Acta Pacis Westphalicae II B 4 : Die französischen Korrespondenzen, Band 4: 1646 / Clivia Kelch-Rade und Anuschka Tischer unter Benutzung der Vroarbeiten von Kriemhild Goronzy und unter Mithilfe von Michael Rohrschneider
201. Lionne an Servien Paris 1646 Oktober 14

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Lionne an Servien


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Paris 1646 Oktober 14

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Ausfertigung: AE , CP All. 78 fol. 144–144’ = Druckvorlage.

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Anweisung zur Verzögerung der Verhandlungen bis zum Abschluß des Feldzuges. Behandlung
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der Lothringenfrage. Bewahrung des Einvernehmens mit Oxenstierna. Freundschaft zwischen
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La Gardie und Mazarin. Bemühen Serviens und d’Avaux’ um La Gardie.

[p. 596] [scan. 668]


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Comme |:je vous ay pressé cy-devant de ne perdre point de temps de
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conclurre, je change à présent de ton:| pour les raisons que vous verrés dans
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le mémoire du Roy

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Nr. 197.
, |:et vous estes prié de prolonger quelques sepmaines:|
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en sorte que |:l’on puisse asseurer à la France les progrès que ses armes pour-
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ront faire le reste de cette campagne:|.

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Die Einnahme Dünkirchens war trotz des Verhaltens der Generalstaaten zu kei-
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nem Zeitpunkt gefährdet.

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|:Son Eminence n’a jamais eu la pensée que vous ont dict monsieur de Lon-
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gueville et monsieur d’Avaux sur l’affaire du duc Charles qu’elle voulloit s’en
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descharger sur vous autres messieurs par la crainte de se commettre icy à Son
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Altesse Royale. C’est un raisonnement qu’ilz ont pu faire entre eux, mais:|
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auquel on n’a donné d’icy aucune occasion, et vous avez raison de croire que
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|:vous en auriez esté informé aussytost qu’eux:|.

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Quoyqu’il se voye bien que |:la maison Oxenstiern est en décadence et que:|
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elle paroistra tous les jours davantage plus nous irons en avant, Son Eminence
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croid qu’il ne sera que bien que vous essayés soubz main adroictement de
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|:conserver la bonne intelligence avec le baron Oxenstiern dont son humeur
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se treuvera capable, luy parlant tousjours de la grande estime que l’on faict icy
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de monsieur son père:|. Nous aurons |:ainsy deux cordes à nostre arc, car
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Son Eminence a gaigné tout à faict le comte Magnus et a estably grande ami-
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tié avec luy:|.

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Je fus voir avant-hyer |:ledit comte:| et luy fis vos complimens qu’il reçut en
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la manière du monde la plus obligeante. Tout ce que vous me mandez |:des
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diligences que monsieur d’Avaux faict près de luy:| est très vray, |:Rorté,
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Marigni et d’Erbigni que vous ne me nommez

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25 pas] im Klartext irrtümlich: pas et
pas n’en bougent:|.

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Privata.

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