Acta Pacis Westphlicae II B 1 : Die französischen Korrespondenzen, Band 1: 1644 / Ursula Irsigler unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy
246. Brienne an d’Avaux Fontainebleau 1644 September 17
Fontainebleau 1644 September 17
Ausfertigung: AE , CP All. 28 fol. 112–112’ = Druckvorlage. Kopie: AE , CP All. 33
fol. 365, datiert auf 16. September.
Nr. 235 und Ihr Memorandum gegen Servien. Ernennung eines Gesandtschaftssekretärs. Kurier aus
Rom.
Ich habe nr. 235 und Ihr Memorandum gegen nr. 198 heute erhalten
Nach dem Dorsalvermerk von [ nr. 235 ] erhielt Brienne die Schreiben am 16. September. Da auch die
Kopie von nr. 246 in den Akten Briennes auf 16. September datiert ist, wurde der Brief wohl bereits
am 16. geschrieben und am 17. abgesandt. – Das Memorandum gegen Servien ist als Beilage zu
nr. 236 erhalten.
dazu erst Ende nächster Woche zu erwarten. Le mien [i. e. jugement] me per-
suade qu’on ne le lira pas, l’exemple de la lettre
[ Nr. 205 ] war ebenfalls nicht im Rat verlesen worden.
que l’on adjoustera qu’il n’eschet plus de sçavoir qui est en tort ou en droict
puisque vous estez réconciliéz. Mais je presseray Son Eminence de l’escouter.
Il est juste qu’il s’en donne la peine ayant pris celle de lire la lettre. En la
vostre j’ay remarqué que vous n’estes pas encores convenu d’un secrétaire,
que vous voudriez bien que la plume fust donnée à Monsieur de Saint
Romain qui s’en acquitteroit dignement et à son exclusion au Sieur de
Préfontaine. Je doubte que l’un et l’autre des partis contentent Monsieur
Servien, de l’un je l’avance avec certitude, pour l’autre il me reste quelque
légère espérance qu’il soit pour s’y accommoder. Mais de cela comme du
demeurant il me faut du tempz pour m’en esclaircir, et certes il en faut avoir
et estre en pleine liberté pour lire et considérer voz raisons, chacque mot
veut estre pezé estant mis avec art pour faire impression. En la lettre com-
mune que je vous ay escrit[e] vous verrez comme il m’est arrivé un courrier
dépesché par Monsieur de Saint Chamont. Le suject de l’envoy presse le
retour puisqu’il s’agist de l’esclaircir sur certains poinctz qu’on ne peut
différer sans péril. Cette raison me servira d’excuse si je ne vous fais un plus
long entretien.