Acta Pacis Westphalicae II B 5,2 : Die französischen Korrespondenzen, Band 5, 2. Teil: 1647 / Guido Braun unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy und Achim Tröster, unter Mithilfe von Antje Oschmann am Register
327. Memorandum Ludwigs XIV. für Longueville und d’Avaux Amiens 1647 Juni 15
Amiens 1647 Juni 15
Duplikat für Servien (von Brienne unterzeichnet): AE , CP All. 100 fol. 287–295 = Druck-
vorlage . Konzept: AE , CP All. 84 fol. 77–80’. Kopien: AE , CP All. 88 fol. 341–344’, 362;
Ass.Nat. 273 fol. 334–338’.
Postangelegenheiten. Französisch-spanische Verhandlungen: Verärgerung über den spa-
nischen Widerstand beim französischen Assistenzrecht für Portugal nach dem französischen
Verzicht auf die Waffenstillstandsforderung; restriktive spanische Fassung des Assistenzarti-
kels ; Zustimmung zu den diesbezüglichen Ausführungen der Gesandten gegenüber den Me-
diatoren ; Haltung der Spanier offensichtlich Ausdruck ihrer Obstruktionstaktik zur Verlän-
gerung des Krieges in der (unbegründeten) Hoffnung auf militärische Erfolge; historische
Begründung der französischen Position; angesichts der spanischen Formulierung des Assi-
stenzartikels angezeigte Vorsicht; Bestehen auf der Terminologie der französischen Fassung
des Artikels. Zweifel an den Erfolgsaussichten französischer Nachgiebigkeit in diesem Punkt;
Verzicht auf weitere Anweisungen des Hofes und Zugeständnis unbeschränkter Verhand-
lungsvollmacht an die Gesandten in dieser Sache; Verhandlung der Assistenzfrage auf der
Grundlage einer positiven Einschätzung der politisch-militärischen Gesamtlage für Frank-
reich möglich; zu berücksichtigende schwerwiegende Nachteile einer numerischen Beschrän-
kung der Hilfstruppen; rein deliberativer Charakter dieser Bemerkungen, trotzdem Bestäti-
gung der uneingeschränkten Verhandlungsvollmacht der Gesandten. Zu Artikel 3 des fran-
zösischen Gesamtentwurfes für den Friedensvertrag mit Spanien (Beistand für verbündete
Fürsten): Verwunderung über den spanischen Widerstand gegen die Nennung Herzog Karls
IV. von Lothringen; Unwahrscheinlichkeit eines Scheiterns der Friedensverhandlungen an
dieser Frage; Resignation Herzog Karls selbst. Ebenso Erstaunen über die widersprüchliche
spanische Haltung in der Frage einer schiedsrichterlichen Entscheidung mit Frankreich strit-
tiger Punkte durch die Generalstaaten; Betonung der Unverbindlichkeit der von Servien in
Den Haag unterbreiteten Vorschläge bei größerer Erfolgsaussicht anderer Schritte. Undank-
barkeit des Kaisers und der Schweden gegenüber Frankreich; kein Interesse der Schweden an
den französisch-spanischen Verhandlungen; dennoch Glaube an eine für Frankreich günsti-
gere Einstellung der schwedischen Königin; deren eigenes Interesse an einer Zügelung Spa-
niens ; Beweise ihres Wunsches nach einer engen und dauerhaften Bindung an Frankreich.
Anweisung zur Drohung mit Erhöhung der Forderungen an Spanien, namentlich in Sachen
Portugal und Katalonien. Treuebezeigungen des Herzogs von Parma und Kardinal Farneses.
Sa Majesté a esté estonnée d’apprendre que lesdits Sieurs Plénipotentiaires
n’eussent point receu de despesche de la court par cet ordinaire-là, veu
qu’on n’en a jamais laissé partir aucun sans leur escrire, et ne peuvent [!]
en trouver la raison qu’il sera bon de tascher à esclaircir de delà, particul-
lièrement sy la despesche s’estoit perdue ou qu’elle leur eust esté remise
depuis en mauvais estat.
Sa Majesté a veu dans le mémoire du 3 e du courant , les |:nouvelles chi-
canes que nous font les Espagnolz sur l’assistance de Portugal, mainte-
nant qu’ilz ont emporté nostre acquiescement sur le poinct de la trêve. Il
fault ou que Penaranda se mocque bien des Médiateurs ou ceux-cy de
nous quand ilz nous ont sy souvent asseuré que l’on treuveroit grande
facilité à adjuster tous les aultres articles du traicté et qu’ilz nous ont
dict nommément que celuy de l’assistance passoit pour accordé; et ce-
pendant nos parties y forment diverses difficultez toutes sans raison et
hors de propos:|, ce qui nous fait veoir clairement l’intention qu’ilz
avoient quand ilz adjoustèrent |:ce mot «deffensivement»
pas important de le relever comme nous avons faict:|, et faire bien ex-
plicquer la chose pour s’empesche〈r〉 de tomber dans les pièges qu’ilz
nous tendoient.
On a veu tout ce qui s’estoit passé en deux conférences que Messieurs les
Plénipotentiaires avoient eues là-dessus avec les Médiateurs, et il est cer-
tain qu’il ne se peut rien adjouster à la solidité et à la force des raisons
qu’ilz ont dittes à ceux-cy pour confondre noz parties dans les injustes
prétentions qu’ilz ont pour ce regard. C’est pourquoy il seroit superflu
de leur en suggérer d’icy de nouvelles.
On ne trouve point que depuis l’ouverture de l’assemblée les Espagnolz
se soient tant oppiniastrez en aucune chose avec moins de fondement et
moins d’apparence de raison; ce qui fait veoir assez évidemment que tout
cecy n’est qu’un prétexte qu’ilz prennent pour tirer les affaires en quelque
longueur sur les espérances dont ilz se flattent que les esvennementz de
cette campagne, où ilz ont un ennemy de moins sur les bras, pourront
leur estre favorables en sorte qu’ilz en tireront d’autres advantages mesme
dans la négociation, mais Dieu mercy il y a tout suject de croire qu’ilz ne
seront pas longtempz sans recognoistre qu’ilz n’ont jamais eu plus de be-
soing de la paix, ny plus d’occasion de tout appréhender dans la continua-
tion de la guerre, l’oysiveté de Messieurs les Estatz n’estant pas capable
ny de faire changer la scène, ny mesme de leur donner moyen de rempor-
ter le moindre advantage sur nous. En tout cas, s’ilz demeurent dans cet
aveuglement, ilz trouveront, et peut-estre hors de tempz, qu’ilz ne pou-
voient prendre un pire party pour eux que de laisser agir les armes, cette
campagne pouvant si facillement et avec entière seureté en arrester le
cours par la prompte conclusion de la paix.
On ne sçauroit rien escrire sur touttes ces affaires de Portugal qui n’ayt
desjà esté mandé fort au long.
L|:a France ne prétend aultre chose que de pouvoir assister le roy de Por-
tugal en la mesme façon qu’elle a faict cy-devant Messieurs les Estatz et
diverses fois les maisons de Savoye et de Mantoue, sans qu’il soit jamais
entré dans la pensée des Espagnolz qu’il y eust eu rupture entre les deux
couronnes pour avoir veu les armées auxiliaires de France entrer dans
leurs Estatz attacquer des places et livrer tous les jours des combatz.
S’ilz n’eussent point adjousté ce mot «défensivement»:|, on n’eust peut-
estre pas songé à prendre tant de précautions et on eust cru qu’il estoit
suffisamment pourveu à la seureté de la paix et à sa durée par les exemples
de ce qui s’est passé autresfois en Hollande et en Italie dans le mesme cas.
Peut-estre eust-il esté bon |:d’adoucir un peu ce mot d’«entreprise» que
nous avons mis , et qui semble les chocquer sy fort et faire pourtant le
mesme effect en d’aultres termes comme sy on avoit dict que nous nous
réservions la faculté d’envoyer des troupes auxiliaires au roy de Portugal
dont il pourroit disposer ainsy qu’il le jugeroit à propos pour son ser-
vice :|, et en la manière que l’on a accoustumé de faire de pareilles troup-
pes , sans qu’on pust prétendre que nous eussions en aucune façon contre-
venu au traicté. Mais aujourd’huy que l’on a nommément contesté |:sur
cette parolle d’«entreprise», il semble que l’on pourroit à l’avenir recevoir
quelque préjudice de s’en désister:|, si au moins on n’avoit des termes bien
équivallens ou qui ne laissassent aucun doutte dans l’affaire.
On ne sçayt pas sy dans l’humeur où sont aujourd’huy les Espagnolz, les
facillitez qu’on pourroit apporter de nostre part en ce point serviroient à
l’advancement de la paix, et sy au contraire nous ayans veu |:desjà relascher
dans celuy de la trêve, ilz ne s’imagineroient point plustost que la cognois-
sance que nous avons de nostre foiblesse et l’appréhention des succès de
cette campagne ou quelqu’aultre raison secrette nous faict donner mainte-
nant les mains à tout ce qu’on désire de nous, ce qui pourroit les rendre
encore plus esloignez de la paix et peult-estre mesme les obliger à nous
contester des choses qu’ilz ont desjà accordées, ou du moins celles qu’ilz
n’ont ceddées qu’à demy et en termes ambiguz pour y pouvoir revenir:|.
C’est pourquoy bien que Sa Majesté eust escrit à Messieurs les Pléni-
potentiaires pour avoir leurs avis sur ce point |:de l’assistance de Portugal
et sur toutes les aultres choses qui peuvent rester à adjuster pour la con-
clusion de la paix:| affin d’y prendre après cela ses dernières résolutions,
comme les ordres qu’on pourroit envoyer d’icy où l’on ne veoid les cho-
ses que de loing et souvent après les occasions eschappées, pourroient
faire un effect tout contraire à l’intention que l’on auroit eue, Saditte Ma-
jesté , sans attendre mesme d’avoir plus ample information des sentimentz
desdits Sieurs Plénipotentiaires, désirent [!] qu’ilz prennent sur les lieux
telle résolution qu’ilz jugeront plus à propos pour son service, |:touchant
le poinct de l’assistance de Portugal, dans toutes les difficultez que nos
parties y forment, mesme en ce qui regarde la limitation du secours:|, Sa
Majesté s’en remettant entièrement sur eux qui sçavent touttes les raisons
qu’on a eues icy de souhaitter et insister pour avoir cette assistance libre
dont on leur a cy-devant escrit fort amplement , et s’asseurans qu’ilz
sçauront selon les conjonctures mesnager à cette couronne tous les advan-
tages possibles, et esvitter autant qu’il se pourra les pièges où il se veoid
que les ennemis auroient dessein de nous faire donner avec le tempz.
On veut seullement les advertir affin qu’ilz ne prennent pas leurs mesures
sur de faux fondemens, que la passion extresme que Leurs Majestez ont
de veoir conclurre la paix promptement, n’a d’autre motif que celluy du
bien de la chrestienté, car du reste Messieurs les Plénipotentiaires doivent
sçavoir qu’on croid icy noz affaires en meilleur estat de tous costez qu’ el-
les n’ont encores esté, et qu’à moins que Dieu fît des miracles en faveur
des ennemis, il n’y eust jamais tant d’apparence de faire sur eux de grandz
progrez de touttes partz.
Ilz doivent aussy considérer en ce qui est de |:la limitation du secours,
qu’elle peult plus qu’aucune aultre clause nous embarrasser à l’avenir,
donnant un prétexte plausible dans le monde à noz parties de rompre
contre nous:|, touttes fois et quantes qu’ilz croiront qu’il leur est advan-
tageux . Car |:limitant nostre assistance par exemple à dix mil hommes, ilz
peuvent en tout temps faire une querelle d’Allemand, disans que nous
avons excédé le nombre qui nous estoit permis:| quand mesme nous n’y
en aurions pas envoyé la moictié; et comme en ce cas nous ne sçaurions
les convaincre de mauvaise foy, estant une question de fait qu’il seroit
esgallement malayzé à tous deux de prouver, nous ne pourrions peut-
estre pas porter |:à rompre contre eux, ceux qui seroient engagez à garentir
le traicté contre les infracteurs:|. Ainsy, si Messieurs les Plénipotentiaires
jugent à propos de condescendre |:à cette limitation de secours:|, il sera
bon qu’ilz prennent touttes les précaution〈s〉 possibles pour esvitter cet
inconvénient qui seroit grand.
On a estimé leur debvoir mettre tout cela en considération affin qu’en
estans informez, ilz puissent mieux prendre leurs mesures. Ce n’est pas
que Leurs Majestez veuillent leur retrancher en aucune façon le pouvoir
qu’elles leur donnent en ce point, car quelque résolution qu’ilz jugent à
propos d’y prendre, elles l’approuvent dez à présent, voullans leur donner
cette nouvelle marque de leur confiance et de la croyance qu’elles ont
qu’une affaire de cette conséquence ne peut estre mieux mesnagée
qu’estant remise à leur entière disposition.
On a peyne à comprendre pourquoy |:les ennemis se formalisent tant
pour une simple désignation que nous avons faicte du duc Charles en
l’article troisiesme
ront donner aux princes leurs alliez, puisqu’ilz nous ont souvent faict dire
que les affaires dudict duc n’arresteroient pas la paix un moment:|. On
croit que ce n’est qu’une précaution qu’ilz prennent pour ne pas |:le per-
dre et le secours de ses troupes tant que la guerre durera. Car aultrement
il seroit bien insuportable:| et capable de faire eschapper la mesme modé-
ration hors des termes, si à mesure que |:nous nous relaschons pour le
Portugal, ilz augmentoient leurs prétentions pour la Lorraine. Il n’est
pas à croire que nous laissant tout ce que nous avons conquis sur eux, ilz
voulussent s’oppiniastrer jusqu’à rompre le traicté pour les intérestz
d’aultruy et notamment pour ceux dudict duc Charles:|, duquel, quoy
qu’ilz puissent dire, |:ilz sont fort mal satisfaictz de longue main, et en
dernier lieu il a tiré deux cens soixante-dix mil escuz moyennant quoy il
devoit leur fournir quatre mil hommes effectifs, dont il ne leur a baillé au
plus que deux mil cinq cens, et nous voyons bien par les négotiations que
ledict duc tasche tous les jours de mettre icy sur le tapis qu’il recognoist
fort bien et se tient pour dict qu’il sera abbandonné des Espagnolz et de
l’Empereur:|.
On n’a pas esté moins surpris qu’après touttes les ostentations que les
Espagnolz ont faittes de voulloir remettre tous les différens à l’arbitrage
de Messieurs les Estatz, tirans mesme advantage à noz despens parmy les
Provinces-Unies de cette fauce defférence, et exaggérans comm’ilz sça-
vent faire que des alliez ne tesmoignassent pas de voulloir s’en rapporter
de mesme à leur jugement, aujourd’huy que pour apporter de plus gran-
des facillitez à la paix, ou au moins pour esprouver sy noz parties y mar-
choient d’aussy bon pied qu’ilz voulloient le faire croire, la France a faict
la mesme offre avec toutte sorte de sincérité et de disposition de passer en
des pointz très importans par la décision desdits Sieurs Estatz, les Espa-
gnolz y trouvent aussy à redire, et qu’ainsy ilz ayent assez d’artiffice pour
faire que dans une mesme affaire et du jour au lendemain, on trouve mau-
vais ce que nous faisons et que nous ne faisons pas.
On peut leur dire que le sieur Servien a fait à La Haye ce que lesdits
Sieurs Plénipotentiaires font à Munster, qui est de travailler par tous les
moyens dont ilz s’avisent pour la conclusion de la paix, |:et qu’il désistera
de toutes les propositions qu’il a advancé ou pourroit avancer à l’avenir
dès qu’il y aura apparence de faire mieux ailleurs ou plus promptement.
L’Empereur payeroit d’une bien mauvaise monnoye les assistances que
nous avons sy souvent données au comte de Trautmansdorff et à ses aul-
tres ministres:| pour le faire sortir le moins mal qu’il se peut du mauvais
pas où il se trouve, si, comme Messieurs les Plénipotentiaires mandent, il
ne s’estudie aujourd’huy |:qu’à animer les Suédois et les protestans contre
cette couronne. Mais l’ingratitude des Suédois seroit encore plus grande:|
si, après ce que nous avons fait pour eux, nous les trouvions dans le sen-
timent qu’a fait parroistre |:Rosenhan qu’il n’y avoit pas apparence de
vouloir obliger l’Empereur à ne pouvoir assister
ces de ses pays héréditaires et que les affaires de l’Empire estans termi-
nées , il ne seroit pas raisonnable que le traicté fust arresté pour les inté-
restz de France et d’Espagne. On ne peult croire icy que la reyne sa mais-
tresse l’advoue en cela:|, d’autant plus qu’à le bien prendre, ell’agiroit
contre ses propres intérestz, puisque |:sy l’Espagne, assistée de l’ Empe-
reur , venoit jamais à reprendre le dessus:|, il ne faudroit pas qu’elle s’ at-
tendist qu’on la laissast longtempz jouir en repos des grandz advantages
qu’elle prétend s’asseurer dans l’Allemagne par le traitté que l’on doit
faire à présent; et ce qui nous fait croire qu’ell’a d’autres sentimens, c’est
qu’elle ne perd aucune occasion, autant dans les petittes choses que dans
les grandes, de faire parroistre beaucoup de passion pour cette couronne,
et de désir de lier avec elle une perpétuelle et indissoluble union.
On adjoustera encores que quoyque Leurs Majestez soient dans la réso-
lution de faire parroistre plus de modération dans le tempz que leurs af-
faires prospéreront davantage, néantmoins il sera bien à propos pour l’ ad-
vancement de la paix et mesme pour nous en servir, sy le cas y eschect
selon les esvennemens de la guerre, |:que Messieurs les Plénipotentiaires
fassent sçavoir à noz parties, par l’entremise des Médiateurs:|, que reco-
gnoissans mal comm’ilz font les facillitez que Leurs Majestez apportent
pour conclurre sans délay un bon accommodement, il pourr〈a〉 bientost
arriver de telz accidens que nous augmenterons noz prétentions, particul-
lièrement dans les affaires de Catalongne et de Portugal, et qu’ilz seront
peut-estre plus facilles alors en des choses très difficilles et fascheuses
pour eux qu’ilz ne le sont aujourd’huy en celles où nous avions suject de
croire qu’ilz avoient desjà donné les mains.
|:On a eu nouvelle des négotiations du sieur Du Plessis-Bezançon
Charles-Bernard de Besançon, sieur Du Plessis, gen. Du Plessis-Besançon (1600–1670), spä-
testens seit 1631 in frz. Militärdienst, conseiller d’Etat, conseiller au conseil des finances et
de la guerre, 1645 maréchal de camp; daneben mehrfach mit diplomatischen Aufgaben, v.a.
bei it. F.en, betraut ( ABF I, 356, 256ff.; 1059, 143; Beaucaire , Besançon; DBF XII, 404).
me , où le duc luy a tesmoigné de vouloir enchérir sur son père dans la
passion qu’il avoit pour la France, et d’estre prest à faire sans réserve, et
sans considérer ses intérestz, tout ce générallement que Leurs Majestez
désireroient de luy. Le cardinal Farneze , son oncle, s’est aussy déclaré
ouvertement serviteur de cette couronne:|.
Militärische Nachrichten aus Flandern.