Acta Pacis Westphalicae II B 6 : Die französischen Korrespondenzen, Band 6: 1647 / Michael Rohrschneider unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy und unter MIthilfe von Rita Bohlen
221. Lionne an Servien Paris 1647 Oktober 26

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Lionne an Servien


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Paris 1647 Oktober 26

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Ausfertigung, nicht unterfertigt: AE , CP All. 102 fol. 394–395’ = Druckvorlage.

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Aufforderung, Bedenken zukünftig nicht in Separatschreiben, sondern in den gemeinsamen
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Schreiben der Gesandten zu äußern.

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Zu den Problemen der französisch-spanischen Verhandlungen über italienische Angelegen-
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heiten : 1) Papst und Republik Venedig als Garanten, zumindest hinsichtlich der Regelung
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für Casale: keine Möglichkeit, vom französischen Hof aus in dieser Frage etwas zu bewirken;
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2) Graubünden: Zustimmung zur Meinung Serviens; 3) zur Exekution des Vertrags von

[p. 644] [scan. 756]


1
Cherasco: Bestätigung des Vertrags durch das Haus Österreich ausreichend; 4) Cavour:
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Schleifung und Verpflichtung Savoyens, den Platz zukünftig nicht zu befestigen; Perosa:
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eventuell Nachgeben; 5) italienische Liga: Zustimmung zu den Vorschlägen Serviens; 6) für
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einige Zeit Einbehalten der italienischen Plätze nach dem Friedensschluß; 7) bei einem Se-
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paratvertrag mit Mantua über Casale Versprechen der Spanier, nichts zum Erwerb des Plat-
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zes unternehmen zu wollen.

7
Nerli. Korrespondenz mit Turenne. Gassion. Intrigen d’Avaux’. Grafschaft Charolais.

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Son Eminence auroit bien voulu que |:les doubtes que vous proposez par
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un de voz mémoires du 15

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Gemeint ist nr. 208.
eussent esté insérez dans la dépesche commu-
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ne :| parce qu’elle se trouve empeschée comme quoy |:en faire sçavoir les
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intentions du Roy à messieurs vos collègues:|. C’est pourquoy à l’advenir
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en pareil cas |:la considération de monsieur d’Avaux ne doibt pas vous
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retenir de les proposer dans la dépesche commune:|.

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Elle ne m’a dict qu’un mot sur chaque difficulté que vous représentés, qui
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sera pourtant assez pour vous informer des sentimens de deçà.

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Sur la 1 ère qui est d’obliger le Pape et la République d’envoyer pouvoir à
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leurs ministres de les rendre garendz de ce qui sera arresté, au moins pour
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Casal, qu’on ne peut rien y faire d’icy, que vous devés en parler à mon-
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sieur Contarini, en escrire à messieurs de Fontenay et de Grémonville

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Nicolas Bretel, sieur de Grémonville (1606/1608–1648), 1645–1647 Sommer ao. frz. Bot-
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schafter in Venedig, zuvor 1637 maître des requêtes, président am Parlement von Rouen
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und 1645 ao. Ges. in Rom (ABF I 477, 151–157; II 99, 159; DBF VII, 234; Granges de
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Surgères II, 592; Coville , 49).
, et
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enfin faire toutes ces diligences de delà |:qui ne réussissans pas ne doivent
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empescher ny retarder la conclusion de la paix:|. On ne croid pas que la
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République veuille s’exempter de s’obliger à rompre, puisqu’elle le feroit
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effectivement quand elle n’y seroit pas obligée si on contrevenoit à ce qui
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sera accordé pour cette place.

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Sur la 2 e des |:Grisons:| Son Eminence a approuvé toutes vos raisons et est
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entièrement de vostre sentiment.

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Sur la 3 e qui est touchant |:le traicté de Querasque:| Son Eminence croid
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comme vous qu’on |:n’a pas droict de forcer les Mantouans d’accepter un
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traicté qu’ilz croyent leur estre dés:|avantageux |:et qu’on se pourra con-
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tenter de le faire confirmer et exécuter par:| la maison d’Austriche, |: con-
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signant les sommes qu’on doibt fournir à l’acquict de la maison de
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Savoye, et s’engageant de la maintenir par les armes sy elle est troublée
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dans sa possession:| qui est une chose que vous aviés obmise, et que Son
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Eminence a adjoustée, comme aussi qu’il faudroit dès à présent adjuster
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|:quelle sera la somme tant pour le principal que pour les intérestz
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escheuz:| s’il est jugé à propos |:pour la descharge du Roy d’en payer:|
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quoyque comme l’on manda dernièrement

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Vgl. nr. 158.
|:on prétende n’en point de-
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voir ayant souvent offert le payement du principal et ayant esté

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38 refusés] laut chiffriertem Text; im Klartext falsch dechiffriert: refusées
refusés:|.

[p. 645] [scan. 757]


1
Sur la 4 e qui est |:le deffault de pouvoir de l’ambassadeur de Savoye pour
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traicter avec nous sur quelques affaires:| Son Eminence m’ordonne de
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vous mander que |:pour Cahours on le rendra, mais on prétend de le raser
4
et que la maison de Savoye s’oblige de ne pouvoir plus le fortiffier à l’ ave-
5
nir . Ils demeurent desjà d’accord du rasement, mais non pas de l’ obliga-
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tion de ne plus fortiffier:|. On essayera d’accomoder l’affaire icy.

7
Pour |:La Pérouse, comme c’est une eschange qu’on veult faire amiable-
8
ment :|, s’ilz n’y veulent pas entendre, |:on pourra s’en relascher. Il fault:|
9
seulement |:essayer d’obtenir la descharge expresse de la guerre de Gen-
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nes . On ne peult pas faire la paix généralle et recommencer à l’instant une
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nouvelle guerre. On n’avoit pas promis de leur faire conquérir Gennes,
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mais de leur donner une assistance:|. Enfin vous sçavés mieux toutes les
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raisons que nous pouvons alléguer que je ne sçaurois vous les dire.

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Sur la 5 e qui est |:la ligue d’Italie on pourra s’en relascher sy l’obligation
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de rompre ne peult estre généralle:|. On a cependant approuvé les deux
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adoucissemens que vous avés mis dans l’article.

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Sur la 6 e Son Eminence croid que nous avons plus d’advantage de |:retenir
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les places d’Italie quelques temps après la paix:| pour les raisons que vous
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marquez.

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Sur la 7 e qui regarde |:Casal:| il se pourroit faire que les Espagnolz voulus-
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sent |:s’exempter de se mesler de ce poinct pour estre plus libres à prendre
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leurs résolutions:|. C’est pourquoy quand nous trouverions nostre compte
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à |:traicter avec la maison de Mantoue, il fault tousjours que les Espagnolz
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promettent expressément de ne faire aucune entreprise sur cette place et
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de ne pouvoir traicter pour l’acquérir ny le Montferrat:|.

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Vous remarquerés dans le mémoire du Roy

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Nr. 219.
que j’y ay coulé ce qu’il fal-
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loit pour |:le bon amy de monsieur d’Avaux, le comte Nerli:|.

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Son Eminence vous prie de prendre soing particulier d’escrire à monsieur
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de Turenne ce qu’il faudra ensuite du mémoire du Roy, appréhendant que
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|:les traictemens d’Altesse entre monsieur de Longueville et luy:| n’y puis-
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sent apporter du rétardement. Son Eminence mande présentement audict
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sieur mareschal de |:croire et déférer à vos lettres comme il pourroit faire
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aux siennes propres:|.

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Infolge fehlender Informationen haben Sie Gassion falsch eingeschätzt;
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sehr negative Beurteilung des verstorbenen Generals.

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Son Eminence a bien considéré tout ce que vous luy mandés de |: mon-
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sieur d’Avaux:|. Il s’est mocqué du |:beau project de se retirer pour luy
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nuire:| et a traicté la chose de ridicule, comme elle l’est en effect. Il est
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vray que |:s’il prenoit son temps de l’exécuter avant la paix faicte et qu’il
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dist que c’est parce que l’on ne veult pas la paix:| ou quelque chose sem-
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blable , cela pourroit causer quelque préjudice, |:mais on ne le croid pas
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assez fol:| parce que |:la malice seroit criminelle et qu’il cognoist bien

[p. 646] [scan. 758]


1
qu’on ne la laisseroit pas impunie:|. Son Eminence vous prie d’examiner
2
|:despouillé de toute passion et ne regardant qu’à son intérest quelle réso-
3
lution on pourroit prendre sur luy:| et de faire réflexion que |:sy on attend
4
que la paix soit faicte, il y aura après plus de peine à la prendre ny à en
5
treuver d’occasion plausible:|.

6
Vous devés tenir l’affaire de [!] |:du comté de Charollois:| asseurée pour
7
vous, Son Eminence juge seulement à propos d’en surseoir la déclaration
8
jusqu’après la paix. Auch ist gegenwärtig Rücksichtnahme auf d’Arpajon

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Gemeint ist Louis vicomte (1650 duc und pair de France) d’Arpajon (vor 1601–1679), mar-
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quis de Séverac, frz. Militär und Diplomat; seit 1633 chevalier des ordres du Roi, 1637
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lieutenant général des armées du Roi, 1648–1649 frz. Botschafter in Polen (ABF I 29,
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438–446; DBF III, 1056–1060; Repertorium , 230; Levantal , 413ff). – Mögliche Ansprü-
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che d’Arpajons auf die Gft. Charolais waren bereits zuvor in der Korrespondenz zwischen
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Servien und Lionne angesprochen worden; vgl. Servien an Lionne, Den Haag 1647 Januar
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21 (Text: APW II B 5/1 nr. 78, hier 391 Z. 12ff mit Anm. 10).

9
erforderlich.

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[ 204 ] / 222 /–

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Mazarin an d’Avaux


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Paris 1647 Oktober 27

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Ausfertigung: AE , CP All. 79 fol. 275 = Druckvorlage. Konzept: AE , CP All. 86 fol. 23.
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Kopie: AE , CP All. 102 fol. 396–396’. Regest: Mazarin , Lettres II, 966.

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Freude über die Haltung Salvius’ hinsichtlich einer Deklaration über den Friedenswillen der
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Kronen. Verweis auf den Bericht Préfontaines und auf nr. 219.

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J’ay receu vostre dernière letre et ay esté bien aise d’aprendre que les sen-
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timens de monsieur Salvius se soient trouvez conformes à ce qui avoit esté
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mandé d’icy à vous autres Messieurs de l’avantage que nous pourrions
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tirer de faire toucher au doigt à un chacun le désir que les couronnes al-
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liées ont de la paix, comme il se peut facilement en mettant au jour quel-
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que escrit qui destrompe le monde des impressions que nos parties ont eu
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l’adresse de donner à la pluspart des princes de l’Empire qu’elles ne son-
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gent qu’à la continuation de la guerre et à pousser leurs progrez. Cepen-
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dant ayant entretenu au long le sieur de Préfontaine sur toutes choses je
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croy ne pouvoir mieux faire que de me remetre à sa vive voix et au mé-
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moire du Roy

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Nr. 219.
qui est desjà très ample.

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