Acta Pacis Westphalicae II B 5,1 : Die französischen Korrespondenzen, Band 5, 1. Teil: 1646 - 1647 / Guido Braun unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy und Achim Tröster, unter Mithilfe von Antje Oschmann am Register
8. Memorandum Ludwigs XIV. für Longueville, d’Avaux und Servien Paris 1646 November 29
Paris 1646 November 29
Kopien: AE , CP All. 78 fol. 438–443’ = Druckvorlage; Ass.Nat. 272 fol. 577–580. Konzept
AE , CP All. 62 fol. 360–363.
Spanische Absicht, ein Junktim zwischen den Waffenstillständen mit Katalonien und den
Generalstaaten zu verhindern; hiergegen keine französischen Bedenken angesichts der
Wahrscheinlichkeit eines spanisch-niederländischen Friedensschlusses. Vorschlag, einen Kauf
kaiserlicher Erblande durch Karl von Lothringen mit französischen Mitteln zu fördern; Prü-
fung eventuellen Gebietserwerbs für ihn in den Spanischen Niederlanden, mit dem Ziel einer
festeren Bindung Lothringens an die französische Krone. Militaria. Trotz ihrer Bereitschaft
zu jedweden Konzessionen fehlender Glaube Castel-Rodrigos und Peñarandas an die Mög-
lichkeit eines Friedensschlusses mit Frankreich; geplante spanische Propagandaaktionen zur
Enthüllung der französischen Schuld an dessen Ausbleiben; Anweisung Castel-Rodrigos an
Peñaranda zum Friedensschluß zu allen Bedingungen, mit Ausnahme der Inklusion Portu-
gals. Drohung mit Erhöhung der Forderungen an Spanien, auch nach dem Einschluß Portu-
gals in den Friedensvertrag, zur Erzwingung weiterer Konzessionen. Harsche Kritik Conta-
rinis an der seiner Ansicht nach für Spanien nachteiligen niederländischen Interposition. In-
struktionen zur Abfassung einzelner Artikel des Vertrages mit Spanien: mögliche politische
Hintergründe der spanischen Weigerung gegen die Exekution des Vertrages von Cherasco;
daher Anweisung der Gesandten zu höchster Vorsicht bei der Verhandlung dieses Artikels;
Ausschluß des Herzogs von Lothringen und seines Bruders sowie des Herzogs von Bouillon
aus dem Restitutionsartikel, am besten Erstellung eines exklusiven Kataloges aller zu Resti-
tuierenden; wahrscheinlich wunschgemäßes Verhalten des Herzogs von Bouillon aufgrund
der ihm von Frankreich in Aussicht gestellten Vorteile; Unabdingbarkeit der Aufnahme ei-
nes Artikels zu Monaco in den Friedensvertrag; Verweis auf die Instruktionen zu Sabbione-
ta; hierbei mögliches Nachgeben. Militaria.
La dernière dépêche qu’on a reçue desdits Sieurs Plénipotentiaires
mettant au courrier qu’ils devoient renvoyer à deux jours de là, on n’a
point de réponse à leur faire, et ce mémoire ne contiendra que quelques
avis importans qu’on a eu de bon lieu, concernant les affaires générales et
la négotiation de la paix.
Les Espagnols prétendent de mettre de la différence entre la trêve de Ca-
talogne et celle qu’ils arrêteront avec Messieurs les Etats, non seulement
dans la durée, mais dans les paroles mesmes, afin qu’elles n’ayent aucun
raport entr’elles. Il semble que nous n’aurons pas beaucoup à nous en
inquiéter, pourveu que lesdits Sieurs Etats persistent à vouloir la paix plu-
tost que la trêve
Die Gst. faßten am 16. November 1646 gegen die Stimme Seelands den formellen Be-
schluß, einen Frieden statt eines Waffenstillstandes mit Spanien anzustreben; vgl. den Aus-
zug aus ihrem Beschlußregister, [Den Haag] 1646 November 16; frz. Kopien: AE , CP
Holl. 37 fol. 369–371; AE , CP Holl. 39 fol. 196–198’; zur Sache vgl. auch Dickmann,
303 (der allerdings den Beschluß fälschlich auf 1646 November 26 datiert).
brasser indifférenment [!] tous les partis qui feront cesser les hostilités,
cette seule considération de la Catalogne leur feroit donner les mains à la
paix avec la Holande.
L’Empereur sollicite le duc Charles d’acheter partie de ses Etats patrimo-
niaux les plus proches de la Bavière; cela pouroit peut-être donner quel-
que ouverture à ajuster le point de la Lorraine, parce que ledit duc ne
voyant pas jour, même par les offres que nous aurons faites, de rentrer
présentement dans la partie de ses Etats qu’on demeure d’acort de luy
rendre
Die Ges. waren durch das kgl. Memorandum vom 14. Oktober 1646 (Druck: APW II B 4
nr. 198; vgl. auch Tischer, 370–373) ermächtigt worden, die Restituierung des alten sou-
veränen Hgt.s Lothringen im Jahre 1658 vorzuschlagen (ohne daß hierzu der ausdrück-
liche Auftrag erteilt wurde); dessen Festungen sollten jedoch geschleift, eine persönliche Re-
stitution an Hg. Karl IV. ausgeschlossen und das Angebot an weitere Bedingungen ge-
knüpft werden; es wurde erst ein Jahr später (und nur kurzfristig) in die frz.-ksl./span.
Verhandlungen eingebracht ( ebd., 374).
quelque somme d’argent considérable pour cet achapt, afin de transplan-
ter ce prince et sa maison en Allemagne, il semble qu’elle ne sauroit être
employée plus utilement.
On aprent aussy que les Espagnols songent à aliéner partie de leurs Etats
dans les Pays-Bas, et à en céder même la souveraineté, comme du comté
de Namur
Das Hgt. Geldern, an der Maas zwischen Jülich, Kleve, Overijssel, Brabant, Holland und
Utrecht gelegen, war seit dem Abfall der Vereinigten Provinzen von den Span. Ndl.n in
das holländische (die drei sog. Quartiere Nimwegen, Arnheim und Zutphen umfassend)
und das span. Geldern (sog. Oberquartier Roermond), zu dem neben der Stadt Roermond
namentlich auch Venlo zählte, geteilt ( Zedler X, 717ff.).
et comme il n’y a que les nécessités urgentes de la guerre qui obligent nos
parties à avoir ces sortes de pensées, et que sans doute ils les perdront si la
paix vient à se conclurre, parce qu’alors ils n’auront plus tant de besoin
d’argent, il sera bon d’examiner s’il seroit à propos de se prévaloir de la
disposition qu’ils ont présentement à se défaire de ces pièces-là, et de leur
céder en eschange quelque chose en d’autres endroits, afin d’establir le
duc Charles dans les Pays-Bas, ou en Allemagne, et par ce moyen obtenir
son consentement pour affermir d’autant plus l’union de la Lorraine à
cette couronne.
Beschlossener Verbleib des Lothringers in Flandern während des kom-
menden Feldzuges; Einquartierung von Teilen seiner Truppen in Luxem-
burg
Das Hgt. Luxemburg, zwischen dem Kft. Trier, Lothringen, der Champagne und dem Hst.
Lüttich im Ardenner Wald gelegen, gehörte zu den Span. Ndl.n ( Zedler XVIII,
1389–1396), war aber im Verlaufe des frz.-span. Krieges schon großenteils – namentlich
die Stadt Thionville (Diedenhofen) und der befestigte Ort Damvillers – von frz. Truppen
erobert worden ( Bazin II, 429; III, 244; Chéruel, Minorité I, 93ff.).
Darmstadt im Auftrag und mit den Mitteln Spaniens.
On nous assure que Castel-Rodrigo et Pennarenda, quoyque bien résolus
de nous acorder toutes choses, ne croyent point encore la paix, et songent
à faire des manifestes et des déclarations publiques de ce qu’ils ont voulu
nous abandonner pour l’avoir, espérant que la conessance que le monde
en aura poura leur être fort utile, soit pour irriter la plupart des François
contre le gouvernement, soit pour obliger les sujets de la couronne d’Es-
pagne à faire les derniers efforts pour leur deffense. Cependant on aprend
de bon lieu que le marquis de Castel-Rodrigo a écrit positivement à Pen-
narenda, au commencement de ce mois-cy, que s’il peut, il conclue prom-
tement la paix, à quelque prix que ce puisse être, et sans prendre garde à
aucune condition, pourveu que l’on ne le veuille pas forcer à comprendre
le roy de Portugal dans le traité.
Il semble qu’il seroit bon que Messieurs les Plénipotentiaires prissent
ocasion de dire aux députés de Holande, pour le raporter aux ministres
d’Espagne, que nous commençons à faire les préparatifs de la campagne
prochaine, que le subside pour la couronne de Suède est desjà payé , et
que si les Espagnols ne se résolvent promtement à la paix, il en arrivera
infailliblement que quant ils voudront après consentir aux points où ils
trouvent aujourd’huy des difficultés, cela ne suffira pas, et nous ne vou-
drons plus écouter les mêmes propositions; on croit aussy que de leur
donner la crainte que la France pourra entrer dans la prétention de faire
comprendre le Portugal dans le traité, peut produire un merveilleux ef-
fet, et sans doute que cela estant ménagé adroitement comme Messieurs
les Plénipotentiaires sçavent bien faire, ils ne différeront pas davantage à
nous contenter sur toutes choses puisqu’ils ne peuvent plus disputer que
sur les petites, ayant déjà donné les mains à celles qui estoient de plus
grande considération.
On a sceu que Contarini a dit à diverses personnes que la médiation des
députés de Holande coûtera cher aux Espagnols, n’ayant ny jugement, ny
dextérité, ny résolution pour conduire une semblable négotiation; qu’il
faut parler hardiment aux plénipotentiaires de France, et leur tenir teste,
ce que les ministres de Holande n’ont ny la capacité ny le courage d’exé-
cuter, et enfin que ce sera un bel endroit de l’histoire que les plus grands
enemis de l’Espagne ayent esté les entremetteurs de son accomodement
avec les François, et que cette couronne-là ayt esté réduite à telle extré-
mité que de se jetter entre les bras de ses sujets rebelles et hérétiques, et de
mettre en leur disposition ses plus importans intérests, après avoir desjà
fait mille bassesses touchant leur indépendance et leur souveraineté.
Sa Majesté estime que les difficultés que les Espagnols font de s’obliger à
faire exécuter le traité de Querasque, ont quelque fin malitieuse, comme
seroit celle de favoriser la maison de Mantoue, et laisser cette semence de
discorde dans l’Italie puisque s’il n’estoit stipulé rien de plus exprès, si ce
n’est que les deux roys ne prendront point de part aux différends qui sur-
viendront, cela n’empêchera pas que les Espagnols ne puissent assister
sous main le duc de Mantoue, et qu’ils ne songent mesme laissant les af-
faires indécises, à engager le duc de Savoye avec eux, apuyant ses intérests
et ses prétentions contre Mantoue, comme ils ont fait dans le commence-
ment de cette guerre d’Italie. Il est donc important que Messieurs les Plé-
nipotentiaires y ayent l’œil de près, et qu’ils prennent toutes les précau-
tions imaginables, quant on viendra à la discution de cet article.
On est bien assuré que Messieurs les Plénipotentiaires en dressant l’article
de ceux qui doivent rentrer dans les biens et dans les Etats qu’ils ont perdus
pour avoir adhéré à l’un des partis, prendront garde de le coucher en termes
si clairs et si peu sujets à équivoque qu’on ne puisse jamais en aucune façon
les expliquer en faveur du duc Charles ou de son frère
Nikolaus Franz (1609–1670), jüngerer Bruder Hg. Karls IV. von Lothringen; 1625 Fbf.
von Toul, 1626/27 Kardinal (resigniert), 1634, nach der Abdankung seines Bruders, Hg.
von Lothringen und Bar. Nach der Vermählung mit Claudia von Lothringen
(1612–1648), der jüngeren Schwester der Frau seines Bruders und lothringischen Erbtoch-
ter Nicole (s. Anm. 51 zu nr. 23), wurde er mit seiner Gattin von den Franzosen gefan-
gengesetzt; ihm gelang jedoch die Flucht nach Wien ( ABF I 673, 344ff.; Gauchat IV, 20,
349; Hans Schmidt, Karl IV., 233; Herrmann , 237; Poull, 239ff.).
rois
Das Hgt. Bar; es bestand aus einem von Frk. lehensabhängigen Gebiet westlich der Maas
( Barrois mouvant) ( Schmitt) und einem östlich der Maas gelegenen, zum souveränen Be-
sitz der Hg.e von Lothringen gehörenden Teil ( Barrois non mouvant). Frk. hatte im Laufe
der Auseinandersetzungen mit Hg. Karl IV. von Lothringen die Vasallität des gesamten
Hgt.s zu beweisen versucht und es 1633/1634, mit den übrigen Territorien des Hg.s, einge-
zogen ( Babel, 21f.).
de Bouillon
Frédéric-Maurice de La Tour d’Auvergne, duc de Bouillon (1605–1652), Bruder Turennes
und Neffe Pz. Friedrich Heinrichs von Oranien; zunächst im ndl., seit 1635 im frz. Mili-
tärdienst, 1644 Kommandeur der Truppen Papst Urbans VIII.; 1642 wegen Teilnahme an
der Verschwörung Cinq-Mars’ verhaftet, aber, auf Betreiben Mazarins, gegen Verzicht
auf das in seinem Besitz befindliche Sedan zugunsten des Kg.s begnadigt ( Bazin III,
95–108, 173ff.; Bouyer, Gaston, 170–188; vgl. auch die bei DuMont VI.1, 268ff. abge-
druckten Akten und Urkunden); 1647 Rückkehr in Gnaden nach Frk. ( ABF I 135, 390ff.;
1063, 57ff.; II 612, 15–18; DBF VI, 1326f.).
auroit pu faire avec les Espagnols. Néanmoins on a voulu en toucher ce
mot en passant, et il semble que le meilleur et le plus sûr moyen pour cela
seroit de spécifier tous ceux qui devront jouir de cette grâce de rentrer dans
leurs biens, et en exclurre tous ceux qui ne seront pas précisément nommés.
On a parlé du duc de Bouillon; quoyque Sa Majesté s’estant depuis peu
disposée à le remettre en ses bonnes grâces, et luy donner les satisfactions
qu’elle a pu raisonablement acorder en considération des services que
rend monsieur le maréchal de Turenne
Henri de La Tour d’Auvergne (1611–1675), vicomte de Turenne, seit 1643 maréchal de
France und Oberbefehlshaber über die frz. Truppen im Reich ( ABF I 607, 313–334; 1003,
49–166; II 616, 378f.; Bérenger; seine Memoiren wurden – mit diversen zusätzlichen po-
litischen und militärischen Akten – mehrfach ediert, u.a.: Turenne, Mémoires; Marichal;
auch ein Teil seiner privaten Korrespondenz wurde ediert: Turenne, Lettres).
bientost en France, et qu’on trouvera superflue cette précaution, et qu’il
se portera à faire tout ce que Sa Majesté peut désirer pour jouir des avan-
tages qu’elle s’est laissé entendre de vouloir luy acorder .
Il sera nécessaire aussy d’insérer un article dans le traité touchant la place
de Monaco, car encor que le légitime seigneur
Onorato II de’ Grimaldi (1597–1661), 1604 F. von Monaco. Er hatte sich am 25. Februar
1635/12. September 1641 vertraglich unter frz. Protektion gestellt und am 17. November
1641 die unter der Vormundschaftsregierung im Jahre 1605 eingeführte span. Besatzung,
nach einem bereits 1635 ausgearbeiteten Plan, aus Monaco vertrieben. Seit dem 24. No-
vember 1641 lagen in Monaco frz. Truppen, die fürstliche Souveränität wurde jedoch
nicht angetastet; dem F.en wurden des weiteren in Frk. verschiedene Hft.en als Ausgleich
für Besitzungen zugewiesen, die er durch den Frontenwechsel im Kgr. Neapel und im Hgt.
Mailand verloren hatte; er wurde duc und pair de France. Durch den Pyrenäenfrieden
erhielt er seine von Spanien eingezogenen Güter zurück ( Zedler XI, 932f.; Molé, Mé-
moires III, 24ff.; Fagniez II, 215f.; Saige, 199–202, 207–212).
qu’il continue toujours dans la même volonté, et que les Espagnols ne
puissent avec raison prétendre rien là-dessus, il est bon de leur ôter autant
qu’on poura tout prétexte de brouillerie à l’avenir, annulant tous les trai-
tés qui peuvent avoir esté faits par les prédécesseurs du prince de Monaco
ou par luy-même ou par ses tuteurs pendant sa minorité
firmé depuis. Il faudroit mesme essayer de faire rentrer, s’il est possible,
ledit prince de Monaco dans les Etats qu’il a perdus dans le roiaume de
Naples et la duché de Milan.
Lesdits Sieurs Plénipotentiaires se souviendront aussy, dans la conclusion
du traité, de revoir ce qui est porté par leurs instructions touchant la place
de Sabioneta
Sabbioneta, Hgt., Stadt und strategisch bedeutende Festung an der Westgrenze des Hgt.s
Mantua, nach dem frz. Truppenabzug 1637 unter span. Besatzung. Nachdem im selben
Jahre Isabella Gonzaga (seit 1591 Hg.in) verstorben war, wurde mit span. Hilfe deren
Enkelin Anna Hg.in; sie war Gemahlin des span. Granden Ramiro de Guzmán Hg. von
Medina Sidonia de las Torres. Frk. setzte sich dagegen für den nächsten männlichen Er-
ben, Scipio Gonzaga, F. von Bozzolo, ein ( Zedler XXXIII, 130f.; APW I.1, 40 Anm. 3, 41
Anm. 1). Die frz. Hauptinstruktion von 1643 September 30 (Druck: ebd. nr. 5, hier Sek-
tion 20, 112 z. 1–16) schrieb den Ges. die Forderung nach der Restitution Sabbionetas vor,
ging jedoch nicht davon aus, diese durchzusetzen; vielmehr sollte sie als verhandlungstak-
tisches Druckmittel zur Durchsetzung der eigenen Ziele bei Pinerolo und Lothringen die-
nen; die Zusatzinstruktion für Münster von 1642 (Druck: ebd. nr. 11, hier 153 z. 10–18,
154 z. 5f.) erlaubte den Ges. , nicht auf ihr zu bestehen (zur Genese des frz. Standpunktes
vgl. auch die eine Überlassung Sabbionetas an Spanien ausschließende frühe Version der
frz. Hauptinstruktion von Ende Dezember 1636, ebd., unter nr. 3, hier 44 z. 26–37).
d’autant plus qu’on peut en remettre la discution avec les autres points
qui devront être ajustés pendant la trêve qu’on conclura en la forme qui
a été mandée, parce qu’alors au pis on poura s’en relâcher, comme nous
l’aurions pu faire dès cette heure.
Militärische Nachrichten aus Italien und Flandern.