Acta Pacis Westphalicae II B 5,2 : Die französischen Korrespondenzen, Band 5, 2. Teil: 1647 / Guido Braun unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy und Achim Tröster, unter Mithilfe von Antje Oschmann am Register
260. Memorandum Longuevilles und d’Avaux’ für Ludwig XIV Münster 1647 Mai 6
Münster 1647 Mai 6
Ausfertigung: Ass.Nat. 277 fol. 476–482’ = Druckvorlage. Duplikat [für Mazarin]: AE , CP
All. 83 fol. 116–120’. Teilduplikat [für Servien]: AE , CP Holl. 41 fol. 249–251. Kopie: AE ,
CP All. 100 fol. 37–43’. Druck: NS IV, 97–99. Teildruck: CDI 83, 245–250 (spanische
Übersetzung; mit Abweichungen in Inhalt und Gliederung).
Beharren der Gesandten auf der Waffenstillstandsforderung für Portugal trotz der Voll-
macht zum Verzicht hierauf. Konferenz mit den Mediatoren vom 3. Mai 1647: Bestehen
auf den Forderungen zu Portugal (Zertifikat der Mediatoren zum französischen Assistenz-
recht , Waffenstillstand oder Offensivkriegsverbot) gemäß den letzten Anweisungen aus Pa-
ris ; Resignation der Mediatoren: ihrer Ansicht nach keine spanische Verhandlungsbereit-
schaft über diese Punkte; dagegen Bekräftigung der französischen Bereitschaft zum Friedens-
schluß auf der Grundlage des französischen Gesamtentwurfes für den Friedensvertrag mit
Spanien vom 25. Januar 1647, aber Androhung, die Forderungen bei weiterem Zögern der
Spanier zu erhöhen; Betonung der guten Lage Frankreichs. Ausnutzung der Nachrichten
über die schlechte des Kaisers in einer Konferenz mit Trauttmansdorff; dessen Bemühungen
bei den Spaniern in der Portugalfrage vergeblich; seine Betonung der Bindung des Kaisers an
jene in dieser Sache. Brüskierendes Auftreten Oxenstiernas; seine Drohung mit Bruch des
Bündnisses. Hohe Forderungen der Schweden an Polen. Nachricht Wartenbergs über Un-
ruhe auf dem Kongreß wegen der (angeblichen) französischen Forderungen zu Portugal, un-
ter anderem nach dem geographisch unbegrenzten Recht zur Kriegführung gegen Spanien;
Entsendung Boulangers zu den Mediatoren zwecks Klarstellung der französischen Absichten,
insbesondere in bezug auf den gewünschten Einsatz der französischen Hilfstruppen für Por-
tugal auch auf benachbartem spanischen Boden; diesbezüglich Skepsis der Mediatoren; ihre
Bitte um schriftliche Abfassung der französischen Forderungen; daraufhin ausgehändigte
schriftliche Erklärung Longuevilles und d’Avaux’ an die Mediatoren, das Assistenzrecht für
Portugal betreffend (Beilage 1); nach Aussage der Spanier ein solcher Ausgleich und damit
der Friedensschluß zwischen Frankreich und Spanien schlechthin unmöglich.
L’on aura veu par nostre dernière dépesche qu’encor que le désir de la
paix eût porté Leurs Majestés à |:nous donner pouvoir de nous despartir
de l’instance touchant la suspention en Portugal, nous n’en viendrons là
qu’à l’extrémité:|. Nous en avons usé de la sorte tant pour attendre les
dépesches de la cour en response des vingt premiers articles qu’on y avoit
envoiés , que |:pour tesmoigner plus de fermeté aux Espagnolz dans le
temps qu’ilz publient partout que la Hollande avoit attiré la pluspart des
autres provinces dans son sentiment:|.
Nous avons esté bien aises de ne |:nous estre engagez à rien:|, puisque
nous voyons par le mémoire du 26 avril que Sa Majesté nous ordonne
de tenir ferme sur les deux poincts du Portugal. Nous avons aussy receu
par le mesme ordinaire des lettres de monsieur Servien qui nous appren-
nent que les choses sont en bien meilleur estat où il est, que les ennemis
ne veulent faire croire. Ainsy, après avoir longtemps différé de faire res-
ponse aux Médiateurs, nous les allasmes voir il y a trois jours
représentasmes bien ponctuellement touttes les raisons contenues dans
les mémoires, dont la conclusion fut qu’il estoit absoluement nécessaire
qu’eux, et les plénipotentiaires de Holande, comme aussy les Impériaux,
déclarent nettement par un escrit à part que l’article du traicté touchant
l’assistance qu’on pourra donner aux amis et alliés comprend aussy le
Portugal et que les Portugais entrans dans l’Andalousie et dans la Grena-
de , ou autres Estatz voisins, avec les armes auxiliaires de la France, touttes
les fois qu’il sera besoing pour la conservation dudict royaume, cela ne
pourra estre pris pour une infraction de paix. Nous avons pareillement
insisté à ce que les plénipotentiaires d’Espagne conviennent d’une cessa-
tion d’hostilités pour un an dans le Portugal, ou qu’au moins les deux
roys s’obligent de ne faire d’un an aucune guerre offensive sy ce n’est
d’un commun consentement.
Les Médiateurs ne se mirent pas en sy grand soing que de coustume de
combattre ceste résolution ny les raisons dont nous l’avions appuiée. Ils se
contentèrent de dire qu’ils en feroient rapport aux plénipotentiaires d’ Es-
pagne , et qu’ils croyoient mesme qu’ils ne seroient pas chargés de nous
revenir voir sur ce suject; qu’ils estoient peu heureux de n’avoir pu faire
convenir les parties, et que les Espagnols jugeroient sans doute que puis-
qu ’on leur demande des choses qui excèdent le pouvoir et les ordres qu’ils
ont, le roy leur maistre ne doit plus songer qu’à la campagne.
Nous répliquasmes que ceste instance n’est pas nouvelle; que sy le comte
de Penaranda avoit eu besoing d’ordres sur cela, il avoit eu le temps de les
recevoir. Que les intentions de Leurs Majestés pour la paix paroissent
évidemment en ce que nonobstant tous les préparatifs de la campagne,
nous avons déclaré de leur part qu’elles sacrifieroient volontiers ces des-
penses -là et leurs espérances au bien de la chrestienté, et qu’en effect nous
demeurions encor dans les mesmes termes de nostre project qui a esté
donné il y a plus de trois mois
Espagnols tardoient trop à convenir des conditions proposées, nous
croiions recevoir bientost ordre de demander pour le Portugal une trefve
d’égale durée à celle de Catalogne, et le changement de trefve en paix
pour la Catalogne, à l’exemple du traicté de Messieurs les Estatz .
Ce discours nous donna lieu de |:leur faire à propos la déduction des
avantages que l’estat présent des affaires nous donne:| aujourd’huy de
tous costez. Nous n’oubliasmes rien de ce qui est contenu dans le mé-
moire sur ce suject, et par là nous fismes voir combien Leurs Majestez
désirent le repos public, puisqu’elles ne cherchent pas à proffiter, comme
elles pourroient faire, d’une sy favorable conjoncture; pour preuve de
quoy nous leur dismes que nous estions prests de conclurre le traicté sui-
vant les articles que nous avons donnez .
|:L’advis de Vienne:| dont Leurs Majestez ont eu agréable que nous ayons
eu communication, nous paroist fort vraysemblable puisqu’outre la soli-
dité des autres qui |:sont venus du mesme lieu:|, il est certain que les affai-
res de l’Empereur sont en sy mauvais estat qu’il ne peut avoir d’espérance
ny de ressource que par une prompte conclusion de la paix. Nous nous
sommes bien |:prévalus de cet advis auprès du comte de Transmandorf,
sans pourtant luy en rien tesmoigner:|. Il nous paroît qu’il a faict quelque
|:effort vers les Espagnolz sur ce qui touche le Portugal, mais il est aisé de
voir qu’il n’a pu rien obtenir:|. Il nous disoit en la dernière conférence
qu’il a veu les ordres de Pennaranda qui l’empeschent de luy en pouvoir
plus parler. Il s’est aussy excusé formellement de pouvoir signer aucun
escrit où il soit faict mention du Portugal, attendu que son maistre estant
prince de la maison d’Austriche intéressé en touttes choses avec le roy
d’Espagne, ne peut pas parler d’une autre manière que luy, mesmement
en une matière sy sensible audict roy qu’il ayme mieux mettre au hasard
le reste de ses Estats que d’entrer en aucun traicté pour ce regard.
Nous avons bien considéré ce qui est très prudemment remarqué dans le
mémoire sur les paroles |:et la façon d’agir de monsieur Oxenstern:|, et
parce qu’il luy arrive souvent de |:tomber en des propos fascheux et d’user
de termes ruddes et peu suportables:|, comme encor tout fraischement le
sieur de La Court nous mande
chez , que la Suède romproit plustost avec la France que de n’obtenir
pas ce qu’elle prétend en cella:|, nous ferons sçavoir audict sieur de La
Court les sentimens et les ordres de Leurs Majestés, afin qu’avec la pru-
dence qui luy est ordinaire, il accompagne sa conduite de la vigueur et de
la résolution que l’on désire:|.
|:Touchant la Pologne:|, messieurs les plénipotentiaires de Suède |:en par-
lent avec grande hauteur; ilz font estat, en faisant la paix, de retenir la
Livonie entière et de ne restituer aucune chose au roy de Pologne pour
la renontiation qu’ilz prétendent avoir des droictz au royaume de Suè-
de
1587 war der älteste, kath. erzogene schwed. Kg.ssohn zum Kg. von Polen gewählt wor-
den (Sigismund III. Wasa, 1566–1632), folgte 1592 seinem Vater in Schweden und wurde
1594 gekrönt. Gegen diese poln.-schwed. Personalunion lehnte sich sein Onkel Karl Hg.
von Södermanland (1550–1611) auf, verdrängte Sigismund aus Schweden und wurde 1604
vom schwed. RT als Kg. (Karl IX.) anerkannt. Diese dynastische Revolution wurde poln.-
seits auch nicht anerkannt, als Gustav II. Adolf 1611 seinem Vater als Kg. von Schweden
folgte. Der Thronanspruch auf Schweden wurde von den poln. Wasas über den Tod Sigis-
munds III. hinaus aufrechterhalten. In den langfristigen Waffenstillständen von Altmark
(1629) und Stuhmsdorf (1635) behielten beide Seiten ihre schwed. Thronansprüche auf-
recht . Erst im Frieden von Oliva vom 23. April/3. Mai 1660 (Druck: DuMont VI.2,
303–309) hat Polen auf den schwed. Thronanspruch verzichtet ( Roberts , Gustavus; Zer-
nack ; Ahasver von Brandt ; Rhode , 1039, 1056).
tions . C’est de la façon qu’ils en ont parlé jusqu’icy. Nous essaierons de
connestre |:au vray s’il se peut, leur pensée et leur sentiment.
Monsieur d’Osnabrug qui tesmoigne affection pour la France:| et ressen-
timent des soings |:qu’on prend pour conserver au moins l’un de ses éves-
chez
bruict estoit grand en l’assemblée que non seulement nous persistions aux
deux poincts cy-devant demandés touchant le Portugal, c’est-à-dire en la
liberté expresse d’assister ce royaume, et d’une suspension d’armes pour
un an, mais que nous avions encor ajousté que la guerre du Portugal con-
tinuant , il seroit loisible à Sa Majesté pour faire diversion, d’attaquer les
Estatz du roy d’Espagne en quelque endroict que ce fust
comte de Trautmansdorff l’avoit ainsy donné à entendre à plusieurs dé-
putez qui avoient condamné ceste proposition , laquelle commençoit à se
divulguer partout, et estoit fort mal receue, puisqu’on présupposoit qu’en
faveur du Portugal, la France veut se réserver la liberté de continuer la
guerre au roy d’Espagne et d’envoier des armées dans la Navarre, à Na-
ples et ailleurs, pendant que les Espagnols auroient les mains liées en vertu
du traicté de paix.
Nous jugeasmes incontinent que c’estoit une malice de nos parties qui
faisoient courre ce faux bruict pour justifier leur obstination à ne pas vou-
loir accorder ce que Leurs Majestés ne demandent que pour la seureté de
la paix, et qu’ils prétendoient par là de nous rendre odieux, principale-
ment dans les Provinces-Unies, pour essaier de les porter à quelque man-
quement contre leur alliance .
Pour ne pas négliger ledict advis, nous envoyasmes au mesme temps le
sieur Boulanger, secrétaire de ceste ambassade, vers l’un et l’autre de Mes-
sieurs les Médiateurs
supplier de vouloir expliquer au comte de Trautmansdorff et aux minis-
tres d’Espagne ce que nous leur avions faict sçavoir de l’intention de
Leurs Majestés, qui estoit qu’outre la clause mise dans l’article second
pour l’assistance des amis et alliés , on désiroit avoir un escrit à part
tant desdictz Sieurs Médiateurs que de messieurs les ambassadeurs de Ho-
lande , et encor de ceux de l’Empire, comme ladicte clause comprenoit
aussy le Portugal, et que le secours que nous donnerions aux Portugais,
ne pourroit estre interprété pour une infraction de paix, encor qu’avec les
trouppes auxiliaires de la France l’on fist quelque entreprise sur les païs
voisins du Portugal.
Que ceste demande estoit juste et raisonnable, et que Messieurs les Mé-
diateurs eux-mesmes ne l’avoient pas improuvée, mais avoient dict seule-
ment qu’elle leur sembloit superflue, puisque l’on sçait bien que quicon-
que est attaqué ne demeure pas tousjours dans les termes d’une simple
défense, et qu’il est en estat quelquefois de transporter la guerre dans le
païs de celuy qui faict l’aggression; qu’on ne distingue point en ce cas de
quelles trouppes il se peut servir, et que cela s’est tousjours ainsy pratiqué
en semblables occasions, et notamment aux secours qui ont esté envoiez
de la part de la France à Messieurs les Estatz, mais que l’on n’entendoit
pas qu’il nous fust loisible, la paix estant faicte entre les deux couronnes,
de faire diversion dans les Estatz du roy d’Espagne où bon nous sem-
bleroit ; que ceste demande seroit à bon droict rejettée, qu’aussy n’ avions-
nous point eu ordre de la faire, et que nous croiions nous en estre assés
clairement expliqués.
Lesdictz Sieurs Médiateurs respondirent tous deux qu’ils comprenoient
assés quelle estoit nostre intention, laquelle ils avoient fidèlement rappor-
tée aux Espagnols et au comte de Trautmansdorff. Qu’ils avouoient
néantmoins qu’entre ennemis qui ont tout suspect l’un de l’autre, il y avoit
quelque lieu d’entrer en doute et de craindre que soubz ces mots de « di-
version » et d’«entreprise», l’on ne pust en effect continuer une guerre of-
fensive contre le roy d’Espagne soubz prétexte de secourir le Portugal,
encor que ledict roy fust de sa part lié et ne pust rien entreprendre contre
la France. Touttesfois qu’ils estoient bien aises d’estre encor mieux es-
claircis de nostre sentiment, et qu’ilz le feroient sçavoir aux Espagnols et
au comte de Trautmansdorff. Mais que pour mieux se donner à entendre
en une affaire de sy grande importance, il leur sembloit que le meilleur
estoit de mettre par escrit ce que l’on prétend.
Le sieur Boulanger nous ayant faict rapport de ce que dessus, nous avons
estimé à propos de dresser un mot tel que l’on verra par la copie cy-
joincte , que nous avons envoié auxdictz Sieurs Médiateurs par luy- mes-
me
Nach Chigi wahrscheinlich 1647 Mai 5 ( APW III C 1.1, 346; vgl. auch die Eintragung
von 1647 Mai 6 ebd. , 346f.). Die spätere Aussage Peñarandas (vom Oktober 1647), den
Schriftsatz bereits am 4. Mai 1647 erhalten zu haben ( Tischer , 396 Anm. 286), ist wahr-
scheinlich falsch; Chigi ließ Brun jedoch an diesem Tage den Inhalt der vorausgegangenen
mündlichen Erklärung der frz. Ges. wissen ( APW III C 1.1, 346).
Die Forderung lautet mit Blick auf die geographische Beschränkung des Assistenzrechts:
[…] qu’à l’occasion de la guerre du Portugal le roy très chrestien ne pourra directement ni
indirectement entreprendre sur aucun des Estatz, païs ou places du roy catholique, mais
que s’il arrive que les Portugais se servent des trouppes auxiliaires de France pour entrer
et exécuter quelque entreprise dans le païs dudit seigneur roy catholique, ou qu’en la
conduitte du secours en Portugal il se fasse quelque combat entre les vaisseaux de France
et d’Espagne, l’on est demeuré d’accord que cella ne pourra estre pris pour une contra-
vention au présent traitté de paix; zit. nach der Kopie Ass.Nat. 277 fol. 483.
la paix seure, et pour oster aux Espagnols le moien de brouiller parmy les
Provinces-Unies en changeant et desguisant le sens de nostre proposition.
Comme il parloit auxdictz Sieurs Médiateurs, ils luy dirent qu’ayans faict
sçavoir aux plénipotentiaires d’Espagne la dernière intention de Leurs
Majestés touchant les deux poinctz du Portugal, ils avoient consulté en-
semble et puis ensuitte respondu que puisque les plénipotentiaires de
France disoient avoir des ordres par lesquels ilz ne se pouvoient départir
de l’instance faicte touchant lesdictz deux poincts, eux aussy avoient
ordre de n’en point demeurer d’accord; ce qu’ils estimoient estre fondé
en raison, et s’estre mis en toutte sorte de devoirs pour avoir la paix.
Que les choses estans en ces termes, ils voyoient bien qu’il ne la falloit pas
espérer, et remercièrent lesdictz Sieurs Médiateurs de tous les soings et de
touttes les peines qu’ils avoient prises à ceste occasion.
1 Ass.Nat. 277 fol. 483: Schriftliche Erklärung Longuevilles und d’Avaux’ an die Media-
toren , deren Attestat zum französischen Assistenzrecht für Portugal betreffend (frz.), [den
Mediatoren praes. Münster 1647 Mai 5], Kopie; Eingang laut Dorsal, fol. 483’: 1647 Mai
15. – Weitere Kopien: AE , CP All. 83 fol. 121–121’ (datiert auf 1647 Mai 6; sehr wahr-
scheinlich Anlage zum Duplikat [für Mazarin]); BNF Coll. Dupuy 738 fol. 95’
Diese Kopie (aus einer Zusammenstellung von Auszügen verschiedener Schriftsätze betr.
Portugal) und diejenigen aus IF CG sind jeweils datiert 1647 Mai, s. die; sie stammt,
ebenso wie die erste und die zweite Kopie in IF CG, von der Hand Doulceurs, die dritte
Kopie in IF CG von der eines Kopisten (Kanzlei Godefroys oder, eher, späterer Schreiber,
also vielleicht eine nicht zeitgenössische Kopie).
496 fol. 257–257’; IF CG 496 fol. 259–260’; IF CG 496 fol. 331–331’
IX, 1330–1331.