Acta Pacis Westphalicae II B 6 : Die französischen Korrespondenzen, Band 6: 1647 / Michael Rohrschneider unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy und unter MIthilfe von Rita Bohlen
213. Longueville, d’Avaux und Servien an Brienne Münster 1647 Oktober 21

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Longueville, d’Avaux und Servien an Brienne


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Münster 1647 Oktober 21

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Duplikat [für Mazarin]: AE , CP All. 85 fol. 338–338’ = Druckvorlage. Kopie: AE , CP All.
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102 fol. 356. Druck: NS IV, 172.

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Verweis auf nr. 214. Vakanz des Kurfürstentums Mainz. Zum schwedischen Vorschlag einer
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Übergabe schwedisch besetzter Plätze an Frankreich.

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Vous verrés toutes nos nouvelles par nostre mémoire

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Nr. 214.
qui est assés ample,
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et comme nous avons esté obligés |:d’envoyer vers monsieur l’électeur de
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Trèves et vers monsieur l’évesque de Wirtzbourg à cause de la vacance de
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l’électorat de Mayence:|. Nous avons aussy |:donné pouvoir

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Vgl. Longueville, d’Avaux und Servien an Vautorte und Courval, [Münster] 1647 Oktober
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19 (Kopien: AE , CP All. 85 fol. 334–337, hier fol. 336; AE , CP Mayence 2 fol. 296–299’
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(datiert 1647 Oktober 18), hier fol. 298’).
:| à messieurs
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de Vautorte

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François Cazet de Vautorte (1607–1654), seit 1645 intendant de justice et finances für das
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Hst. Speyer, das Est. Mainz, die «Mgft. Baden» ( Marquisat de Baden ) und die Unterpfalz
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( Livet , L’intendance, 97f), 1647–1648 intendant de justice bei der Rheinarmee, 1649–1650
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Ges. auf dem Nürnberger Exekutionstag ( DBF VIII, 23).
et vicomte de Courval

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Charles-Christophe de Mazencourt, vicomte de Courval (1608–1650), seit Oktober 1644
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Gouverneur der frz. Garnison in Mainz ( ABF I 724, 427; DBF IX, 1053f).
|:de nous obliger en nostre propre et
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privé nom jusqu’à la somme de cent mil livres:|, de quoy nous vous sup-
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plions de |:nous faire donner descharge:| quand les ordres seront envoiés à
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ces messieurs selon l’intention de Leurs Majestés.

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Nous avons donné advis par la despêche précédente

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Nr. 203.
que messieurs les Sué-
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dois |:proposent de remettre ès mains de la France les places qu’ilz tiennent
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dans la Haute-Allemagne:|, ce qui à nostre advis ne doit pas estre négligé.
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Nous vous supplions, Monsieur, d’en faire souvenir, et quand Leurs
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Majestés y auront pris résolution d’en faire promptement envoier les ordres.

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