Acta Pacis Westphalicae II B 2 : Die französischen Korrespondenzen, Band 2: 1645 / Franz Bosbach unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy und unter Mithilfe von Rita Bohlen
259. Longueville an Mazarin Münster 1645 November 11

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Longueville an Mazarin


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Münster 1645 November 11

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Ausfertigung: AE , CP All. 45 fol. 134–136 = Druckvorlage. Kopie: AE , CP All. 53 fol.
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209–213.

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Empfangsbestätigung. Offensichtliches Drängen des Kurfürsten von Bayern auf den allgemeinen
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Friedensschluß im Interesse der Sicherung des Ranges seines Hauses, keine Aussichten auf ein
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baldiges Separatabkommen mit ihm; Erwartung seiner Anstrengungen zur Disponierung des
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Kaisers zum Frieden; gegenüber den Gesandten des Kurfürsten Betonung der Abhängigkeit der
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französischen Hilfe für die bayerischen Belange von der Haltung Bayerns zu den französischen
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Forderungen; Bereitschaft des Kurfürsten zu einem Frieden des Reiches ohne Spanien,
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Erwartung spanischer Bemühungen um einen gleichzeitigen Abschluß. Klage bei den schwedi-

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schen Gesandten wegen des Verhaltens ihrer Armee. Gerüchte über die Entmachtung Trautt-
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mansdorffs als Grund für seine Entsendung nach Münster. Widerstand der Reichsstände gegen
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die Satisfaktionsforderung der Kronen. Ablehnung des spanischen Vorschlages einer Waffenru-
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he ; fehlerhaftes Verhalten Condés. Türkenkrieg, Steigerung des Einsatzes der Mediatoren für
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das Zustandekommen des Friedens, französische Militärhilfe für Venedig.

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J’ay receu la lettre que vous m’avez fait l’honneur de m’escrire de 28 e du
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mois passé et la coppie des lettres de monsieur le duc de Bavières à
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monsieur le nonce Bagni. Vous verrez Monsieur par nostre despesche
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commune que nous sommes tous dans l’oppinion que |:monsieur de
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Bavière apporte tous ses soings et ses offices pour la paix et que c’est luy qui
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a:| fait résoudre l’envoy de Trautmensdorff. Cela est d’autant plus aisé à
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croire que |:tous ses intérestz l’y portent ne pouvant affermir:| l’ establisse-
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ment qu’il a donné à |:sa maison si durant sa vie il ne s’en void asseuré par
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un traicté de paix:|. Pour ce qui est du traicté |:particulier qu’il avoit
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proposé avec la France:| il n’y a rien à adjouter à ce qu’il vous plaist de
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m’escrire, que vous trouvez |:qu’il s’excuse quasi:| de tout ce qui peut servir
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de fondement à |:cette négotiation:|, ainsi il n’est point besoing de parler
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|:sur les conditions qu’il a proposées puisqu’elles s’esloignent si fort:|
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jusques à ceste heure de tout |:accommodement:| et qu’il y a grande
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apparence qu’il |:n’en fera point de raisonnable que l’armée du Roy l’y
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pourra forcer:|. Ce qui nous reste donc à pouvoir |:espérer de luy c’est de
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servir à nostre satisfaction et qu’il:| demeure ferme à ce qu’il vous plaist me
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mander, qu’il tesmoigne n’estre pas seulement |:résolu à la paix mais qu’il
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se fait fort d’y faire consentir l’Empereur aux conditions qui nous seront les
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plus advantageuses, à quoy rien ne peut le faire travailler avec tant de soing
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que le désir d’estre appuyé dans l’électorat et la crainte de ne s’y pouvoir
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maintenir s’il ne s’y rend la France:| entièrement favorable. Nous nous en
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servirons |:vers ses ambassadeurs:| le plus avantageusement qu’il nous sera
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possible et ne manquerons pas de leur faire connoistre que ce que |:la
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France a contribué pour le faire électeur, ce qu’elle l’a reconnu pour tel et la
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bonne disposition:| qu’elle a eu jusques icy pour |:luy conserver cette
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dignité:| sont des obligations estroites |:au duc de Bavière qui le lient à
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servir aux intérestz de la France:| pour en tesmoigner son ressentiment,
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mais qui |:n’engagent en façon:| du monde leurs Majestez à l’y assister si
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son procéder et les effectz qu’il rendra ne:| sont aussi puissans pour |:les y
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porter:|, que les estroits attachemens qu’il a pris avec |:nos ennemis ne sont
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pour les en divertir:| et si mesme pour |:disposer les sentimens des alliez
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qui y sont:| directement |:contraires, il ne fait:|seulement pour |:nostre
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satisfaction mais pour la leur, ce qui nous peut donner moyen de les y
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rendre favorables et qui leur puisse:| faire clairement voir que nous avons
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|:juste sujet d’appuyer ses intérestz:|.

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Nous voyons toutes sortes d’apparances |:que monsieur de Bavière songe:|
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seulement |:aux intérestz de l’Empire:| sans se soucier de |:ceux du roy
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d’Espagne:| ayant tousjours fort franchement parlé pour cest esgard et il y a

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grand sujet de croire veu l’estat des affaires que |:les Espagnolz ne voudront
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point laisser faire la paix dans l’Empire sans conclure aussi la leur:|.

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Nous ne manquerons point de parler |:aux ambassadeurs de Suède et de
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leur faire considérer combien leurs manquemens font de préjudice à la
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cause commune affin qu’à l’avenir ilz tiennent une autre conduicte:|. Car
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pour le présent |:ilz ne sçauroient plus guères faire de choses qui puissent
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servir à l’armée du Roy:|.

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On nous a dit que Trautmensdorff |:n’est plus si bien:| et quelques-uns
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croient que |:son voyage est plustost un esloignement qu’une manque de
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son pouvoir:|. Je me serviray de ce qu’il vous plaist me mander pour
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|:mesnager son esprit:| ainsi que vous me l’ordonnez, à quoy il y aura bien
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plus grande facilité si |:il se void sur le penchant et qu’il croyt que
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l’Impératrice y ayt contribué:|.

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Ce nous est quelque |:désadvantage dans ce que nous avons à traicter:|
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qu’hors ceux qui ont |:à craindre la grandeur d’Austriche tout le reste est
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contre nous:| parce que |:en demandant la paix pour l’Empire nous
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demandons pour la France et pour la Suède de grands Estatz:|. Ceux |:pour
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la Suède font peur aux catholiques et ceux pour la France aux protestans et
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font appréhender que tant de couronnes ayans intérest dans l’Empire:| il ne
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puisse jamais jouir d’un repos asseuré. Nous |:combattons cela:| par tous les
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moyens qu’il nous est possibles [!], dont le plus fort est de |:leur dire que la
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certitude de la continuation:| de la guerre qui sera sans doute si |:les
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couronnes ne sont satisfaictes, est un mal présent et asseuré:| au lieu que
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l’autre est |:doubteux et que ce balancement de puissances sera cause que
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toutes seront intéressées à y maintenir la tranquilité et à empescher que pas
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une ne prenne plus d’agrandissement:|.

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Rien ne pouvoit |:si fort destruire:| la proposition du roy d’Espagne pour la
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suspension que de la |:faire voir:| estant en des termes si desraisonnables et
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si offensans qu’on ne peut assez s’estonner qu’il les y ayt osé mettre dans la
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décadence où sont ses affaires. J’ay grand regret que |:Monsieur le Prince ne
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se puisse empescher de s’ouvrir de ses sentimens avec l’ambassadeur de
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Venise:| ce qui |:nuit:| encor davantage que si |:il le disoit aux Espagnolz
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mesme:|. Si vous jugez ou par nos despesches communes ou par quelqu’ au-
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tre voye qu’on y puisse apporter quelque remède je suyvray exactement ce
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que vous me ferez l’honneur de me commander.

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Je vous puis asseurer que la consternation est grande |:chez les médiateurs
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depuis qu’ilz ont appris que l’armée navale s’estoit séparée sans combat-
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tre

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Vgl. nr. 252.
:| et ilz advouent |:chez l’ambassadeur de Venise:| que les affaires sont
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en pire estat qu’auparavant |:puisque leurs galères qui sont au port de la
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Suda

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Hafenkastell an der Nordküste Kretas östlich von Kanea.
:| courent fortune de se perdre avec ledit port devant que les autres

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forces de la chrestienté

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Aus Mitteln des Papstes, Maltas, Neapels und der Toskana war ein Hilfsgeschwader für die
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venezianische Flotte aufgebaut worden ( Eickhoff S. 41).
soient en estat de les aller desgager. Cela fera
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travailler lesdits mediateurs de meilleur pied qu’ilz n’ont faict jusques icy à
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la paix |:voyant le mal qui sans cela est inévitable à l’Italie:|. L’assistance
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que la république de Venize reçoit de la France nonobstant la guerre où elle
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est engagée, est tout autrement considérable que celle dont l’Espagne a fait
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tant de bruit, rien ne leur pouvoit estre plus utile que l’effect qu’ilz ont
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receu de |:vostre générosité dans le besoing qu’ilz ont d’argent et de la
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rigueur que chacun leur tient pour leur en prester:| …

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