Acta Pacis Westphalicae II B 4 : Die französischen Korrespondenzen, Band 4: 1646 / Clivia Kelch-Rade und Anuschka Tischer unter Benutzung der Vroarbeiten von Kriemhild Goronzy und unter Mithilfe von Michael Rohrschneider
263. Longueville, d’Avaux und Servien an Brienne Münster 1646 November 19

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Longueville, d’Avaux und Servien an Brienne


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Münster 1646 November 19

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Ausfertigung: Ass. Nat. 276 fol. 331–331’ – Druckvorlage; Eingang laut APW II B 5 nr. 10:
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1646 November 28. Duplikat für Mazarin: AE , CP All. 62 fol. 300–300’. Kopien: AE , CP
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All. 67 fol. 335; AE , CP All. 78 fol. 380. Druck: Mém. et Nég. III S. 343–344; Nég. secr.
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III S. 370.

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Anwesenheit der schwedischen Bevollmächtigten in Münster. Unterredungen mit zahlreichen
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Gesandten. Postangelegenheiten.

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Nous avons en ceste ville messieurs Oxenstiern et Salvius

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Oxenstierna hielt sich vom 14. bis 21. November ( APW II C 3 S. XXXV Anm. 5), Salvius
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vom 2. November bis 1. Dezember 1646 in Münster auf (s. [ nr. 230 Anm. 5 ] ).
, et sy nous ne
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voyons pas qu’il y ayt en eux, du moins en monsieur Oxenstiern toutte la
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disposition que nous pourrions bien souhaiter à conclurre promptement les
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affaires, cependant nous ne sommes pas peu empeschés, |:puisque noz alliez
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nous donnent autant ou plus de peine dans l’un et l’autre traicté que noz
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parties mesmes:|. Nous sommes outre cela obligés de donner quantité d’ au-
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diences tant aux catholiques et protestans de l’Empire qu’aux députés des

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princes particuliers qui tous ont recours à la France, comme celle de qui ils
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espèrent principalement la paix. Il est bon de les tenir en ceste opinion, et de
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les escouter, mais cela emporte la meilleure partie de nostre temps, et sera
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cause que vous n’aurés de nous par cet ordinaire que ce mot pour accuser la
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réception des mémoires du 5, 6, et 9 de ce mois

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Nr.n 233, 240 und 247.
avec vos deux lettres du 7 et
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du 9.

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Nr.n 242 und 246.
Nous réservons à y respondre par un des courriers que nous vous ren-
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voyerons dans deux ou trois jours. Peut-estre qu’entre cy et ce temps-là nous
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aurons à vous escrire quelque chose de plus assuré que nous ne pourrions
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faire à présent. Nous vous rendons grâces bien humbles du soing que vous
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prenez de nous informer de touttes choses …

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