Acta Pacis Westphalicae II B 2 : Die französischen Korrespondenzen, Band 2: 1645 / Franz Bosbach unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy und unter Mithilfe von Rita Bohlen
213. Brienne an Longueville, d’Avaux und Servien Paris 1645 September 14

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Brienne an Longueville, d’Avaux und Servien


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Paris 1645 September 14

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Kopien: AE , CP All. 54 fol. 302–303 = Druckvorlage; AE , CP All. 52 fol. 479–480’; AE , CP
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All. 56 fol. 43–44. Konzept: AE , CP All. 56 fol. 45. Druck: Nég. secr. II, 2 S. 146–147;
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Gärtner VI S. 196–199; jeweils datiert auf 15. September.

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Empfangsbestätigung. Hinhaltende Antwort auf das Hilfsersuchen des polnischen Gesandten
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gegen die Türken und den Großherzog von Moskau. Grundlosigkeit schwedischer Klagen über
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Frankreich; Schwierigkeiten bei den Verhandlungen in Brömsebro wegen der Behandlung
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Bremens; Erwartung der Friedensbereitschaft der schwedischen Gesandten in Osnabrück wegen
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des Interesses Oxenstiernas an seiner Rückkehr nach Stockholm; Beförderung der Verhandlun-
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gen durch die Mediatoren wegen ihres persönlichen Nutzens von einem Friedensschluß.
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Militärische Nachrichten.

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Partant pour Fontainebleau je laisse cette despêche au bureau affin qu’il en
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charge le courrier qui doit partir le premier jour par laquelle j’accuseray la
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réception de la vostre du 2 e de ce mois. Elle est arrivée tout à point pour
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faire l’effet que vous vous en pouviés promettre et au jour que l’ ambassa-
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deur du roy de Pologne

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Gerhard Gf. von Dönhoff (vgl. S. 652 Anm. 2).
s’est expliqué des intentions de son maistre, soit
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par art ou pour avoir reconnu dès l’entrée de ses discours qu’on vouloit
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marier ce prince pour conserver l’alliance qui est entre les couronnes et ne
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se porter pas à de nouveaux engagemens. Il a peu insisté sur la demande
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d’une nouvelle alliance, et quand il se vouloit faire chemin à obtenir
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quelque décision en sa faveur et quelque assistance il la demandoit contre le
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Turc et le Grand-Duc de Moscovie. Contre l’un nos traittés empeschent de
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rien stipuler

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Vermutlich ist hiermit die französisch-russische Handelsvereinbarung vom 12./22. November
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1629 gemeint, die eine bonne amitié et parfaite correspondance der beiden Staaten vorsah
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(Druck: Du Mont V, 2 S. 597f.; vgl. Grönebaum S. 4).
, mais souvent la raison du bon gouvernement et du bien
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public nous porte à faire plus qu’on n’oseroit espérer par la force d’un
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traitté et de cette response l’ambassadeur s’est contenté lequel ne pouvant
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espérer que l’on outrepassast cette règle n’a pas aussy insisté qu’on
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s’obligeast à le deffendre contre ce duc.

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Ce seroit avec peu de fondement si les Suédois se plaignoient de nostre
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conduitte. La moindre chose qui les regarde ou qui leur puisse faire jalousie
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est examinée au poids de l’or et quand il faut prendre party on est tousjours
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disposé à embrasser le leur, que cette vérité est bien prouvée par le traitté
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qu’ils ont conclu avec le roy de Dannemarck auquel la médiation de la
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France n’a servy qu’à assurer leur Estat et améliorer les conditions de leurs

[p. 685] [scan. 733]


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peuples. Il sembloit qu’au 15 e du passé l’affaire estoit encores incertaine
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parce que les Suédois et les Danois s’estoient opiniastrés les uns à avoir, les
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autres à conserver Bremen et sans que j’ay des lettres de Hambourg qui
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asseurent que le traitté fust signé le 17 e

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Tatsächlich fand die Unterzeichnung erst am 23. August statt (S. 626 Anm. 8).
je serois en doute de ce qui est
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arrivé.

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Ce n’est pas que les lettres de monsieur de La Thuillerie ne me donnassent
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plus lieu d’espérer que de craindre, si son pronogstic est véritable, vous
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aurez bien de la peine à disposer les plénipotentiaires de Suède aux choses
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justes, mais quand je considère que le premier d’entre eux a donné sa parole
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de contribuer ses offices à réduire les disputes des princes et des villes à
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prendre quelque tempérament avec ceux des électeurs, je prends espérance
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que lassé de demeurer à Osnabruk il avancera le traitté général pour
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avancer son retour en Suède. Et les médiateurs par le mesme sentiment
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n’oublieront rien à faire ou à dire qui leur procure de l’avantage que l’un et
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l’autre se promettent de recueillir de leurs travaux quelque dignité esclat-
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tante qui relèvera leur condition.

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Erkrankung Enghiens

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Während der Belagerung von Heilbronn war Enghien schwer erkrankt und wurde zunächst
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nach Philippsburg, dann nach Paris geschafft ( Barthold II S. 527).
. Übergabe von Armentières

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Der nordwestlich von Lille an der Lys gelegene befestigte Platz wurde von den vereinigten
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Truppen Gassions und Rantzaus nach kurzer Belagerung eingenommen ( Chéruel II S. 82). Zu
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Gassion S. 121 Anm. 8; zu Josias comte de Rantzau (1609–1650; seit 30. Juni 1645 maréchal
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de France) vgl. Mazarin , Lettres I S. 954.
; Hoffnung auf weitere
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Zusammenarbeit des Prinzen von Oranien mit der französischen Armee.
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Genugtuung der Landgräfin von Hessen-Kassel über die außerordentliche
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Subsidienzahlung.

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