Acta Pacis Westphlicae II B 1 : Die französischen Korrespondenzen, Band 1: 1644 / Ursula Irsigler unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy
311. Servien an Brienne Münster 1644 Dezember 3
Münster 1644 Dezember 3
Ausfertigung: AE , CP All. 34 fol. 274–280’ = Druckvorlage; Eingang nach Dorsal fol. 281’:
1644 Dezember 14. Konzept: AE , CP All. 31 fol. 291–296. Kopie: AE , CP All. 38 fol. 265–
272 = Beilage zu nr. 312.
Bevorstehende Auslieferung der ersten Proposition. Kondolenzbesuch bei den spanischen Gesandten;
Besprechung über die Störung des Postverkehrs. Unsicherheit über den Verbleib von nr. 283 und 292.
Beendigung der Verhandlungen über die Erneuerung der Vollmachten. Pfälzische Restitutionsforde-
rung . Zurückweisung der Beschwerden der Kaiserlichen über die Missionen nach Polen und Sieben-
bürgen . Ostfriesischer Konflikt; Unzuverlässigkeit des Prinzen von Oranien. Entsendung eines päpst-
lichen Legaten. Abschluß der Präliminarien der schwedisch-dänischen Friedensverhandlungen. Aus-
einandersetzungen mit d’Avaux. PS: Antwort der Schweden auf nr. 304; Vorbereitung der Pro-
position .
N’ayant pas peu convenir Monsieur d’Avaux et moy d’une forme de vous
escripre en commun pour les raisons que vous verrez dans les mémoires
que j’ay l’honneur de vous envoyer, il se rencontre assez heureusement que
nous n’avons pas beaucoup de choses importantes à vous faire sçavoir par
cet ordinaire, sy ce n’est que depuis le départ du courrier que nous vous
avons dépesché, sur les instances nouvelles que Messieurs les Médiateurs
nous ont faictes d’entrer en quelque négotiation, nous avons donné parolle
de part et d’aultre de mettre entre leurs mains nos premières propositions
demain dimenche 4 e de ce mois à midy.
La nostre sera conforme à ce que nous avons eu le bien de vous marquer
par nostre dépesche du 12 e du passé suivant ce qui a esté concerté avec
Monsieur Salvius lorsqu’il a esté en cette ville, et nous nous contenterons
de demander la venue des Princes et Estatz de l’Empyre et la liberté de
Monsieur l’Electeur de Trèves. Néantmoins, nous n’avons pas encor la
responce de Messieurs les Ambassadeurs de Suède sur l’advis nouveau que
nous leur avons donné de cette résolution
Vgl. [ nr. 304. ]
jours entiers que le courrier qui leur a porté nos lettres est party d’icy, nous
avons subjet de croire qu’il reviendra dans ce jour et nous rapportera leur
consentement avec leur responce, sans lequel nous nous treuverions un peu
en peine demain sy à l’heure concertée nous estions réduictz où à manquer
de parolle où à commencer d’entamer les affaires avant qu’avoir receu leur
responce.
Nous avons rendu depuis quelques jours la visite de condoléance aux com-
missaires espagnolz . Je vous puis asseurer qu’encor qu’elle ayt esté assez
longue, noz discours n’ont rien tenu de la guerre qui se fait entre noz
maistres, ce n’a esté que protestations de part et d’aultre de désirer sincère-
ment la paix et le restablissement de l’ancienne amitié. Sy nous estions
asseuréz que les intentions de leur part respondissent aussy véritablement
aux parolles comme les ordres de la Reyne nous obligent de le faire du
nostre, il y auroit subjet d’espérer un prompt et heureux accommodement.
Nous nous séparasmes en disant qu’il falloit prier Dieu que comme une
mesme cause nous faisoit à tous porter le deuil dans le cœur et sur le habitz,
nous peussions aussy dans quelque temps avoir tous le mesme subjet de
resjouissance par la conclusion d’une bonne paix.
Avant que nous séparer nous parlasmes des fréquens désordres qui sont
arivéz depuis quelque temps au passage des courriers. Ilz firent semblant
d’en estre aussy en peine que nous et d’estre disposéz d’y apporter toutes
sortes de remèdes. Ilz voulurent mesmes nous faire cognoistre qu’une partie
des violences passées avoient esté commises par la garnison de Mastrickt et
que le Comte de Zolm
il fut résolu que l’on feroit une recherche exacte du passé et que l’on appor-
teroit les remèdes nécessaires pour l’avenir, ce qui me faict espérer que la
seureté pourra estre restablie puisqu’ilz ont encor plus d’intérest de la
maintenir que nous, n’ayant point d’aultre voye qui leur soit commode et
prompte pour avoir des nouvelles d’Espagne que de faire passer leurs
pacquetz par la France, au lieu que Leurs Majestéz ont tousjours celle de la
mer ouverte pour nous faire sçavoir leurs volontéz sans que les ennemis y
puissent aporter des obstacles.
Vostre dernière dépesche du 19 e du passé ne nous marque pas certainement
sy les nostres du 5 et du 12 du mesme mois
[ Nr. 283 ] und [ 292. ]
obligé de vous advertir pour vous sortir de peine que le 29 e d’octobre nous
n’avons point eu l’honneur de vous escripre, parce qu’estant lors dans le
fort de ma maladie, Monsieur d’Avaux ne voulut pas peult estre se donner
la peine de faire une dépesche, au moins qui soit venue à ma cognoissance
Vgl. dazu [ nr. 279. ]
Nous aurions un extrême regret sy les nostres du 5 et du 12 qui estoient
extrêmement importantes ne fussent pas arivées à bon port. Nous vous en
pourrons bien envoyer des duplicata par le premier ordinaire sy les lettres
de la Cour que nous attendons mardy prochain nous apprennent que vous
ne les ayez pas receues, mais ce mauvais rencontre aura tousjours apporté
beaucoup de retardement à quelques ordres que nous vous demandons.
Sy par bonheur elles sont parvenues en voz mains, elles vous auront faict
cognoistre que nous avions préveu les batteries que |:Monsieur Contarini
pourroit faire de delà:| et que nous vous en avions averty quoyqu’il ne fust
pas nécessaire pour estre sur voz gardes. |:La difficulté qu’il jugeoit:|
capable d’arrester le cours de la négotiation a esté surmontée heureusement
selon nostre désir. Elle ne concistoit pas seulement à faire mention des alliéz
de la France dans le nouveau pouvoir qu’il plaira au Roy de nous envoyer,
ce qui n’eust pas esté absolument nécessaire comme vous avez remarqué
très prudemment, parce que la seureté des uns et des autres doibt principale-
ment déppendre des traictéz particuliers de confédération, mais il s’agissoit
d’un poinct plus important et d’obtenir que nos parties fussent authorisées
par le nouveau pouvoir qui leur sera donné pour traicter et conclurre la
paix avec noz alliéz aussy bien qu’avec nous, ce qui a esté enfin accordé
comme juste et raisonnable.
Bezüglich der pfälzischen Angelegenheit verweise ich auf nr. 270.
Quant aux plaintes des Impériaux sur l’envoy de Messieurs de Brégy et de
Marsilly , nous aurions bien plus de subjet de nous plaindre des difficultéz
qu’ilz ont apportées à leur passage aussy bien qu’à celluy de Monsieur de
La Thuillerie et du reffus qu’ilz ont faict de leur donner des passeportz.
Lorsque Messieurs les Médiateurs nous ont faict sçavoir les exclamations
ridicules que Savedra faisoit sur ce subjet, nous avons respondu que nous
ne prendrions point de jalousie quand son maistre luy feroit le mesme hon-
neur que nous recevons de la Reyne et qu’il luy envoyeroit communicquer
les résolutions importantes prises dans son Conseil qui auroient quelque
connexité avec la négotiation de la paix. Qu’au lieu de le treuver mauvais,
cela nous feroit prendre de meilleures espérances de son crédit et de son
pouvoir pour la conclusion du traicté. Que s’il vouloit de cette sorte mal
interpréter tout ce qui se faict à bonne fin, c’ettoit sa faulte et non pas celle
des ministres du Roy, et que ce n’estoit pas une petite preuve des syncères
intentions de Leurs Majestéz qu’elles eussent la bonté de faire passer par
icy ceux qu’elles dépeschent en divers lieux pour leur service, affin de nous
faire examiner auparavant sy dans leurs instructions il n’y a rien de contraire
à la négotiation que nous avons en main, que Leurs Majestéz ne vouldroient
pas interrompre pour chose du monde.
L’affaire d’Ostfrise est la seulle de celles qui se sont présentées par deçà qui
mérite encor quelque appliccation extraordinaire pour la terminer. Mais les
principaux coups doibvent estre frappéz du costé de la Cour et ne le peuvent
plus estre par nous qui passons en Hollande pour trop passionnéz dans les
intérestz de Madame la Lantgrave. |:Dieu veuille quand:| il en fauldra venir
à la conclusion, |:que le Prince d’Orange effectue les bonnes parolles que:|
il vous a faict donner par Monsieur d’Estrades. Lorsqu’il considère les vives
instances de la Reyne et les intérestz publicz et qu’on le faict souvenir que
c’est luy qui a le plus contribué à establir les armes de Madame la Lantgrave
qui est sa nièpce en cette province, |:il est tout plain de bonne volonté.
Mais lorsqu’il reçoit des lettres de Madame sa femme ou qu’elle le rapproche
et qu’avec l’obstination intérieure d’une femme qui a beaucoup d’assendant
sur son esprit elle luy représente que les contributions des Hessiens dimi-
nuent les revenuz d’un Comte qui est son allié de unze mille risdalles par
mois:|, il n’a pas assez de force pour percister en sa première résolution et
ne veult pas mesme considérer que cette diminution procède du malheur
du siècle qui obligeroit ledict Comte de payer les mesmes contributions et
peult estre beaucoup davantage aux Impériaux, ennemis couvertz des Pro-
vinces Unies, sy les armes de Hesse ne leur en déffendoient l’entrée et ne
servoient comme de dehors pour mettre en seureté les places que Messieurs
les Estatz tiennent de ce costé là.
Je n’ozerois pas toucher en mon particulier les affaires de Rome après
l’ample discours que nous avons pris la liberté de vous en faire conjoincte-
ment par nostre dernière dépesche , sy ce n’est pour vous dire que selon
mon foible advis, on ne sçauroit assez louer |:la conduitte de Monsieur le
Cardinal Bichi, et qu’il ne pouvoit prendre une voye plus adroicte pour
parvenir à la fin que l’on a intérest de souhaitter:|. Nostre advis a tousjours
esté qu’il |:falloit empescher l’envoy d’un Légat à cette assemblée aussi bien
que d’un autre Nonce. Mais si le Pape se résoult à y employer son neveu
après l’avoir eslevé au cardinalat, il sera peut estre bien difficille de s’en
déffendre:|. Néantmoins, en ce cas on pourra mesnager tant pour |:sa gloire
propre que pour l’espa[r]gne de la despence qu’il diffère sa venue jusqu’à
ce que les choses soient disposées à une heureuse conclusion qui produit un
honneur asseuré pour luy, afin que cependant nous nous puissions prévalloir
dans les occasions inportantes et espineuses des bonnes intentions de Mon-
sieur de Chiggi, contre lequel il est certain que les Espagnolz ont faict de
puissantes batteries à Rome qui sont touttes à sa cognoissance:|.
Wie La Thuillerie berichtet, sind die Präliminarien für die schwedisch-dänischen
Friedensverhandlungen abgeschlossen , letztere sollen nach Weihnachten beginnen.
Je ne puis finir cette lettre sans vous tesmoigner l’extrême desplaisir que je
ressens des nouvelles divisions qui sont arivées entre Monsieur d’Avaux et
moy
Vgl. dazu die Berichte d’Avaux’ und Saint Romains in [ nr. 310 ] und nr. [ 313. ]
scandaleuses. Mais je me prometz de la justice de la Reyne et de la vostre
qu’après avoir faict examiner l’affaire en toutes ses circonstances, vous treu-
verez qu’il n’y a aulcunement de ma faulte, que je n’ay rien laissé à faire et
à dire pour conserver l’union, et qu’en toutes les particularitéz qui se sont
passées dont je me prometz que vous aurez la bonté de veoir la suite dans
les mémoires que mon frère l’Abbé aura l’honneur de vous présenter, je
n’ay point manqué à mon debvoir et n’ay peu faire avec honneur que ce
que j’ay faict. Je n’en souhaitterois point d’aultre juge que Monsieur le
Président de Mesmes et suis fort asseuré qu’il ne vouldroit pas donner une
déclaration par escript par laquelle il se soubzmet à souffrir tous les mauvais
traictemens que Monsieur d’Avaux me veult faire s’il estoit le second dans
une ambassade, quand mesme il seroit associé avec un Prince. Je vous jure,
Monsieur, que je serois ravy d’en suivre son jugement, pourveu qu’il voulust
jurer auparavant de le donner en juge et non pas en frère. Je ne sçay à quoy
aboutira tout cela. La Reyne nous a faict espérer qu’elle seroit offencée
sensiblement contre le premier qui contreviendroit à ses commandemens.
Je demande maintenant l’effect de cette juste menace, ayant esté oultragé
au poinct que je l’ay esté. Il ne seroit pas juste que la patience et la modéra-
tion fussent préjudiciables à l’une des parties et que l’aultre tirast avantage
de l’injustice et de la désobéissance. Vous jugerez aisément combien j’attends
patiemment la justice de la Reyne et de Messieurs ses ministres. Car vous
sçavez, Monsieur, par vous mesmes qu’il n’y a point de résolution qu’un
homme de bien ne prenne plustost que de souffrir le mespris et de se veoir
offencé impunément à son honneur. Je vous conjure de me départir vostre
protection en justice et de me conserver en l’honneur de voz bonnes
grâces …
PS: Depuis cette lettre escripte, le courrier que nous avons dépesché à Ozna-
brug est revenu qui nous a apporté la responce de Messieurs les Ambassa-
deurs de Suède
Oxenstierna und Salvius an d’Avaux und Servien, Osnabrück 1644 November 22/Dezember 2,
Druck: APW [ II C 1 nr. 252 S. 412f. ]
promesse. Et pour cet effect nous avons convenu de nous assembler chez
Monsieur d’Avaux la matinée pour concerter ensemble de nouveau de la
forme de l’escript que nous aurons à donner à Messieurs les Médiateurs.
2 fol. 297–300’:
Diverses entreprises de Monsieur d’Avaux au préjudice des commande-
mentz de la Reyne et de l’honneur du Sieur Servien desquelles il demande très humble-
ment justice et réparation de Sa Majesté.
1. Gegen ausdrückliches Verbot der Königin hat d’Avaux wiederholt gegen mich an den Hof
geschrieben. 2. Er behielt meinen Entwurf unseres gemeinsamen Berichts fünf Tage lang, teilte mir
erst kurz bevor der Kurier abgehen sollte mit, er wolle gesondert berichten und weigerte sich, mir
seine Gründe und seinen Bericht mitzuteilen
Vgl. dazu [ nr. 296. ]
. 3. Um mich zu demütigen, entließ er Préfontaine und
weigert sich nun, selbst an den Berichten mitzuarbeiten, damit Brasset von mir die Federführung
übernehmen muß und ich nach außen als sein Sekretär erscheine
Vgl. dazu [ nr. 310. ]
. Bitte um Zurechtweisung
d’Avaux’. 4. Trotz meiner Vorstellungen enthielt er mir Informationen vor mit der Begründung, er
habe sich zur Geheimhaltung verpflichtet
Vgl. [ S. 658 Anm. 4. ]
. Bitte um entsprechende Weisung. 5. Er weigert sich, die
Post in meinem Beisein zu öffnen, behält selbst meine Privatpost oft tagelang, bevor ich sie erhalte.
Auch ging meine Post schon verloren, während die seinige gut ankam; Nachrichten aus Paris und
anderen Orten sind seinen Leuten früher bekannt als mir. 6. D’Avaux verlangt, daß Préfontaine
als Gesandtschaftssekretär von den für die Sekretäre zur Verfügung stehenden 2000 écus 1000
erhält; der Rest solle unter seinen und meinen Sekretären geteilt werden, obwohl letztere den
Großteil der Arbeit leisten. Bitte um Weisung. 7. Es möge d’Avaux verboten werden, Leute, die
ich geschäftsbalber zu ihm schicke, verächtlich zu behandeln oder die Antwort zu verzögern. Ich
habe Grund zu weiteren Beschwerden, die ich bei Gelegenheit vorbringen werde.
mentz de la Reyne et de l’honneur du Sieur Servien desquelles il demande très humble-
ment justice et réparation de Sa Majesté.
1. Gegen ausdrückliches Verbot der Königin hat d’Avaux wiederholt gegen mich an den Hof
geschrieben. 2. Er behielt meinen Entwurf unseres gemeinsamen Berichts fünf Tage lang, teilte mir
erst kurz bevor der Kurier abgehen sollte mit, er wolle gesondert berichten und weigerte sich, mir
seine Gründe und seinen Bericht mitzuteilen
Vgl. dazu [ nr. 296. ]
weigert sich nun, selbst an den Berichten mitzuarbeiten, damit Brasset von mir die Federführung
übernehmen muß und ich nach außen als sein Sekretär erscheine
Vgl. dazu [ nr. 310. ]
d’Avaux’. 4. Trotz meiner Vorstellungen enthielt er mir Informationen vor mit der Begründung, er
habe sich zur Geheimhaltung verpflichtet
Vgl. [ S. 658 Anm. 4. ]
Post in meinem Beisein zu öffnen, behält selbst meine Privatpost oft tagelang, bevor ich sie erhalte.
Auch ging meine Post schon verloren, während die seinige gut ankam; Nachrichten aus Paris und
anderen Orten sind seinen Leuten früher bekannt als mir. 6. D’Avaux verlangt, daß Préfontaine
als Gesandtschaftssekretär von den für die Sekretäre zur Verfügung stehenden 2000 écus 1000
erhält; der Rest solle unter seinen und meinen Sekretären geteilt werden, obwohl letztere den
Großteil der Arbeit leisten. Bitte um Weisung. 7. Es möge d’Avaux verboten werden, Leute, die
ich geschäftsbalber zu ihm schicke, verächtlich zu behandeln oder die Antwort zu verzögern. Ich
habe Grund zu weiteren Beschwerden, die ich bei Gelegenheit vorbringen werde.
3 fol. 311–315’:
Bericht Serviens über die mit d’Avaux zum Teil unter Vermittlung Saint
Romains geführte Auseinandersetzung vom 27. November bis 2. Dezember 1644:
27. November: Servien läßt d’Avaux bitten, er möge an der Post mitarbeiten, zumal er Préfon-
taine entlassen habe und auch dazu verpflichtet sei. Er, Servien, habe über d’Avaux’ Weigerung an
die Königin berichtet. Verschiedene Vorschläge für die Regelung des Geschäftsganges bis zur
Ankunft Brassets. 28. November: D’Avaux erklärt sich bereit, die Schreiben an die Fürsten und
Stände des Reiches zu verfassen und ist mit Serviens Entwürfen für die Schreiben nach Osnabrück
und Holland nicht einverstanden, obwohl vorher darüber beraten worden war und die Zeit drängte.
Erst auf Drängen Serviens hin ist er bereit, zu der Visite bei Wartenberg Trauer zu tragen und
die Karosse Fontanellas mitzuführen
Vgl. den Bericht d’Avaux’ in [ nr. 320. ]
. 29. November: Auseinandersetzung über das Schreiben an
Holland; Verweis auf Beilagen 6–13. Mittwoch gemeinsame Visite bei den spanischen Gesandten.
1. Dezember: D’Avaux weigert sich, gemeinsam an dem fälligen Bericht nach Paris zu arbeiten.
2. Dezember: Er weigert sich weiterhin. Die Richtigkeit dieses Berichts zu bestätigen, wird Saint
Romain als Ehrenmann nicht umbin können.
Romains geführte Auseinandersetzung vom 27. November bis 2. Dezember 1644:
27. November: Servien läßt d’Avaux bitten, er möge an der Post mitarbeiten, zumal er Préfon-
taine entlassen habe und auch dazu verpflichtet sei. Er, Servien, habe über d’Avaux’ Weigerung an
die Königin berichtet. Verschiedene Vorschläge für die Regelung des Geschäftsganges bis zur
Ankunft Brassets. 28. November: D’Avaux erklärt sich bereit, die Schreiben an die Fürsten und
Stände des Reiches zu verfassen und ist mit Serviens Entwürfen für die Schreiben nach Osnabrück
und Holland nicht einverstanden, obwohl vorher darüber beraten worden war und die Zeit drängte.
Erst auf Drängen Serviens hin ist er bereit, zu der Visite bei Wartenberg Trauer zu tragen und
die Karosse Fontanellas mitzuführen
Vgl. den Bericht d’Avaux’ in [ nr. 320. ]
Holland; Verweis auf Beilagen 6–13. Mittwoch gemeinsame Visite bei den spanischen Gesandten.
1. Dezember: D’Avaux weigert sich, gemeinsam an dem fälligen Bericht nach Paris zu arbeiten.
2. Dezember: Er weigert sich weiterhin. Die Richtigkeit dieses Berichts zu bestätigen, wird Saint
Romain als Ehrenmann nicht umbin können.
4 fol. 307–308’: Kopie von nr. 304.
5 fol. 303–305: d’Avaux und Servien an Brasset, Münster 1644 November 28, Kopie.
6 fol. 282: Alard an Akakia, Münster 1644 November 29, Kopie.
7 fol. 282–282’: Akakia an Alard, Münster 1644 November 30, 9 Uhr morgens, Kopie.
8 fol. 283–284: Alard an Akakia, Münster 1644 November 30, 11 Uhr morgens, Kopie.
9 fol. 284–285’: Akakia an Alard, Münster 1644 November 30, 2 Uhr nachmittags, Kopie.
10 fol. 285’–286: Alard an Akakia, Münster 1644 November 30, 5 Uhr nachmittags, Kopie.
11 fol. 286–286’: Alard an Akakia, Münster 1644 November 30, 10 Uhr abends, Kopie.
12 fol. 286’: Akakia an Alard, Münster 1644 Dezember 1, 9 Uhr morgens, Kopie.
13 fol. 286’–291’: Alard an Akakia, Münster 1644 Dezember 1, nicht behändigtes Schreiben!
Randnotiz: Ce billet estant escript, Monseigneur Servien a treuvé plus à propos de
ne l’envoyer point ny aussy le discours qui le suit affin de laisser à Monsieur d’Avaux
tout le contentement qu’il a cherché et demeurer un peu en repos.
[ 14 ] d’Avaux und Servien an La Thuillerie
Als Beilage zu vermuten. Das Stück war zunächst als Beilage zu [ nr. 303 ] gedacht, wurde nach
Dorsal fol. 123’ aber vergessen und ging am 14. Dezember ein.
Dan . 3 fol. 120–123.