Acta Pacis Westphalicae II B 4 : Die französischen Korrespondenzen, Band 4: 1646 / Clivia Kelch-Rade und Anuschka Tischer unter Benutzung der Vroarbeiten von Kriemhild Goronzy und unter Mithilfe von Michael Rohrschneider
16. Lionne an Servien Paris 1646 Juni 15
Paris 1646 Juni 15
Ausfertigung: AE , CP All. 76 fol. 604 = Druckvorlage.
Postangelegenheiten. Unvorsichtigkeit Briennes gegenüber Priandi. Brief des Kurfürsten von
Bayern an Bagno. Schreiben d’Avaux’ an Königin Anna anläßlich des Todes der Kaiserin.
Aus Zeitmangel bestätige ich lediglich den Eingang von nr. 307.
|:J’ay veu ce que monsieur le marquis de Saint Maurice a escript à l’abbé
Mondin
Wahrscheinlich ist ein Schreiben Ludwigs XIV. an Longueville, d’Avaux und Servien vom
25. April bzw. 8. Mai 1646 zugunsten Mantuas gemeint, das auch auf die protokollarische
Behandlung der mantuanischen Ges. eingeht (s. [ nr. 14 Anm. 13 ] ).
toue :|. Son Eminence en est en grande colère et n’en a jamais ouy parler. |:La
lettre a esté obtenue par surprise de la facilité de monsieur de Brienne par
monsieur Priandi
de Son Eminence est:| extraordinairement |:en peine et m’a faict prier de tout
raccommoder sans dire le détail à Son Eminence, se chargeant de r[h]abiller
tout par delà, ce que:| je ne voy pas |:qu’il puisse faire sans chanter la palino-
die un peu honteusement et avouer sa conduicte:|. Je vous prie de ne rien
tesmoigner de tout cecy.
|:Monsieur le duc de Bavière escript une lettre au Nonce
Niccolò Guidi di Bagno (oder Bagni), marchese di Montebello (1584–1663), 1657 Kardinal,
war 1644–1656 Nuntius in Paris ( DHGE VI Sp. 219; Gauchat S. 33, 99, 312; Georg Lutz
S. 31–34). Er korrespondierte regelmäßig mit Maximilian von Bayern und diente dabei oft als
Übermittler zwischen diesem und Mazarin ( Immler S. 5f. und S. 20). Hier ist vermutlich
gemeint: Kf. Maximilian an Bagno, München 1646 Mai 30 (Ausf.: AE , CP Bav. 1 fol.
603–603’).
extrêmement sur les louanges de monsieur d’Avaux, mais sy c’est un office
mandié à son accoustumée, il a perdu sa peine, parce qu’il n’y a que moy qui
l’ay veue et je ne me hasteray pas de le dire.
Monsieur d’Avaux a escript une lettre
ce :|. Je ne sçay si vous y aurez songé |:n’en ayant point veu, la sienne est très
bien faicte:|.