Acta Pacis Westphlicae II B 1 : Die französischen Korrespondenzen, Band 1: 1644 / Ursula Irsigler unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy
14. Lionne an Servien Paris 1644 März 26
–/ 14/–
Paris 1644 März 26
Eigenhändige Ausfertigung: AE , CP All. 26 fol. 107–108 = Druckvorlage.
Privata. Empfang des Berichtes Serviens über die Reaktion der Generalstaaten auf die Rede
d’Avaux’. Krankheit Serviens. Demission Chavignys als Kanzler des Herzogs von Orléans.
Préfontaines. Berziehungen zu Le Roy. Übersendung eines Memorandums.
Pflege privater Verbindungen für Servien.
Je vous rends mille grâces des nouvelles que vous m’avés envoiés aussy
bien que de l’extrait de la délibération de Messieurs les Estatz sur le dernier
office que fit Monsieur d’Avaux en recomendation des Catholiques
Vgl. dazu [S. LVf] . und [S. 9 Anm. 1.]
faict voir le tout à Son Eminence qui est je m’asseure très persuadée de tout
ce que vous mandés sur ce suject.
Wünsche für baldige Genesung. Chavigny
Léon Le Bouthillier, comte de Chavigny, 1608–1652. 1632 Secrétaire d’Etat pour les Affaires
Etrangères, 1635 Kanzler des Herzogs von Orléans. Er war führend beteiligt an der Abfassung
des Testaments Ludwigs XIII., das die Befugnisse der Regentin durch einen Regentschaftsrat
erheblich einschränkte, dem auch Chavigny angehören sollte, und ursprünglich für die Gesandtschaft
nach Münster vorgesehen. Nach der Kassierung des Testaments durch das Parlament am 18. Mai
1643 verlor er nach und nach seine Funktionen. So mußte er das Außensekretariat an Brienne
abtreten, wurde aber von Mazarin in zweitrangiger Stellung erhalten. Vgl. NBG VII Sp. 132;
O. A. Ranum, Léon Bouthillier, comte de Chavigny; ders., Richelieu and the Councillors,
S. 77–99; s. auch S. LXXX Anm. 3.
von Orléans
können.
On m’a dict que Monsieur de Préfontaines se vante d’estre seul secrétaire
de l’ambassade. J’ay crû vous en devoir donner advis, affin que le secrétaire
de Monsieur d’Avaux ne prenne pas cet advantage sur le vostre. Puis que
Monsieur de Saint Romain n’a pas esté nommé par le Roy comme l’on avoit
crû, il semble que l’honneur et l’utile doit estre partagé entre ledict Sieur
de Préfontaines et Monsieur Alard , et je pense que Monsieur d’Avaux est
trop juste pour prétendre autre chose, et s’il y avoit de la difficulté pour
cela, je m’asseure que vous seriez bien soustenu par deçà. J’ay jugé vous en
devoir donner part me doutant que peut estre ne sçavez vous pas cette
nouvelle entreprise.
Es wird uns nicht schaden, Le Roy nicht zu unterstützen.
Je vous envoye à la fin le mémoire qui me regarde que je n’ay pû treuver
le temps de dresser les ordinaires passéz. Je vous suplie très humblement de
me mander ce que vous en pensez …