Acta Pacis Westphalicae II B 3,1 : Die französischen Korrespondenzen, Band 3, 1. Teil: 1645 - 1646 / Elke Jarnut und Rita Bohlen unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy, mit einer Einleitung und einem Anhang von Franz Bosbach
119. Lionne an Servien Paris 1646 Februar 16
Paris 1646 Februar 16
Ausfertigung: AE , CP All. 75 fol. 255–255’ = Druckvorlage.
Erkrankung Lionnes. Zweck der Briefe Mazarins an del Palagio. Titulierung Longuevilles durch
die Spanier. D’Eméry. Waffenruhe im Reich. Anweisung der Sonderzulagen. Sendung Saint-
Romains nach Schweden. Ansprüche Condés auf Metz. Einstellung des Oraniers zum Tausch-
projekt .
Wegen schwerer Erkältung konnte ich Ihnen mit letzter Post nicht schreiben.
|:Die Briefe Mazarins an Guido del Palagio waren für Chigis und Contarinis
Augen bestimmt:|.
|:On met une addition dans la lettre de monsieur de Longueville telle que
vous l’avez proposée pour essayer de remettre les entreveues entre vous aul-
tres Messieurs et les Espagnolz:|.
Der Absatz über |:d’Eméry:| war sehr geschickt, um eventuellen Intrigen gegen
Sie vorzubeugen.
Vous verrés dans le mémoire commun
S. [ nr. 115 Anm. 18 ] .
regarde une suspension dans l’Allemagne:|.
|:Bewilligung der Sonderzulagen:|.
Son Eminence s’est estonnée que |:vous ayez donné les mains au voyage
de Saint-Romain en Suède:|. Cela servira un jour de matière |:à monsieur
d’Avaux de prétendre qu’il a destourné luy seul tous les inconvéniens qui
nous pouvoient arriver si les Suédois se fussent séparez de nous:|. Pour moy
j’ay cru que vous aviés |:esté bien aise de l’esloigner de l’assemblée «specie
honoris»:|.
Ne croyés pas s’il vous plaist qu’on consente icy que |:Metz tumbe entre les
mains de Monsieur le Prince:|.
La raison que vous allégués pour croire que |:monsieur le prince d’Orange:|
sera contraire |:au traicté d’eschange:| parce que |:le subjet de la guerre finis-
sant , il deviendra inutile aux Provinces-Unies:| est celle-là mesme qui l’ obli-
gera à le désirer, parce que |:son filz n’a pas les qualitez pour occuper la place
qu’il tient après sa mort:|.