Acta Pacis Westphalicae II B 5,2 : Die französischen Korrespondenzen, Band 5, 2. Teil: 1647 / Guido Braun unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy und Achim Tröster, unter Mithilfe von Antje Oschmann am Register
266. Brienne an Longueville und d’Avaux Paris 1647 Mai 10

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–/ 266 /–

13

Brienne an Longueville und d’Avaux


14
Paris 1647 Mai 10

15
Kopien: AE , CP All. 100 fol. 80–83 = Druckvorlage; AE , CP All. 88 fol. 173–177;
16
Ass.Nat. 273 fol. 278–279. Druck: CDI 83, 250–254 (spanische Übersetzung).

17
Verweis auf königliches Memorandum; Entsendung Croissys an den kurbayerischen Hof und
18
Rückkehr Tracys zur Armee. Keine Bereitstellung von Schiffen durch Portugal; daraufhin an-
19
geordnete Unterredung Briennes mit dem portugiesischen Botschafter in Paris; implizite Dro-
20
hung mit Entzug des französischen Beistandes; Rechtfertigungsversuch des Portugiesen: sein
21
Hinweis auf die schwierige militärische Lage seiner Landsleute, Beschwerde über ihre man-
22
gelhafte Information durch die französischen Gesandten in Münster; Zurückweisung durch
23
Brienne; Versicherung des französischen Einsatzes für Portugal, aber Ablehnung der Ver-
24
pflichtung Frankreichs, die Inklusion Portugals in den Vertrag als conditio sine qua non für
25
einen Friedensschluß zu betrachten. Beschwerden der Residenten Hessen-Kassels und der
26
Pfalz über die aus ihrer Sicht unbefriedigenden Verhandlungsergebnisse hinsichtlich ihrer Sa-
27
tisfaktion respektive Restitution; offensichtlicher Wunsch der Landgräfin nach Fortsetzung des
28
Krieges; Erwiderungen Briennes. Verhandlungen mit dem dänischen Botschafter über einen
29
von ihm vorgebrachten Defensivbündnisvorschlag; Frankreich lehnt ab; der dänische Wunsch
30
nach Verzicht der Schweden auf Bremen und Verden oder zumindest einer Entschädigung für
31
Herzog Friedrich II. von Schleswig und Holstein wird mit unverbindlichen Versprechungen
32
beantwortet; gute Behandlung des Gesandten zur Erhaltung seiner Gewogenheit; positiver
33
Ausgang der Verhandlungen mit ihm erwartet, zumindest die Erreichung dänischer Neutra-
34
lität ; Erörterung von Religions- und Handelsfragen. Bevorstehende Abreise Briennes nach
35
Amiens oder Compiègne. Anempfehlung der Interessen der Erben der von Rehlingen.

36
Par le mémoire du Roy

39
Nr. 267.
vous verrez les réflexions

38
36 qu’on a fait] in Ass.Nat. 273: qu’on faict.
qu’on a fait sur le vos-
37
tre du 29 e du passé

40
Nr. 247.
, et ce qui a esté résolu sur les affaires dont la conduite

[p. 1258] [scan. 438]


1
est en vostre main. Pour ne donner pas lieu à quelque doute, je m’abstiens
2
d’escrire sur ce sujet, et me contenteray de vous dire que je fais travailler
3
aux dépesches de monsieur de Croisic que je luy addresseray ou par mon-
4
sieur de Tracy, qui est prest de retourner à l’armée, ou par la voye que
5
ledit sieur et moy aviserons, et j’espère qu’oultre que l’électeur de Baviè-
6
res aura de la joye que l’on voye en sa cour un ministre de cette couronne,
7
que la présence dudit sieur de Croisic

32
7 n’y] in Ass.Nat. 273: ne.
n’y sera pas inutile, auquel on
8

33
8 pourra] in Ass.Nat. 273: pourroit.
pourra bien permettre, après quelques mois de séjour, de venir en cette
9
cour y faire connoistre son vi

34
9 sa personne l’y est par] in Ass.Nat. 273: sa personne considérable par.
sage comme sa personne l’y est par sa suf-
10
fisance .

11
J’adjousteray que hier après-disner, selon l’ordre que j’en avois receu, je
12
fus trouver l’ambassadeur

35
12–13 de Gardanes] in Ass.Nat. 273: d’Ordames.
de Portugal

40
Wahrscheinlich ist der ao. port. Botschafter Vidigueira (s. Anm. 4 zu nr. 54) gemeint.
pour luy dire que le chevalier de
13
Gardanes

41
Louis de Forbin-Gardanne (1610–1690), 1628 chevalier de Malte, zeichnete sich seit 1643
42
als capitaine de vaisseau in der kgl. frz. Marine aus; am 28. Januar 1647 war er nach Por-
43
tugal geschickt worden, um dem Kg. für die Überlassung eines Teils seiner Flotte an Frk. zu
44
danken und die Schiffe ins Mittelmeer zu geleiten ( ABF I 433, 292; Granges de Surgères
45
II, 514; DBF XIV, 410).
, qui estoit revenu de Portugal, avoit fait sçavoir comme son
14
roy ne se disposoit point à joindre de ses vaisseaux à nostre flotte, dont
15
monsieur le cardinal Mazarin estoit demeuré fort surpris, ayant tousjours
16
essayé de faire valoir l’affection de cette

36
16 majesté] in Ass.Nat. 273: couronne.
majesté, et de disposer les choses
17
à le faire assister et comprendre dans la paix, ou au moins à luy moyenner
18
une trêve avec son ennemy, et que le refus qui luy levoit le moien de le
19
deffendre en laissoit à plusieurs de l’attaquer, qui n’avoient jamais sceu
20
s’imagin〈er〉 que la France deût retarder la conclusion de l〈a〉 paix d’un
21
seul moment pour ses intérêtz.

22
Il fust ass〈ez〉 surpris, car il entendit fort bien ce que cela pouvoit signif-
23
fier , et me respondit qu’il ne disoit pas que les vaisseaux viendroient ou ne
24
viendroient pas, mai〈s〉 qu’il estoit asseuré qu’on les préparoit, et que son
25
maistr〈e〉 pouvoit s’excuser de les envoyer, se voyant en estat d’avoir à se
26
deffendre des forces d’Espagne et de celle〈s〉 des Hollandois, qui ont em-
27
barqué sur deux flottes trois mil hommes qu’ilz ont envoyez au Brésil, et
28
que son maistre avoit

37
28 ce] in Ass.Nat. 273: si.
ce peu de fortune que les plénipotentiaires de
29
France n’avoient jamais donné aucune communica〈tion〉 à ses ministres
30
de ce qui se passoit à Munster q〈ue〉

38
30 lorsque] in Ass.Nat. 273: lors.
lorsque les affaires estoient publi-
31
ques , me priant 〈de〉 faire entendre ce qu’il m’avoit dit

39
31 à] in Ass.Nat. 273: et.
à ses plaintes;

[p. 1259] [scan. 439]


1
ausquelles je respondis et le convainquis qu’il n’estoit pas en droit de se
2
plaindre, puisque souventefois il m’avoit dit que les ministres de Portugal
3
luy avoient mandé qu’on avoit conféré avec eux, mais qu’il leur sembloit
4
qu’on ne portoit pas les affaires en la manière dont ils auroient eu à le
5
désirer, et que souventefois je luy avois dit qu’il se pouvoit asseurer des
6
offices de Leurs Majestez, mais non pas que l’on fît une condition sans
7
laquelle le traicté ne seroit pas conclu que de les y faire comprendre.

8
J’ay aussy esté veu par les résidens du prince palatin

41
Konnte nicht identifiziert werden.
et de madame de
9
Cassel

42
Dörnberg (s. Anm. 9 zu nr. 31).
. Celluy-cy prie qu’on vous escrive de soustenir les intérêtz de sa
10
maistresse, et dit que les satisfactions qui sont offertes à cette Altesse ne la
11
peuvent contenter; mais quand on vient à luy dire ce que vous luy avez
12
moyenné, il demeure assez interdit, sans néantmoins discontinuer de se
13
plaindre, persuadé que c’est un moien de faire faire un effort pour sa
14
maistresse; et comme vous l’avez bien remarqué, elle voudroit bien volon-
15
tiers que la guerre continuast, tant elle trouve de plaisir d’estre armée,
16
occuper le bien d’autruy et de recevoir des subsides de France.

17
Je luy ay promis de vous escrire, et j’ay fort essayé de luy faire compren-
18
dre que les plaintes de cette Altesse pouvoient estre retranchées.

19
Quant au résident de l’électeur, il fortiffie les siennes de ce que l’un

43
Nicht zu identifizieren.
des
20
députez de Messieurs les Estatz leur a dit en leur assemblée, que la France
21
abandonnoit aisément les intérêtz de leur maison pour prendre ceux de
22
Bavières.

23
Je luy ay répliqué que s’il n’apportoit point d’autre tesmoignage, celuy-là
24
se destruisoit de soy-mesme, aucuns

44
Nach frz. Auffassung bes. Meinerswijk, Pauw und Knuyt.
des députez de Messieurs les Estatz
25
ayans fait paroistre une

38
25 partialité] in Ass.Nat. 273: ponctualité.
partialité entière pour l’Espagne, et qu’il ne se
26
falloit pas estonner si l’Empereur, pour éviter le desmembrement de ses
27
Estatz, concédoit aisément une partie des leurs, et que les couronnes
28
n’avoient pas peu tenir en leur faveur de les asseurer de la restitution en-
29
tière du Bas-Palatinat, et de conservir [!] l’électorat dans leur famille;
30
qu’autr〈e〉sfois il m’avoit dit que son maistre avoit tout subjet de se louer
31
des plénipotentiaires de France, et nommément de monsieur d’Avaux;
32
qu’il estoit par conséquent surprenant qu’il s’en plaignît aujourd’huy, et
33
que je

39
33 pouvois] in Ass.Nat. 273: pourrois.
pouvois l’asseurer qu’il n’y avoit point eu de changement en sa
34
volonté; que sy pour le bien de la paix, on se relaschoit de ce qu’ils au-
35
roient peu désirer, qu’ils pouvoient mettre dans une balance l’avantage
36

40
36 d’estre] in Ass.Nat. 273: de ***.
d’estre restituez en une grande dignité et en un gran〈d〉 Estat, et dans
37
l’autre, la simple espérence de le reconquérir sans hommes ny argent

[p. 1260] [scan. 440]


1
pour ce faire; que je m’asseurois qu’il conviendroit avec moy de cette vé-
2
rité que l’on a fait pour eux tout ce que raisonnablement ilz pouvoient
3
prétendre.

4
Ce que je vous mande au subjet de ces deux résidens n’est que pour vostre
5
information. Vous aurez aussy agréable de sçavoir que l’ambassadeur de
6
Dannemarch

38
Sehr wahrscheinlich ist der ao. Botschafter Ulfeldt gemeint (s. Anm. 3 zu nr. 7).
, ayant fait ses complimens bien adroitement, a désiré insi-
7
nuer qu’il seroit utile aux deux royaumes de faire une ligue deffensive,
8
qu’il a ensuite proposé; mais comme nous luy avons dit qu’elle donneroit
9
sujet de soupçon aux Suédois, et qu’à leur exception nous n’en ferions pas
10
de difficulté ny peut-estre de nous en retrancher sy nous estions libres
11
ainsy qu’il nous dit qu’ilz le sont, cela ne l’a pas satisfait; mais comme il
12
est homme de beaucoup d’expérience, il a avoué que nous estions en
13
droit, et a continué à essayer de nous insinuer qu’il falloit prendre des
14
précautions contre l’avenir.

15
Il désireroit bien fort que les Suédois se départissent du pays de Bremen,
16
ou au moins qu’il en fust donné récompense au duc Frideric, non comme
17
d’un patrimoine qui luy auroit esté enlevé, mais comme d’un bien qu’il
18
n’avoit qu’à vie, adjoustant que pour n’obtenir pas ce qu’il〈z〉 deman-
19
dent avec beaucoup de justice, ce ne sera point un sujet de guerre entre
20
eux et la Suède, mais que ce prince estant comme asseuré de parvenir à la
21
royauté, et bientos〈t〉, aura peine de souffrir l’affront qui luy aura esté
22
fait sans en rester du ressentiment; que de la France il demande des of-
23
fices , et

32
23 qu’elle se] qu’elle nach Ass.Nat. 273; in der Druckvorlage: qu’il; in AE , CP All. 88:
33
qu’il in qu’elle verbessert.
qu’elle se souvienne qu’elle en a esté requise, affin que sy le
24
temps produisoit quelque chose de nouveau, on ne leur impute pas qu’ilz
25

34
25 les portent] in Ass.Nat. 273: partent.
les portent de boutade

35
25 sans] in Ass.Nat. 273: et soubz.
sans prétexte de raison et de justic〈e〉. Le revenu
26

36
26 de cet archevesché] in Ass.Nat. 273: des catholiques.
de cet archevesché et de l’évesché de Verde〈n〉 qui y est annexe n’est pas
27
extraordinaire, mais il dit qu’il quadruplera et ira au-delà puisque les
28
Suédois en deviennent les maistres, y ayant grande différence entre un
29
prince d’élection, et qui n’a de droit et d’autorité qu’administrer avec
30
son chapitre, ou de celuy qui possédera à tousjours, et en tous droitz de
31
régale

39
Im frz. Recht bezeichnete der Begriff das kgl. Recht auf die Einkünfte vakanter Bt.er
40
( régale temporelle ) und das Nominierungsrecht für höhere Pfründe, im wesentlichen
41
Bt.er und Domkanonikate ( régale spirituelle ) ( Blet ).

37
31 et souveraineté] in Ass.Nat. 273: et de souveraineté.
et souveraineté

42
Der Begriff souveraineté bezeichnete im Frk. des 17. Jh., namentlich auch im Sprachge-
43
brauch der frz. Ges. auf dem WFK, nicht nur die (gesamtstaatlichen) Souveränitäts-, son-
44
dern auch die landesherrlichen Rechte ( Braun , 141–147, bes. 146; ders. , Gazette, 290f.).
, et que c’est cet Estat qui donne jalousie au leur

[p. 1261] [scan. 441]


1
en la main des Suédois,

21
1 et non] nach Ass.Nat. 273 und AE , CP All. 88; in der Druckvorlage nur: non.
et non de ce que la Suède s’est accrue soit à
2
leur〈s〉 despens

22
2 et de Brandebourg] in Ass.Nat. 273: ou de l’électeur de Brandebourg.
et de Brandebourg.

3
Nous promettons volontiers

23
3 ce] nach Ass.Nat. 273 und AE , CP All. 88; in der Druckvorlage die unwahrscheinli-
24
chere
Lesart: et.
ce qui ne nous engage à guères de choses, et
4
essayons par le bon traictement qui luy est fa〈it〉 de le laisser en disposi-
5
tion de nous aymer et de changer les premières inclinations qu’il avoit
6

25
6–7 réussissons à] in AE , CP All. 88 und Ass.Nat. 273: réussissons au moins à.
eues pour ceux d’Austriche, et nous serons trompez si nou〈s〉 n’y réus-
7
sissons à le rendre neutre.

8
Il a proposé quelque liberté de conscience pour les catholiques, parlant à
9
la Royne, mais à monsieur de La Thuillerie et à moy qui sommes ses
10
commissaires, il ne s’est pas tant ouvert.

26
10–13 Nous l’en … Nort] Reihenfolge in Ass.Nat. 273: et essayerons … Nort, nous l’en …
27
demain.
Nous l’en presserons au-
11
jourd ’huy ou demain, et essayerons d’arrester avec luy, selon qu’il nous
12
l’a offert, la liberté pour nos marchandz d’aller faire les pesches des balei-
13
nes au Nort.

14
Et après avoir fini avec luy, je partiray pour Amiens

29
Amiens, Hauptstadt der Picardie, an der Somme gelegen, war zugleich généralité, prési-
30
dial und bailliage und als Bt. Suffraganat von Reims ( Moréri I, 293f.; FBFC II, 36–39).
, ou pour Compiè-
15
gne

31
Compiègne, frz. Stadt, zwischen Noyon, Senlis und Soissons im Valois, am Zusammenfluß
32
von Aisne und Oise gelegen, gehörte zum Gouvernement Ile-de-France und zur Diözese
33
Soissons ( Moréri III, 270).
si Sa Majesté y faisoit un peu plus de séjour qu’elle n’a dit d’y vou-
16
loir faire, dont je continueray à vous mander

28
16 de nos nouvelles] in Ass.Nat. 273: des nouvelles.
de nos nouvelles.

17
J’oubliois à vous dire comme j’ay eu ordre de vous recommander expres-
18
sément de faire en sorte que les hérétiers de feu monsieur de Rechling,
19
baron de Kitsighoffen et Einhoffen

34
Marx Conrad Fh. von Rehlingen zu Hainhofen und Kleinkitzighofen (1575–1642), Finan-
35
zier und Bergwerksverleger aus Augsburg, war seit 1606 Rat Ks. Rudolfs II., dann Ks.
36
Matthias’ und wahrscheinlich seit 1633/1634 trésorier Bernhards von Sachsen-Weimar ge-
37
wesen ; seine Güter waren aus konfessionspolitischen Gründen beschlagnahmt worden,
38
wurden jedoch seinen Kindern und Erben 1648 in Art. IV § 45 IPO restituiert ( Zedler
39
XXX, 1937ff.; Schöningh , 29–54; Steuer , 228f.). – Auch Servien wurde gebeten, die In-
40
teressen der Familie von Rehlingen zu vertreten; vgl. Lionne an Servien, Paris 1647 Mai 9;
41
eigh. Ausf.: AE , CP Holl. 41 fol. 262–263.
, habituez et mariez en France

42
Zu seinem Sohn Ferdinand Fh. von Rehlingen, dem einzigen männlichen Nachkommen
43
bei Eintritt des Erbfalls 1642 (die Brüder Marx und Conrad waren 1632 bzw. 1634 ver-
44
storben ), vgl. Anm. 17. Daneben hatte Marx Conrad von Rehlingen vier Töchter: Anna
45
Catharina (verh. mit Peter Galatin), Maria Rosina (gest. 1646; vermutlich seit 1635 verh.
46
mit Johann Heinrich Herwart [s. Anm. 18]), Juliana Magdalena (verh. mit Philibert Sa-
47
razin ) und Regina Sabina (verh. mit François de Laigue). Die Schwestern sollten ein Drit-
48
tel des Erbes erhalten, Ferdinand zwei Drittel ( Schöningh , 55 und T. nach 102).
,
20
soient restablis dans leurs biens en Allemagne qui ont esté confisquez

[p. 1262] [scan. 442]


1
par l’Empereur sur leur père et donnez au comte Kurts

14
Sicherlich (vgl. ebd. , 47) der in Wien tätige Ferdinand Sigmund Gf. Kur(t)z von Senftenau
15
(1592–1659, 1636 Reichsgf.); 1626–1637 RHR , seit 1637 Reichsvizekanzler, seit 1640 GR ;
16
er nahm 1636–1655 verschiedentlich diplomatische Missionen wahr, v.a. nach Bayern
17
( DBA I 727, 207; Gross , 336–340; Schwarz , 260–263; Heiner Haan , 78, 80, 182, 230;
18
Riedenauer ; Ruppert , 340 Anm. 276).
, et qu’il soit fait
2
mention desdits hérétiers dans l’article particullier de cette restitution.
3
Celuy qui y a le principal intérest

19
Ferdinand Fh. von Rehlingen zu Hainhofen und Kleinkitzighofen (1619–1687), Kauf-
20
mann und Soldat, in erster Ehe mit Marie de Laigue aus Lyon verh.; er hielt sich 1643–
21
1649 in Frk. auf und war dort unter den Namen Relingue, Erlingen und d’Erlingue be-
22
kannt . Ferdinand pflegte auch nach seiner Rückkehr nach Deutschland 1649 gute Bezie-
23
hungen zu Frk. und v.a. zum Pariser Hof; er wurde Kammerherr Kf. Philipp Wilhelms
24
von der Pfalz (1615–1690, 1685 Kf.) und Obrist-Leutnant des Schwäbischen Kreises ( Zed-
25
ler
XXX, 1937ff.; Schöningh , 55–59). Seine Familie siedelte sich z.T. dauerhaft in Frk.
26
an: Sein gleichnamiger Sohn, in Frk. gen. Ferdinand comte de Relingue (ca. 1630–1704),
27
trat in den frz. Militärdienst und zeichnete sich seit 1670 in der frz. Marine aus; 1697
28
wurde für ihn das Amt eines lieutenant général des armées navales geschaffen ( ABF I
29
882, 48f.; II 545, 197; Vergé-Franceschi ).
estant beau-frère du sieur Herval

30
Gemeint sein könnte Johann Heinrich Herwart (Jean-Henri Hervart) (1609-nach 1664),
31
ein Protestant augsburgischer Herkunft, der Maria Rosina von Rehlingen (s. Anm. 15), die
32
Schwester des Haupterben Ferdinand Fh. von Rehlingen (s. Anm. 17) geheiratet hatte und
33
in Lyon und Paris, zusammen mit seinem Bruder Bartholomäus, als Bankier tätig war
34
( Herwarth von Bittenfeld ; Schöningh T. nach 102). – Gemeint sein könnte auch
35
Bartholomäus Herwart (Barthélemy Hervart) (1606/07–1676), der durch seinen Bruder
36
Johann Heinrich mit Ferdinand Fh. von Rehlingen verschwägert war und sich sehr um
37
die sachsen-weimarische und frz. Armeefinanzierung verdient gemacht hatte; er wurde
38
daher von Mazarin zum intendant des finances, 1657 zum contrôleur général des finances
39
ernannt und war bei seinem Tode conseiller d’Etat ordinaire ( ABF I 516, 19–25 und 365;
40
Herwarth von Bittenfeld ; Mazarin , Lettres I, 933; Badalo-Dulong ; FBFC II, 519;
41
zu den von ihm ausgeübten Ämtern vgl. auch Bayard ; Harouel , 334; Poncet , 674).

4
qui sert utilement, Sa Majesté désire en cela faire chose qui tourne à sa
5
satisfaction.

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