Acta Pacis Westphlicae II B 1 : Die französischen Korrespondenzen, Band 1: 1644 / Ursula Irsigler unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy
277. Servien an Lionne [Münster 1644 Oktober 22]

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–/ 277 / [ 287 ]

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Servien an Lionne


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[Münster 1644 Oktober 22]

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Am Kopf datiert auf 15. Oktober; durch den Bezug auf [ nr. 271 ] im Text auf den 22. Oktober.

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Konzept: AE , CP All. 31 fol. 74–74’ = Druckvorlage.

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Nr. 271. Brasset. Gesandtschaft in Rom. Replik d’Avaux’ auf nr. 198. Genesung Mazarins.
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Krankheit Serviens.

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Je ne sçay sy ce que nous escrivismes à Son Eminence sur le subjet du Duc
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Charles par le dernier ordinaire aura esté selon son intention

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Vgl. dazu [ nr. 255. ]
. Je sçay bien

[p. 580] [scan. 670]


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que peult estre il eust esté plus à propos d’en adresser le discours à Monsieur
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de Brienne, mais j’ay appréhendé sy j’en faisois la proposition, que Monsieur
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d’Avaux ne soupçonnast que j’en avois receu quelque ordre secret. Il n’y a
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rien que j’aye évité sy soigneusement en tout temps que de luy faire cognoistre
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que nous eussions quelque intelligence vous et moy qui pust aller à son
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exclusion jusques à Son Eminence. Je ne vous remercie pas des raisons pour
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lesquelles vous m’avez marqué que Son Eminence avoit désiré que nous
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fissions ce discours, c’est assez que je sçache ce qu’elle veult pour le faire
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aveuglement sans en sçavoir les mouvemens.

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Je me doubtois bien que Monsieur Brasset ne seroit pas bien aise de quitter
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la Hollande

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Zu diesem und dem folgenden Abschnitt vgl. [ nr. 261. ]
. Je vous asseure qu’on faict son bien de le retirer de là pour
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quelque chose de meilleur, parce qu’enfin quelqu’un qui ne seroit pas son
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amy au point que je le suis interprèteroit mal les grandes habitudes qu’il y
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a, sans lesquelles il devroit estre ravy d’avoir l’employ qu’on luy procure.

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Vous m’avez extrêmement obligé d’empescher la proposition de l’ Ambas-
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sade de Rome et avez très bien rencontré mes sentimens. Ce n’est pas que
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je n’aye souvent regretté de n’y estre pas allé et que je ne voulusse de bon
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cœur m’y estre treuvé d’abord et y estre encor. Le pauvre Monsieur de Saint
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Chamond ne recevroit peult estre pas le desplaisir qu’on sera contrainct de
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luy faire, et je suis très asseuré que je n’eusse pas faict la faulte dont on
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l’accuse au moins s’il a manqué de suivre ses ordres, car j’exécuteray tous-
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jours punctuellement et sans condition tous ceux qui me seront donnéz
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quand ce seroit au péril de ma vie.

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Monsieur d’Avaux ne m’a point faict veoir la dernière réplicque qu’il a faict
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à ma lettre

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Vgl. die Beilage zu [ nr. 236. ]
, c’est pourquoy je vous conjure de me l’envoyer.

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Freude über die Genesung Mazarins. Wegen Krankheit keine eigenen Schreiben an
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Mazarin und Brienne.

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