Acta Pacis Westphalicae II B 2 : Die französischen Korrespondenzen, Band 2: 1645 / Franz Bosbach unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy und unter Mithilfe von Rita Bohlen
79. Brienne an d’Avaux und Servien Paris 1645 April 15

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[ 68 ] , [ 69 ] / 79 / [ 91 ]

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Brienne an d’Avaux und Servien


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Paris 1645 April 15

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Ausfertigung: AE , CP All. 54 fol. 165–170’, 164 = Druckvorlage. Kopien: AE , CP All. 46 fol.
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318–324’; AE , CP All 51 fol. 149–151’; AssNat 274 fol. 469, unvollständig. Druck: Nég. secr.
28
II, 2 S. 80; Gärtner IV S. 771–772; jeweils unvollständig.

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Verweis auf die Instruktionen Saint Romains; Begrüßung der Zustimmung der schwedischen
30
und hessischen Vertreter in Münster zur französischen Haltung gegenüber der Antwort der
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Kaiserlichen auf die Proposition Ia; Unklarheiten in der kaiserlichen Auffassung von der
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Admission der Reichsstände; päpstliches Bemühen um die Verbringung des Kurfürsten von
33
Trier an einen neutralen Ort. Weitere Zweifel an der spanischen Friedensbereitschaft; Anreise
34
Peñarandas, Ablehnung seines Audienzgesuches; Verbannung der Madame de Chevreuse. Memo-
35
randum über das Anbringen Vervaux’: Verweis der Angelegenheit nach Münster; Andeutung
36
der bayerischen Absicht auf Einbehaltung der Oberpfalz. Restitution des Herzogs von
37
Württemberg. Lob für die protokollarische Behandlung des Gesandten von Savoyen und

[p. 251] [scan. 299]


1
Zustimmung zu den Überlegungen der Gesandten über protokollarischen Rang der portugiesi-
2
schen Vertreter. Tadel der Maßnahmen Turennes und Courvals. Truppenbewegungen der
3
Gegner. Madame de Cantecroix. Erfolgreiche Verwendung des französischen Gesandten beim
4
Sultan zugunsten der Johanniter. Mission Brégys nach Polen, Projekt einer Heirat des
5
polnischen Königs mit einer französischen Prinzessin, Hoffnung auf Überleitung des schwe-
6
disch -polnischen Waffenstillstandes in einen Frieden. PS: Spanischer Anschlag auf den portugie-
7
sischen Vertreter in Rom. Vergebliches Ersuchen des Hofmeisters Peñarandas um Überreichung
8
eines Geschenkes an die Königin.

9
Auf nr. 68 und nr. 69. Für die laufenden Verhandlungen bringt Saint Romain
10
ausreichende Anweisungen mit.

11
Par luy Sa Majesté s’est déclarée de ce que vous avez à faire pour avancer le
12
traitté de la paix, ce que vous aurez à concerter avec les Suédois, lorsqu’ilz
13
se seront rendus à Munster.

14
Ce sera un contentement à Sa Majesté d’apprendre que le résident de leur
15
reyne et le député de Hesse se soient trouvez dans vostre sentiment car
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bien qu’on ayt de différentes affections on est bien aise de marcher de
17
concert avec eux et faire en sorte qu’ilz aydent à nous moyenner des
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avantages dont nous avons besoing et pour la grandeur de cette couronne et
19
pour affermir la paix si tant est que Dieu permette qu’elle se conclue.

20
J’advoueray ingénuement mon ignorance, je n’ay pas entendu ce que veullent
21
dire les Impériaux quand ilz parlent des diettes tenues en 1636, 1641 et 1645 et
22
je croy que vostre prudence les aura confondus demandant qu’ilz s’expliquent,
23
ilz n’ozeroient mettre au jour une proposition si injuste que les princes de
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l’Empire ne soient pas parties nécessaires au traitté et qu’ilz n’ayent le droict de
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donner leurs suffrages, quand il s’agist de faire la paix ou de la rompre; s’ilz
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avancent cette maxime vous en tirerez de grandz advantages et en cela vous
27
donnerez de nouvelles marques de vostre suffisance. Jusques icy nous avons
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vescu au moins moy en cette pensée, que la permission qui leur est accordée
29
d’assister en personne ou par députez aux assemblées a jugé qu’ilz y sont
30
parties nécessaires au moins utiles qui est le moins à quoy nous nous soyons
31
relaschez, quand nous nous sommes laissez entendre que sans qu’ilz y fussent
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tous, après y avoir esté conviez et obtenu la liberté d’user de leur droict, on
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pourroit donner ouverture et suitte à la négotiation. Je m’abstiendrois de
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parler de l’électeur de Trèves, n’estoit que je suis obligé de vous mander comme
35
il me semble l’avoir desjà fait, que le pape espère qu’il sera mis pendant la durée
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du traitté en un lieu où il aura toutte sorte de liberté |:hors celle d’en sortir:| et
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cela poursuivy à Rome par monsieur de Grémonville fait voir que nous ne nous
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sommes pas départis de la prétendre, ny seulement laissé entendre que sans
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l’avoir obtenue on ne lairroit pas de continuer, |:ce pourroit avoir esté nostre
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sens mais nous l’avons celé:| et comme nous avons déclaré ne prétendre nulles
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grâces du pape et de nous vouloir abstenir d’en demander, nous avons pris un
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acte de voulloir fortement appuyer sur ce qui est juste de quoy vous pouvez
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conclurre que ce sera d’insister pour l’entière liberté dudict archevesque |:et ne
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nous restraindre qu’à toute extrémité qu’il l’ayt ad tempus:|.

[p. 252] [scan. 300]


1
N’estoit que par vostre seconde dépesche du mesme datte vous me faictes
2
sçavoir qu’enfin les Espagnolz ont remis leur pouvoir tel qu’il avoit esté
3
concerté et que les médiateurs se sont laissez entendre de ne prétendre
4
pour la seureté de l’exécution du traitté que ce qui se prattique en ce
5
royaume, je m’estendrois sur ces deux matières, mais elles sont achevées par
6
l’exhibition de la pièce et par l’acquiescement qu’on a donné à voz raisons.
7
Je ne sçay si le procédé des Espagnolz ne desment pas ce qu’on publie
8
|:qu’ilz ne veullent point la paix ou qu’ilz n’en sçauroient consentir qu’une
9
transcripte sur celle de Vervins:| pour avoir avancé un pas qu’ilz ne
10
pouvoient éviter, il ne faut pas conclure que ceux qui le suivront seront tous
11
à bonne fin et si rien me faisoit juger à leur advantage, ce seroit d’estre bien
12
persuadé qu’ilz le sont de ne pouvoir exciter de troubles ny de divisions
13
dans l’Estat, par la preuve qu’ilz ont en main que leur tentative a esté vaine
14
et pour m’estre laissé dire |:que Dom Castel Roderigo n’est pas sans pensée
15
d’aller à Munster et qu’il doubtoit:| que monsieur le duc de Longueville
16
fust pour s’y rendre, dont estant destrompé il pourroit bien prendre ce
17
party, bien que le comte de Pigneranda fust sur les lieux lequel doibt passer
18
par cette ville dans un jour ou deux

40
Zu den Daten der Reise vgl. S. 72 Anm. 10.
sans demander d’estre admis à
19
l’audience de Sa Majesté. Il s’est laissé entendre soubz prétexte de luy
20
remettre des reliques, mais cet artiffice ne réussira pas mieux que les
21
premiers dont on s’estoit servy pour donner de la jalousie à noz alliez. Celle
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qu’on a prise de la conduicte de la duchesse de Chevreuze a fait résoudre de
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l’envoyer à Angoulesme, où estant en pleine liberté, sera néantmoins
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observée et se trouveroit privée de celle de sortir de la ville, mesme de
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coucher hors le chasteau. Si c’estoit sur les belles espérances qu’elle donnoit
26
aux Espagnolz de susciter des nouveautez en France qu’ilz s’y sont
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attendus, ilz en seront destrompez et ilz apprendront que quand une Reyne
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veille soigneusement sur ce qui se passe, et qu’elle a un conseil désintéressé
29
et sage qu’il est malaisé de faire un mouvement puisque la pensée de
30
l’entreprendre est chastiée, avant que d’avoir produict aucun mauvais
31
effect.

32
Il feust donné à monsieur de Saint Romain |:un mémoire succinct de ce
33
qu’avoit proposé le confesseur du duc de Bavières

41
Das den Gesandten überschickte Stück wurde nicht ermittelt; vermutlich handelt es sich um
42
eine Zusammenfassung mit dem Titel: Proposition donnée par le père Vervaux jésuite,
43
ministre de monsieur de Bavière (Kopien: AE , CP Bav. 1 fol. 442–442’ und 463–464).
. Il a esté congédié et on
34
luy a dict que le duc faisant faire pareilles ouvertures à Munster vous
35
Messieurs en ayant donné cognoissance aux Suédois, qu’on ne les treuve
36
pas sy esloignez de raison que l’on ne puisse chercher les moyens de les
37
adjuster et sans doubte ses ministres avoient ordre de différer à vous parler
38
qu’il n’eust faict sa tentative de deçà ou pris langue où ses intérestz auront à
39
estre démeslez. J’ay peine à m’empescher de rire quand ses ministres vous

[p. 253] [scan. 301]


1
disent que le Bas-Palatinat se peult restituer. Ilz s’oublient qu’il est en
2
nostre main. Mais quand ilz diront que le Hault leur est engagé, c’est
3
discourir qu’ilz sont résoluz de la garder et l’avoir en propriété si on ne leur
4
rend les sommes qu’ilz ont avancées ou partie de l’Austriche à quoy ilz
5
croyent qu’il sera très malaisé de disposer l’Empereur. Ce bon confesseur
6
jésuite d’[h]abit et très habile estoit parti avant que les troupes de
7
l’Empereur eussent esté deffaictes par celles de Suède selon qu’il nous
8
asseure et cela donne quelque bonne impression de la sincérité du procédé
9
de cette Altesse auquel Sa Majesté a respondu en des termes si obligeans et
10
si mesurez que s’il oze en monstrer la lettre le public y remarquera que Sa
11
Majesté ne s’enfle pas des prospéritez que Dieu luy donne ny qu’elle ne se
12
laisse:| jamais engager à rien faire qui puisse donner nul soubçon à ses
13
alliez.

14
Je ne sçay si je doibz vous dire que le duc de Virtemberg m’a fait sçavoir
15
|:que le comte de Nassau luy avoit offert une neutralité et réstitution de ses
16
Estatz

37
Leopold Friedrich (1624–1662), Hg. von Württemberg-Mömpelgard; bis 1648 führte Hg.
38
Eberhard von Württemberg für ihn die Regierung. Bei den Restitutionen ging es um die zwei
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von Spanien besetzten burgundischen Lehen Clerval und Passavant ( Stein , Forstner S. 78f.).
:|. Vous le cognoissez et il me fait la faveur de me visiter souvent et
17
c’est ce qui m’empesche d’y donner une entière créance, d’autant moins que
18
vous Messieurs n’en avez rien pénétré, qui serez louez de tous les bons
19
traittemens que vous avez essayé de mesnager à l’ambassadeur de Savoye. Il
20
seroit à désirer que les Impériaux et Espagnolz voulussent suivre l’exemple
21
que vous leur en avez donné, que le nonce, l’évesque d’Osnabrug et le
22
député de Bavières ont suivy, en tout cas sa maistresse sera obligée de la
23
France et justement offensée des autres si on luy refuse ce que l’on a
24
consenty à d’autres princes.

25
Je suis si persuadé de voz raisons |:en ce qui concerne les Portuguais que
26
pour les avoir deffendues leur ambassadeur en est:| resté mal satisfait, sur
27
elles on est allé retenu en la matière et on vous a encores escrit par le sieur
28
de Saint Romain, et moy j’ay fait une rude recharge à monsieur de
29
Thurenne, qui me trouve bien empesché comment excuser envers le
30
chapitre de Mayence touttes les extravagances qui ont esté commises par le
31
vicomte de Courval. On veut entrer en cognoissance de cause et si on le
32
trouve coupable on sera pour le chastier, ce que je dis de luy doibt estre
33
entendu aussy des autres gouverneurs.

34
Herzog Karl von Lothringen und Lamboy vereinen ihre Truppen, angeblich um
35
La Mothe zu entsetzen

40
Die lothringische Festung La Mothe-en-Argonne wurde seit Beginn des Jahres 1645 von
41
französischen Truppen unter dem Feldmarschall Pierre de Magalotti (gest. 1645) belagert
42
( Derichsweiler S. 257 ) .
. – Madame de Cantecroix hat einen Paß für ihre Reise
36
nach Besançon durch Frankreich erhalten. Sie dadurch von Herzog Karl zu

[p. 254] [scan. 302]


1
trennen, ist ganz im Sinne der von Ludwig XIII. für die Herzogin Nicole
2
erklärten Protektion

30
Béatrix de Cusance (1614–1663), princesse de Cantecroix; Karl von Lothringen hatte sie 1637
31
geheiratet, nachdem er seine Ehe mit seiner Cousine und rechtmäßigen Gattin Nicole
32
(1608–1657) hatte auflösen lassen, doch wurde diese Auflösung von einer Kurienkommission
33
im Dezember 1645 für ungültig erklärt ( DBF VII Sp. 1048–1050; Derichsweiler S. 196).
.

3
J’apprendz aussy par des lettres de monsieur de La Haye que le Grand
4
Seigneur a bien receu ce qu’il luy a fait remonstrer en faveur de ceux de
5
Malte, et que l’impossibilité qu’il y a de les attaquer leur pourra bien sauver
6
le siège, qu’on nous reproche après cela l’alliance que nous conservons avec
7
la maison Ottomane, qui nous a aussy facilité de guarentir les saintz lieux
8
de leur entière destruction.

9
|:Enfin monsieur de Brégi est dépesché, il partira l’une des festes pour son
10
voyage de Poulongne où sy Dieu permet qu’il y advance et conclue le
11
mariage du roy avec une princesse de France, ce nous sera encores un
12
moyen d’estre utiles aux Suédois à quoy nous avons une entière disposi-
13
tion :| et nous ne sommes pas hors d’espérance |:de convertir la trefve
14
d’entre les couronnes de Pologne et Suède en une bonne et asseurée paix:|.
15
Je vous envoyeray le double de son instruction puisqu’il semble résolu qu’il
16
ne passera pas par Munster ce qui luy alongeroit de beaucoup son
17
voyage:|.

18
PS: Depuis cette lettre achevée est arrivé un courrier dépesché exprez de
19
Rome party il y a unze jours. Je n’ay pas encores leu la dépesche pour ce
20
qu’on travaille à la deschiffrer |:ce que j’en puis pénétrer est que les
21
Espagnolz ont voulu assassiner le ministre du roy de Portugal

34
Anfang April 1645 wurde Monteiro in seiner Kutsche von 20 bewaffneten Spaniern
35
angegriffen, sein Hofmeister kam dabei ums Leben; in den Vorfall war auch der spanische
36
Gesandte Sirvela verwickelt ( Pastor XIV, 1 S. 59f).
:|. Je vous
22
manderay le destail au prochain ordinaire.

23
Le comte de Pigneranda couche cette nuict au Bourg-la-Reyne, passera
24
demain à huict heures à travers la ville sans s’arrester, va disner au Bourget
25
et coucher à Louvre. Son maistre d’hostel

37
Juan de Villena (vgl. Peñaranda an Brun, Brüssel 1645 Mai 21, Archives Générales du
38
Royaume, Bruxelles, Rec. 119 fol. 10).
s’est trouvé chargé d’un présent
26
de reliques pour la Reyne de la part du grand escuier

39
Angaben zur Person nicht ermittelt.
de la feue reyne
27
d’Espagne

40
Kgin. Elisabeth.
, mais la Reyne n’a voulu voir ny parler audict maistre d’hostel et
28
luy a seulement permis de remettre son présent à monsieur le nonce ou à
29
madame de Carignan.

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