Acta Pacis Westphalicae II B 5,2 : Die französischen Korrespondenzen, Band 5, 2. Teil: 1647 / Guido Braun unter Benutzung der Vorarbeiten von Kriemhild Goronzy und Achim Tröster, unter Mithilfe von Antje Oschmann am Register
193. Mazarin an Servien Paris 1647 März 22

5
[ 173 ] , [ 174 ] / 193 / [ 204 ]

6

Mazarin an Servien


7
Paris 1647 März 22

8
Ausfertigung: AE , CP Holl. 40 fol. 429–431’ = Druckvorlage. Konzept: AE , CP Holl. 43
9
fol. 536–538’. Teildruck: van Prinsterer , 196–197. Kurzregest: Mazarin , Lettres II, 873.

10
Nachricht vom Tode Prinz Friedrich Heinrichs von Oranien; Einsatz Serviens für die Eta-
11
blierung der uneingeschränkten Autorität Prinz Wilhelms II. wünschenswert; außerordent-
12
liche Kondolenzgesandtschaften aus Anlaß des Todes seines Vaters; Empfehlungen Mazarins
13
an Prinz Wilhelm II.; Freiheit Serviens im Umgang mit ihm und seiner Mutter; vorsichtige
14
Unterstützung Wilhelms II. im Falle eines Zerwürfnisses zwischen Sohn und Mutter. Anwei-
15
sung zur öffentlichen Rechtfertigung der französischen Haltung in der Pfalzfrage. Einver-
16
ständnis mit Serviens Zurückstellung bestimmter Anliegen wegen der jüngsten Ereignisse in
17
den Niederlanden; seine völlige Entscheidungsfreiheit in der Garantiefrage; Geheimhaltung
18
seiner Vollmacht zu Konzessionen. Wahrscheinlich Unterstützung durch Prinz Wilhelm II.
19
in der Frage niederländischer Beteiligung am kommenden Feldzug. D’Avaux’ Kritik ( Bei-
20
lage 1) am spanischen Gesamtentwurf für den Friedensvertrag mit Frankreich vom 24. Fe-
21
bruar 1647. Einschätzung Saint-Ybals. Eintreffen einer Servien verunglimpfenden Schrift
22
aus Brüssel; Gewinnung niederländischer Prediger für die Unterstützung der französischen
23
Sache wünschenswert. Große Zahl von Provinzialdeputierten in Den Haag für Frankreich
24
vorteilhaft. Rückkehr Serviens nach Münster nicht mehr für sehr dringlich erachtet. Halt-
25
loser Versuch Longuevilles, die Aushändigung des französischen Gesamtentwurfes für den
26
Friedensvertrag mit Spanien an die Niederländer vom 25. Januar 1647 und sein Verhalten
27
gegenüber Pauw zu rechtfertigen. Morgige Abreise Condés nach Katalonien. Daß Wilhelm
28
II. von Oranien Nederhorst den Vorzug vor Knuyt gibt, ist sehr erfreulich; kontinuierliche
29
Gunstbezeigungen gegenüber Nederhorst. Hofangelegenheiten. Von den Niederländern er-
30
fundene Neffen Mazarins. Auftrag Briennes zur Unterredung mit Oosterwijk.

31
Nous avons appris par vostre dépesche du

37
31 11 e ] so korrekt die ursprüngliche Fassung des Konzepts, die aber fälschlich in 12 e geändert
38
wurde; die gleiche fehlerhafte Datierung wurde auch in die Ausfertigung übernommen;
39
van Prinsterer hingegen hat die korrekte Datierung 11 e [NB: Das falsche Datum
40
wurde von Lionne wahrscheinlich aus dem – fälschlich auf den 12. März 1647 datierten
41
– Duplikat von nr. 173 übernommen, das Mazarin erhalten hatte].
11 e du courant, l’extrémité où
32
estoit réduit monsieur le prince d’Orange, et depuis par Bruxelles l’advis
33
de sa mort. Nous sommes asseurés que |:vous n’aurez obmis aucune dili-
34
gence pour servir utilement, aultant qu’il aura dépendu de vous, monsieur
35
le prince Guillaume, affin qu’il n’ayt pas seulement les charges de feu son

[p. 908] [scan. 88]


1
père mais toute la mesme authorité et sans limitation:|. Nous devons |:cela
2
à l’affection qu’il tesmoigne pour cette couronne, à la mémoire du père
3
qui a eu tant de passion et d’attachement à la France tout le temps que:| la
4
vigueur de son esprit |:l’a empesché de se laisser gouverner par sa femme,
5
et nous le devons:| enfin |:à nostre propre intérest:|, parce que |:le maintien
6
et l’accroissement du crédit de ce prince

41
6 ne] nicht dechiffriert.
ne:| peut estre que |:de

42
6–7 grand advantage] laut Chiffre; im Klartext fälschlich: grands avantages.
grand
7
advantage à cet Estat; mais:| il faudra pourtant |:n’agir en cela qu’avec
8
grande circonspection et de concert avec luy, de crainte qu’en voulant
9
luy acquérir quelques créatures, nous ne luy en fassions manquer d’un
10
aultre costé un plus grand nombre:|.

11
Leurs Majestez luy dépescheront un gentilhomme exprès et à madame la
12
princesse, pour se condouloir de cette perte. Monsieur dépeschera aussi, et
13
moy en mon particulier. Cependant je vous prie de |:l’asseurer qu’il n’a
14
point au monde un serviteur plus acquis et plus passionné que je le suis
15
pour sa gloire et pour tous ses advantages:|. Vous pourrés mesme |:luy faire
16
remarquer que les mauvais offices qu’on m’a faictz près de monsieur son
17
père sur la fin de ses jours, n’ont esté appuyez que sur la jalousie qu’on luy
18
donnoit que je fisse traicter avec son filz par d’Estrades et que je songeasse
19
aux moyens de le relever et de luy faire gaigner de la réputation.

20
Madame la princesse d’Orange:| a trouvé sans y penser un moyen de
21
|:faire pleurer la mort de son mary à ceux qui ont esté ses ennemis mortelz
22
pendant sa vie; ce n’est pas par mouvement de tendresse mais parce qu’ilz
23
voyent bien que cette perte:|, dans la conjoncture présente, |:peult leur
24
couster cher:|.

25
On ne vous dira rien touchant |:vostre conduicte avec ladicte dame et le
26
personnage que vous devez jouer entre elle et le filz:|. Il faut s’en remettre
27
entièrement à vostre prudence, parce qu’estant sur les lieux, vous co-
28
gnoistrés beaucou〈p〉 mieux la méthode qu’il faudra tenir pour mieux
29
faire le service du Roy. Nou〈s〉 voyons bien que |:l’intelligence sera mé-
30
diocre et que ladicte princesse, estant altièr〈e〉 et ambitieuse au poinct
31
qu’elle l’est, mettra tout en œuvre pour conserver du crédit et pour avoir
32
part au gouvernement, à quoy:| il est certain que |:le filz s’opposera de
33
toute sa force et:|, à ce que je puis juger |:d’icy, avec succès:|. C’est pour-
34
quoy , |:en cas de division, il n’y aura pas à hésiter à s’attacher au filz:| pour
35
cent raisons, |:mais en 〈la〉 forme seulement qu’il treuvera bon de n’irriter
36
pas contre luy ceux qui:| tesmoignent d’ailleurs présentement peu d’ incli-
37
nation pour cette couronne.

38
Je n’ay rien à vous mander sur la dépesche qu’on void que vous avés faicte
39
à messieurs vos collègues du 11 e

43
Nr. 175.
, si ce n’est pour louer le soing que vous
40
prenés de leur faire sçavoir tous vos sentimens, qui sont véritablement

[p. 909] [scan. 89]


1
dignes de vostre prudence. Souvenés-vous seulement, s’il vous plaist, de
2
ce que je vous ay desjà escrit

42
Durch Lionne in nr. 182.
, de |:publier que nous serons raviz de tous
3
les avantages de la maison palatine et que nous nous porterons:| tousjours
4
|:plus en sa faveur que pour le duc de Bavières, mais que la nécessité de
5
nous servir de nos troupes pour nostre propre défense:|, particulièrement
6
dans le doute où nous sommes que |:Messieurs les Estatz ne mettent point
7
en campagne, nous oblige à ne pas continuer la guerre en Allemagne sur le
8
plus ou le moins des prétentions de ladicte maison palatine:|.

9
Vous avés fort bien faict de |:différer à presser Messieurs les Estatz sur
10
diverses choses:|, pour les raisons que vous marqués, particulièrement
11
|:estant sur le poinct d’avoir response touchant la garentie que vous pour-
12
suivez , dans laquelle:| je vous réplique que vous pouvés agir en plaine li-
13
berté , et avec asseurance que |:personne ne sçait qu’on vous ayt donné
14
aucun pouvoir de consentir à des restrictions:|.

15
Quant à ce qui regarde |:la campagne, vous aurez:| maintenant |:un bon
16
soliciteur en monsieur le prince d’Orange:| d’aujourd’huy, et peut-estre
17
|:meilleur qu’il ne seroit à désirer, car:| enfin Leurs Majestez |:vouldroient
18
la paix à de bonnes conditions, mais:| on juge bien que |:il n’y en sçauroit
19
avoir qui la puisse faire souhaiter audict prince avant qu’il ayt eu moyen
20
d’establir son crédit dans les Provinces-Unies et sa gloire dans le monde
21
par quelque action esclattante et digne de luy et de sa naissance:|. Enfin,
22
sur ce poinct, je n’ay rien à vous adjouster. Vous sçavés qu’on vous a
23
donné tout pouvoir, |:soit pour les places qu’il fauldra attacquer, soit
24
pour les subsides:|, et tout ce que vous ferés sera approuvé.

25
Je vous envoye la copie de ce que monsieur d’Avaux mande sur les défec-
26
tuositez qu’il a remarquées du project de traicté qu’ont délivré les Espa-
27
gnolz

43
Beilage 1 zu nr. 156.
, afin qu’y adjoustant celles que vous aurés faictes de vostre costé,
28
vous puissiés faire voir clairement à Messieurs les Estatz si les Espagnolz
29
ont une véritable envie de la paix avec nous, quand sur le poinct de la
30
conclurre, ilz présentent un traicté si informe, si obscur et si captieux.
31
On ne croid pas que Messieurs les Estatz voulussent conseiller le Roy de
32
passer si légèrement sur tant d’articles de la dernière importance, après les
33
prudentes précautions que lesdits Sieurs Estatz ont prises avec beaucoup
34
de raison d’expliquer si au long et si nettement toutes choses dans les
35
articles que leurs députez ont signés avec les Espagnolz

44
Die span.-ndl. Provisional-Art. vom 8. Januar 1647 (vgl. Beilage 1 zu nr. 169).
, qu’ilz puissent
36
se garentir en tout temps des malices et des interprétations équivoques
37
desdits Espagnolz.

38
Jamais rien n’a faict plus d’impression sur mon esprit |:au subjet du sieur
39
de Sainct-Yba〈l〉:|, que ce que vous me mandés |:de luy, mais:| vous sça-
40
vés qu’il faut |:beaucoup de miracles pour la canonisation d’un sainct:|,
41
outre que ce n’est pas assez |:d’estre disposé à obliger messieurs de sa

[p. 910] [scan. 90]


1
secte, sy ce n’est par de certains biais qu’ilz affectent,

38
1 et] nicht dechiffriert.
et:| dont on ne peut
2
convenir par d’autres raisons plus puissantes. Néantmoings je feray grand
3
cas de tout ce que vous m’en manderez.

4
J’ay receu une lettre de Bruxelles qui chante à nostre esgard vos louanges
5
de belle façon. Elle vous traicte de diable, qui remue ciel et terre; que vous
6
avés rendu Brun plus obscurcy que son nom; que vous suscitez les prédi-
7
cans , incitez la populace, respandés de l’argent pour faire boire les uns et
8
les autres; enfin que vous troublés l’ordre de toutes choses pour empes-
9
cher que le traicté ne s’achève.

10
Je vous félicite de ce panégirique que nos ennemys font de vous, et je
11
prens occasion de |:vous faire faire réflection qu’il ne seroit:| peut-estre
12
|:pas mal à propos de respandre quelques sommes d’argent aux prédicans
13
qu’on peult acquérir à peu de fraiz, et dont l’utilité:| peut e〈stre〉 |:grande.
14
Il y a:| tousjours |:à Amsterdam quelque ministre qui a la vogue par- des-
15
sus les aultres, et:| ce seroit un bon coup si on pouvo〈it〉 |:le gaigner et ses
16
semblables, pour les faire prescher qu’il fault bien prier Dieu pour se ga-
17
rentir des ruses des Espagnolz qui veulent obliger les Provinces-Unies
18
d’abbandonner leurs bons amis et alliez:|. Il me semble que |:cela pourroit
19
produire un aussy bon effect qu’aucune aultre diligence que nous puis-
20
sions faire.

21
Le grand nombre de députez que chaque province

39
21 envoye] falsch dechiffriert: y a.
envoye:| faict pour
22
nous, parce qu’il |:sera moins facile aux Espagnolz de les corrompre avec
23
leu〈r〉 argent qui n’y pourra suffire:|, estant certain que |:les instances de
24
Philipes Le Roy n’ont pu tirer des ministres d’Espagne que vingt mil es-
25
cuz en tout:|.

26
Je voy par vostre lettre que |:vous vous pressiez pour retourner à Mun-
27
ster :|, suivant la prière que je vous en ay faicte. Mais cela doit s’entendre
28
tousjours en cas que |:vous ne jugiez pas vostre séjour à La Haye plus
29
nécessaire ou plus utile au service:|, d’autant plus que je suis un peu plus
30
en repos, sçachant que |:monsieur d’Avaux a pris le project d’Espagne
31
comme il devoit:|, qui estoit principalement ce qui me faisoit peine.

32
Vous ne sçauriés croire à beaucoup près |:quelle lettre monsieur de Lon-
33
gueville a escripte à monsieur de Brienne

40
Nr. 169.
pour justifier la délivrance des
34
articles

41
Gemeint ist der frz. Gesamtentwurf für den Friedensvertrag mit Spanien, den ndl. Ges.
42
praes. 1647 Januar 25; vgl. nr. 86 mit Anm. 7 und nr. 88.
et sur le subjet de Paw:|. Vous le cognoistrés par |:la response que
35
je luy faictz

43
Nr. 192.
, dont je vous envoyeray copie par l’ordinaire prochain:|. Je
36
n’ay pu m’empescher de |:luy faire cognoistre qu’il s’est trompé en cin-
37
quante endroictz:|.

[p. 911] [scan. 91]


1
Monsieur le Prince a pris ce soir le dernier congé de la Reyne, et part
2
demain au poinct du jour, et se rendra par Dijon à Barcelonne au plus
3
tard le dixiesme du mois prochain.

4
Je suis ravy de sçavoir |:les bonnes intentions qu’a monsieur le prince
5
Guillaume pour le sieur de Niderhost, et de s’en servir au lieu de Knuyt:|.
6
Cela doit faire tirer un jugement favorable de |:la conduitte qu’il veult
7
tenir. Ame qui vive

23
Diese Wendung kommt in mehreren frz. Sprichwörtern und gängigen literarischen Zitaten
24
sowie in ihren frz. ÜS (auch aus dem It.) vor; ein konkretes Sprichwort oder Zitat, auf das
25
Mazarin sich hier möglicherweise bezieht, konnte nicht ermittelt werden.
n’en sçaura quoy que ce soit que la chose ne soit
8
déclarée.

22
8 Ledict] laut Chiffre; im Klartext: et ledict.
Ledict prince a grande aversion pour Knuyt. Il le menacea cet
9
esté à l’armée de le maltraicter, et luy dist qu’il luy respondroit quelque
10
jour de la réputation de son père qu’il luy faisoit perdre:|.

11
La protection de la France, et toutes les choses qui vont ensuite, ne man-
12
queront jamais à monsieur de Niderhost, soit pour sa personne, soit pour
13
sa famille. Il faut l’en asseurer continuellement de bonne sorte, |:en atten-
14
dant qu’il veuille en recevoir des preuves effectives:|. Cependant, si les
15
Espagnolz, par vengeance, estoient assez injustes pour luy tirer un cheveu
16
de travers, ilz commenceroient une mauvaise escarmouche pour Pau et
17
pour Knuyt. La postérité fera quelque jour la différence qui se doit de
18
Niderhost, menacé par les Espagnolz, et de Pau et Knuyt, loués par eux.

19
Hofangelegenheiten: Bildung des Hofstaates von Monsieur.

20
Je ne croyois pas avoir des nepveux si grandz que ceux qu’on me donne
21
en Holande. Je pensois n’en avoir qu’un seul au monde, aagé de neuf ans

26
Sehr wahrscheinlich gemeint: der Lieblingsneffe Mazarins, Paolo (gen. Paoluccio) Mancini
27
(als Geburtsdatum wurde bislang 1636 oder 1637 vermutet, nach obiger Stelle muß aber
28
1637 oder 1638 angenommen werden; gest. 1652), Sohn von Mazarins Schwester Girolama
29
(Geronima) (1614–1656) und Michele Lorenzo barone Mancini (gest. 1650); Paolo wurde
30
im September 1647 von Mazarin als Spielkamerad Ludwigs XIV. an den frz. Hof geholt
31
und kurz vor seinem Tode der Favorit des Kg.s; er wurde wie ein Pz. von Geblüt im Je-
32
suiten -Kolleg von Clermont erzogen, schlug die militärische Laufbahn ein und fiel 1652 im
33
Kampf gegen die Frondeure; auf dem Totenbett wurde er zum capitaine des chevau-légers
34
ernannt ( Pernot , 151f., 302f.; Combescot , 27ff., 52–56). Befremdlich ist jedoch, daß aus
35
ders. Ehe noch zwei weitere, vor 1647 geb. Söhne hervorgingen: Filippo und Alfonso ( ebd. ,
36
Genealogie nach 423); Mazarin hatte also mehrere Neffen. – Filippo Mancini (1641–1707)
37
kam im Juni 1652 nach Frk., wurde wie sein älterer Bruder im Jesuiten-Kolleg von Cler-
38
mont erzogen und übernahm bei der Krönung Ludwigs XIV. 1654 die Aufgaben, die ei-
39
gentlich dem ersten Pz.en von Geblüt oblagen; er wurde spätestens 1657 capitaine d’une
40
compagnie de mousquetaires gris, fiel jedoch wegen Ausschweifungen in der Fastenzeit
41
1659 in Ungnade und wurde in Breisach inhaftiert; zuvor, 1658, war er als frz. Botschafter
42
nach London entsandt worden; er wurde später duc de Nevers und heiratete 1669 Diane de
43
Thianges, eine Nichte der Madame de Montespan ( ebd. , passim; die wichtigsten Seiten
44
sind: 63, 96f., 99f., 140, 166ff., 175, 180, 224, 244, 252f., 255f., 261f., 266, 277–285, 303–306,
45
309f., 313f., 355f., 414). – Alfonso Mancini (1644–1658), den Mazarin 1655 oder 1656 nach
46
Frk. holte; er wurde zum neuen Lieblingsneffen Mazarins, der ihn auf dem Jesuiten-Kolleg
47
von Clermont erziehen ließ; Alfonso starb dort jedoch bei einem Unfall ( ebd. , 63, 144). –
48
Moréri nennt noch einen vierten männlichen Sproß aus dieser Ehe, einen Abbé Mancini
39
(gest. 1654); da die von ihm berichteten Umstände seines Todes genau denen des Todes
40
Alfonsos 1658 entsprechen, irrt Moréri wahrscheinlich hier und hat aus der Person Alfon-
41
sos zwei Biographien gemacht ( ebd. V, 80) (vgl. zu den drei gesicherten Neffen Mazarins
42
auch Dethan , Mazarin, 346 Anm. 41 und Index, 399; Goubert , 483f.).
.

[p. 912] [scan. 92]


1
|:Monsieur de Brienne a esté chargé de parler à l’ambassadeur de Mes-
2
sieurs les Estatz en conformité 〈de〉:| ce que contient vostre dernier mé-
3
moire particulier du 11 e .


4
Beilage


5
1 Auszugskopie aus nr. 172.

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