Acta Pacis Westphalicae II B 4 : Die französischen Korrespondenzen, Band 4: 1646 / Clivia Kelch-Rade und Anuschka Tischer unter Benutzung der Vroarbeiten von Kriemhild Goronzy und unter Mithilfe von Michael Rohrschneider
67. [Brienne] an Longueville, d’Avaux und Servien Fontainebleau 1646 Juli 13

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[Brienne] an Longueville, d’Avaux und Servien


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Fontainebleau 1646 Juli 13

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Kopie: Ass. Nat. 275 fol. 516–518 = Druckvorlage. Druck: Nég. secr. III S. 320–321, da-
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tiert
auf den 31. Juli.

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Empfangsbestätigung. Courtrai. Herzog Karl. Orbetello. Abwartende Haltung Trauttmansdorffs
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aufgrund militärischer Erwartungen. Profranzösische Haltung Vorburgs. Berechtigte Klagen
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über die niederländischen Gesandten. Vertrauen zum Prinzen von Oranien. Schreiben Castel
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Rodrigos an die Generalstaaten. Notwendigkeit der Unterstützung der Interessen des Kurfürsten
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von Trier; Geldzahlung bei Zustimmung zur Abtretung Philippsburgs. Nutzen der Reise Saint-
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Romains. Beilagen.

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Vostre lettre du deuxiesme du courant me feust rendue le dixiesme, le
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contenu de laquelle je n’ay sceu faire entendre à Sa Majesté que depuis que je
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suis arrivé en ce lieu où la Reyne arriva le jour de la réception de la vostre,
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estant partie de Paris le landemain du Te Deum chanté en la grande église

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Notre Dame de Paris.
de
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Paris au subjet de la prise de Courtray. Näheres über die Einnahme Courtrais
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in nr. 53.

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Je passe mesme à vous informer des propositions du duc Charles et de la
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response qu’il eust, ce qui m’auroit empesché de vous en faire un nouveau
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discours n’estoit que vostre dépesche m’y a engagé laquelle m’a prouvé vostre
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inquiétude et que le comte de Pigneranda ne s’est sceu encores désacoutumer
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d’une praticque ordinaire à ceux de sa nation de présumer de l’impuissance
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beaucoup plus qu’ils ne devroyent et de donner pour assuré ce qu’ils souhait-
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teroyent de veoir réussir.

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Die Spanier haben Hilfstruppen nach Orbetello gesandt, die zurückgeschlagen
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werden konnten.

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Cette disgretion est un peu longue que je croy toutesfois que vous excusérés,
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et pour revenir à vostre dépesche, je ne craindray point d’avancer ayant pour
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soustenir ma proposition des lettres de Collogne que le comte de Trotmens-
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dorf diffère de se déclarer de ses dernières intentions, jusques à ce qu’il ayt
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sceu quel sera le succè[s] de ce qui doit estre entrepris par l’Archiduc lequel
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ayant esté renforcé de plusieurs régiments de l’armée de Bavière et s’estant
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posté en sorte que monsieur de Thurenne ne sçauroit joindre les Suédois est
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résolu de les combattre. Les termes de la lettre sont qu’il veult hasarder l’Em-
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pire ou relever sa maison, et plain de beaucoup d’espérance qu’il fonde sur ses
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forces de beaucoup supérieures à celles des Suédois, il tient la bataille gagnée
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qu’il cherche et qu’il veult forcer les autres d’accepter, mais ils ont une re-
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traitte seure dans la Hesse, et ils sont logés sy avantageusement selon que le

[p. 205] [scan. 277]


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résident

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Dörnberg (s. nr. 8 Anm 18).
de Madame la Landgraffve l’assure qu’il sera malaisé que l’Archiduc
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réussisse en ses desseings, et lors de Trotmensdorf pourra changer sa résolu-
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tion qui paroist assez fondée, quand il désire devant que se déclarer du fonds
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de son sac que les ministres des couronnes alliées ayent formé la leur et qu’ils
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se soyent assemblés pour consulter ensemble soit à Lenkeric ou à Munster.
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Vostre Altesse et vous Messieurs y serez, c’est-à-dire vostre prudence et vos
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connoissances, et ainsy il y a tout subjet d’espérer que la conclusion en sera
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avantageuse au public et à cette couronne dont les intérests sont sy joints qu’il
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est malaisé de les diviser, et plusieurs députez des princes de l’Empire
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conviennent de cette vérité. Depuis peu celuy de l’évesque de Virtsbourg est
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party et sy bien intentionné, sy son cœur sent ce que sa bouche profère, que
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vous en verriez bientost des effets. Il assure que son maistre disposera Baviè-
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res à presser plus vivement que jamais l’Empereur à condescendre aux justes
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demandes de la France et à son reffus, qu’il nécessitera cet électeur à songer à
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ses affaires et par une neutralité ou une suspension particulière de se rétirer
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d’avec l’Empereur, dans la ruyne duquel il ne veult pas estre ensevely, et il se
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tient sy accrédité en l’esprit dudit duc qu’il ause se promettre qu’il suivra les
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mouvements du sien. Pour escrire ce qui m’a esté dit ne me faites pas ce tort
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de croire que je sois persuadé; je crains bien plus que l’électeur importe l’éves-
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que que je n’espère que l’évesque soit suivy de l’électeur.

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La plainte que vous faites du manquement dont ont usé en vostre endroit les
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députez de Messieurs les Estats est bien fondée, ayans ausé plus, je ne suis
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pas surpris qu’ils exécutent le moings, mais j’espère que monsieur le prince
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d’Orange fera conoistre que l’Estat ne veult point tomber dans une infidélité
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et qu’il ne trempe point dans des choses qui ont peu estre promises par au-
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cuns des députez. Il n’estoit pas party de Bréda le deuxiesme du mois, mais il
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estoit en estat de marcher, et n’attendoit que le retour de l’un de ceux qu’il
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avoit despeschés vers Monsieur.

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Ce mesme jour monsieur de La Thuillerie me mande que le marquis Castel
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Rodrigo avoit escrit à Messieurs les Estats

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Castel Rodrigo an die Generalstaaten, ohne Ort und Datum (Kopie: AE , CP Holl. 38 fol. 48
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= Beilage zu: La Thuillerie an Brienne, Den Haag 1646 Juli 2, Ausf.: ebd. fol. 46–47).
que le pouvoir désiré de son mais-
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tre estoit arrivé, que le retardement de quelques jours devoit estre imputé aux
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François qui ont tardé le courier, le trompette faisoit retenir que la paix estoit
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conclue pensant que cela ralentiroit Messieurs les Estats. Sans doubte il vous
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en aura escrit comm’il a fait en court, et aura accompagné sa lettre du double
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de celle dudit marquis. Monsieur d’Estrade ne m’ayant point mandé que ce
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mesme jour deuxiesme qui est la datte de la sienne, celle que ledit marquis
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addressoit audit prince d’Orange luy eust esté rendue, il est probable qu’elle
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ne l’avoit pas encores esté, et selon l’engagement où il s’est mis que cette belle
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espérance ne l’empeschera pas d’agir avec vigueur et addresse comm’il s’est
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déclaré de voulloir faire.

[p. 206] [scan. 278]


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Vous ne devez point doubter que ce qui sera offert à l’électeur de Trèves ne
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s’effectue, et je prendray soing de faire sçavoir à monsieur d’Anctouille com-
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bien on a trouvé à propos son envoy, qu’il sera mandé aux ministres du Roy
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qui sont à Rome

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Frk. war wegen seiner Differenzen mit dem Papst 1644–1647 nicht mit einem Botschafter in
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Rom vertreten ( Coville S. 49f.). Zu ao. Missionen hielten sich dort Saint-Nicolas (s. nr. 1
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Anm. 5) und Bidaud (s. [nr. 153 Anm. 6] ) auf.
d’appuyer fortement les intérests de cet électeur et de solli-
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citer selon qu’ils jugeront le pouvoir faire et honnestement et à son avantage
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le procès qui y est pendant entre luy et les moynes de Saint-Maximin

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Zum Streit um die Abtei St. Maximin s. [nr. 48 Anm. 1] .
, car
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comme prudemment vous le remarquez, il importe de beaucoup d’avoir
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l’amitié de ce prince, et quelqu’argent que puisse couster son consentement,
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pourveu que Philisbourg nous demeure par le traitté de paix il aura esté
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utilement despensé.

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La relation du voyage de Suède de monsieur de Saint-Romain

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Nr. 52.
, ce que cette
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Majesté a dit à monsieur Chanut et les ordres que ses députés ont receus en
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font veoir l’utilité, l’exceds de vostre prudence et la bonne conduitte dudit
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[sieur] de Saint-Romain, la sorte dont il s’est séparé d’avec le chancelier et
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certes c’est un ministre sy consommé, que bien qu’il paroisse descheu de cré-
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dit il ne lairra d’avoir grande part en l’administration de ce royaume, et la
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reyne qui désire de s’instruire des grandes affaires ne sçauroyt puiser en une
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source plus vive et plus nette que la sienne.

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Vous trouverrez joint à cette dépesche celle désirée par monsieur Taxis pour
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la seureté des couriers en la forme qu’il l’a demandée, aussy la sauvegarde
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pour les jésuistes d’Emeric, en la faveur desquels j’escriray en Hollande,
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mais la lettre qui sera ouverte ne sera présentée à Messieurs les Estats sy
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monsieur de La Thuillerie ou en son absence le résident Brasset jugent qu’elle
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puisse leur desplaire; je vous envoye aussy le passeport du jeune duc de
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Brunsvic.


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Beilagen


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1 Ordonnanzen zum Schutz der Kuriere [fehlen].

28
2 Schutzbrief für die Jesuiten von Emmerich [fehlt].

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3 Paß für Herzog Ernst August von Braunschweig und Lüneburg [fehlt].

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4 Nr. 68.

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