et particulièrement d’un en-
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nemy qui ne perdra jamais la volonté de luy nuire: et par conséquent j’estime
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que nous gaignerions beaucoup

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31 plus] ergänzt aus AE , CP All. 60; fehlt in der Druckvorlage.
plus |:de relascher de quelques places que
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nous pourrions conserver par le traitté pour asseurer la trêve susditte et tenir
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autant qu’il se pourra le Portugal détaché de la domination d’Espagne:|, que

[p. 951] [scan. 281]


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nous ne perdrions |:par le relaschement desdittes places:|. C’est pourquoy je
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vous exhorte |:de roidir autant qu’il se pourra de ce costé-là:|, vous disant en
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confidence que je me trouve presque seul |:de ceux qui ont l’honneur d’estre
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du conseil du Roy qui ne soit de sentiment contraire:|.

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Je répète néantmoins icy ce que j’ay desjà escrit plusieurs fois, que s’il falloit
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céder |:la Catalogne et réduire le Portugal à une trêve de deux ou trois années
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pour la cession qu’on nous feroit des Pays-Bas ou pour quelque autre récom-
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pense considérable, sortir par ce moien des embarras où nous sommes par le
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moyen d’une

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9 paix] irrtümlich dechiffriert: guerre
paix qui mettroit en repos tout le reste de la chrestienté et affer-
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miroit de telle sorte toutes noz acquisitions et conquestes qu’aparemment il
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n’y auroit:| point danger qu’elles pussent estre troublées à l’avenir, il le fau-
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droit faire.

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Je vous diray encore qu’il y a cette différence |:de la trêve qui se fairoit pour
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la Hollande et pour le Portugal:| que la première est moins exposée à estre
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|:rompue que celle de l’autre:| à cause de la scituation du pays et du voysi-
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nage de la France, et de l’establissement mesme |:auquel se trouve cette répu-
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blique :|.

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Je n’ay rien à dire contre ce que vous alléguez |:pour avoir s’il se peut la
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cession de la souveraineté de Metz, Thoul et Verdun:|. Nous ne sçaurions
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avoir trop de tiltres pour la possession d’une chose qui nous accommode; veu
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principalement |:que le landgraviat de l’Alsace et une partie de la Lorraine:|
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nous demeurant le Roy devient par là |:membre de l’Empire et a droit d’ as-
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sister aux diètes impériales:|.

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Le retour du sieur de Préfontaine aura délivré le conte de Pennaranda, de
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l’inquiétude où il estoit, attendant si vous recevriez de la cour le pouvoir de
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conclurre avec les Impériaux. Je n’ay point encore eu avis de l’arrivée dudit
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sieur de Préfontaine, à qui je dictay à la haste le mémoire qu’il vous a porté

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[ Nr. 245 ] ; Ankunft Préfontaines s. [ nr. 258 Anm. 1 ] .
,
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dont je vous prie qu’il m’envoye une copie.

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La disposition où vous dites qu’il semble que soit la couronne de Suède, d’ ay-
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mer mieux l’une des Poméranies avec le consentement du marquis de Brande-
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bourg , que de les retenir toutes deux, sans qu’il y ait de la seureté pour elle en
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une telle possession, qui leur pourroit estre disputée à l’avenir par ledit élec-
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teur , nous doit servir d’exemple |:pour nous asseurer l’Alsace en donnant une
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somme d’argent aux archiducz d’Inspruch:| affin d’en recevoir leur consente-
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ment .

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Vous aurez veu au long par ma précédente mon sentiment qui est tout à fait
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conforme au vostre touchant |:la satisfaction de Madame la Langrave aux
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despens des biens de l’Eglise:|, à quoy je n’ay rien à ajouster sinon que je
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m’en suis laissé entendre comme je devois, à un envoyé qu’elle tient icy

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Dörnberg, s. [ nr. 139 Anm. 6 ] .
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[p. 952] [scan. 282]


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Ich werde sehen, ob man Lisolas Fürsprache berücksichtigen kann; die Sache ist
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etwas heikel, da der Burgunder in die Bastille geworfen wurde, weil er |: Nach-
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richten , die er aus dem Haushalt der Herzogin von Orléans

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Marguerite de Lorraine (1613–1672), Schwester Hg. Karls IV. von Lothringen, seit 1632
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zweite Gemahlin Gaston d’Orléans’.
bezog, nach Brüssel
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und Wien übermittelte:|.

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Vous ne devez point douter que La Bassée ne soit de l’Artois; comme il se
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peut justiffier par les cartes et livres de géographie; et partant qu’elle doit
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subir la condition des autres places de l’Artois.

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Quant à ce que vous dites, qu’il n’y a point de différence entre la paix et une
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trêve généralle, telle qu’il semble que les Espaignols la désireroient; sinon que
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la paix nous apporteroit un droit de garder tousjours les choses acordées que
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nous n’aurions pas par la trêve; il me semble que cette différence est assés
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considérable et bien réelle, et que les Espaignols y perdroient quelque chose
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de plus qu’un tiltre et que le préjudice qu’ils en recevroient est plus qu’en
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opinion, d’autant que encore que la trêve avec la Hollande et la Cataloigne
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expirée, la rupture pouvant arriver de tous costez, les Espaignols pourroient
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aussi rentrer par la voye des armes par tout ce qu’ils auroient cédé, nous se-
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rions aussi en estat de ne retourner point si nous voulions à la guerre |:en
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cédant la Catalogne:| aux plus supportables conditions que les affaires de ce
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temps-là le permetroient.

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Pour ce qui est |:des médiateurs:|, je me confirme tousjours dans les senti-
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mens que je vous ay mandez, et sans parler des faits justificatifs dont je vous
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ay desjà donné part, la raison de l’intérest |:pour l’un et pour l’autre:| y est
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évidente; |:pour le nonce:|, une telle conduite si elle avoit le succez qu’il
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prétend, le rendant |:plus agréable au pape:| et l’insinuant davantage dans ses
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bonnes grâces. Pour |:l’autre:| d’autant qu’il a tousjours dans la teste la fan-
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taisie |:de l’équilibre dont la République est coiffée:|, pour le maintenir entre
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les |:maisons de France et d’Austriche:|.

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